-
Par Bruno Rivet le 16 Avril 2013 à 19:47
... et non des moindres
(je suis en train de le rentrer en ce moment)Jean Jan
Jean Jan (Baud (Morbihan), 15 juin 1772 - 24 juin 1798, Quistinic), est un célèbre Chouan. Il est un des 'lieutenants' de Georges Cadoudal.
-
Biographie
Jean Jan naît dans le village de Jugon, situé sur la commune de Baud (Morbihan), le 15 juin 1772. Il est élève au collège de Vannes (aujourd'hui collège Jules Simon) à l'âge de 13 ans. Lorsque qu'éclate la Révolution, il est diacre.
Il revient alors à Baud et forme une division de chouans, groupant 8 communes. D'une taille imposante pour l'époque (1,79 m), Jean Jan a les cheveux châtain clair, les yeux bleus, le nez aquilin. Il est d'une force peu commune, doué d'une intelligence vive, et d'une volonté tenace.
'Lieutenant' de Georges Cadoudal, il participe au débarquement de Quiberon en 1795, il est alors Colonel de Division.
Jean Jan et Claude Lorcy, dit l'invincible, vivent retirés dans deux cabanes de branchages construites entre les villages de Kerlay et Coêtsulan, dans un champ nommé "Denigenne".
Calvaire de Jean JanLe 24 juin 1798, une colonne Républicaine de Pontivy, composée de 22 grenadiers et d'un gendarme, se dirigea sur Melrand Quistinic. M. Duparc, recteur de Melrand, caché au village de Norglaie, tente de les prévenir à l'aide Fanchon Le Saux, venue à la messe à la chapelle de Saint Laurent. Mais c'est trop tard. Fanchon Le Saux, native de Kerlay, promise au chef chouan, est blessée grièvement à la partie supérieure de la cuisse droite. Jean Jan et son compagnon sont tués dans le combat qui suivit, en défendant âprement leurs vies.
La dépouille de Jean Jan est conduite à Pontivy, et exposée pendant trois jours sur les murs dé l'Hôpital. Il est enterré à Pontivy en un lieu inconnu. Le corps de l'invincible est inhumé dans la chapelle de St Thuriau en Saint-Barthélemy.
Fanchon Le Saux demeure boiteuse toute sa vie de la blessure qu'elle avait reçue. Elle vit jusqu'à un âge très avancé de 88 ans, et s'éteindra dans son village natal de Kerlay.
La fin de Jean Jan fait grand bruit dans la région et provoque la satisfaction des Républicains et le désespoir des chouans.
-
Famille
Jean Jan est le père d'Emma Jan.
-
Chanson
Les chouans composèrent des chansons sur sa mort, dont l'une est venue à nous.
Dé gouil Yehan, dé avait dé,
Jandarmet Baod, oé ar valé,
Ha ré Pondi e oé ehué.
E Melrand, p'ou dès arriuet,
Er vorh Kentéh ou dès gronet,
Bonjour don hyu, grogué Melrand,
Ne hués chet guélet er chouan ?
En tri mes e zou trémenet,
Nes chet guélet chouan erbet?
Gueu e laret grogué Melrand
Hués hint guélet, deh devehan
Fanchon Er Saux, dès achappet
De avertis er chouanet.Source: Wikipédia
Article paru dans les Affiche d'Angers de Messidor de l'An VI
-
-
Par Bruno Rivet le 16 Avril 2013 à 19:45
Dans ma généalogie, sur les AD de Lassay-les-Châteaux (53), Julien MIGORET est Portier Urbain.
Acte de Baptême de Julien MIGORET,
L'An mil sept cent soixante seize le trentième jour du mois de septembre a été
baptisé par moi curé soussigné, Julien né d'aujourd'hui à trois heures du matin
du légitime mariage de Julien Migoret Portier Urbain et de Françoise Fleury
son épouse de cette paroisse mariés dans cette église et paroisse dans le mois de
septembre mil sept cent soixante douze. Le parrain a été Julien Ferrand Boulanger
et la marraine Marie Derouet femme de Louis Fleury; chirurgien de cette paroisse soussignés
les pères et mère (signatures)
Je n'ai encore jamais rencontré ce métier ?
Que faisait Julien pour gagner sa vie ?
-
Par Bruno Rivet le 16 Avril 2013 à 19:43
Je viens de proposer deux généalogies de mes Ancêtres à Généastar
-
Par Bruno Rivet le 16 Avril 2013 à 19:38
Je pourrais difficilement faire mieux:Marie-Françoise-Thérèse Martin est née le 2 Janvier 1873.
Fille de Louis Joseph Aloys Stanislas MARTIN (Horloger) et de Marie Azélie (dite Zélie) GUÉRIN (Brodeuse de point d'Alençon)
Elle est la benjamine de la famille. Deux jours après, on célèbre son baptême en l’église Notre-Dame d’Alençon.Après avoir passé la première année de sa vie chez une nourrice, à Semallé (un petit village à l’Est d’Alençon), elle revient définitivement dans sa famille, à Alençon, en Avril 1874.
De caractère joyeux mais parfois impatient et colérique, elle devient une petite fille épanouie au sein de sa famille.
Mais le 28 Aout 1877, sa mère Zélie meurt des suites d’un cancer du sein. Thérèse a quatre ans. Elle souffre énormément de la perte de sa mère et choisit sa sœur Pauline comme « seconde Maman ». Très marquée, son caractère se modifie. D’une profonde sensibilité, elle pleure facilement.
En 1877, Monsieur Martin et ses cinq filles s’installent aux Buissonnets, à Lisieux afin de se rapprocher d’Isidore Guérin et de son épouse, le frère et la belle sœur de Zélie.
En 1882, sa « seconde Maman » Pauline, entre au Carmel de Lisieux. A nouveau ébranlée psychologiquement Thérèse tombe gravement malade quelques mois plus tard. Toute sa famille prie le Ciel pour sa guérison.
Et le 13 Mai 1883, Thérèse’’voit’’ le sourire de la statue de la Vierge Marie. Elle est guérie.
Dés son enfance Thérèse souhaite devenir religieuse. Après l’entrée au Carmel de ses sœurs Pauline en 1882 et Marie en 1886, son père accepte qu’elle y entre à son tour, à l’âge de 15 ans. Céline y entrera en 1894 tandis que Léonie entre à la Visitation de Caen en1899.
En 1887, elle part en pèlerinage en Italie, accompagnée de son père afin d’obtenir la permission du Pape Léon XIII d’entrer au Carmel, malgré son jeune âge. Durant ce pèlerinage, Thérèse approfondit sa foi. Elle réalise qu’elle ne doit pas satisfaire sa volonté personnelle mais la volonté de Dieu. Sa vocation se fortifie et elle développe une certaine réflexion sur la vanité du monde.Le 9 Avril 1888, Thérèse entre au Carmel. L’année suivante elle porte l’habit de Carmélite et prend le nom de sœur Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face.
En 1894, à la demande de Mère Agnès (Pauline), elle commence à rédiger ses souvenirs d’enfance qu’elle continuera jusqu’en 1897. « Histoire d’une âme » sera publiée en 1898.
En Avril 1896, Thérèse a une crise d’hémoptysie. Elle meurt d’une tuberculose le 30 Septembre 1897 vers 19h30. Elle a 24 ans.
En grandissant, sa foi s’est développée. Elle découvre peu à peu qu’elle veut être : " … prêtre, diacre, apôtre, docteur, martyr" .
En rentrant au Carmel, elle désire prouver son Amour au Christ qui l’appelle à donner sa vie pour le monde. Elle choisit de faire une confiance totale à Dieu et de devenir de plus en plus petite pour s’abandonner à lui. « La petite voie » de Thérèse est une « voie d’enfance spirituelle » qui est au cœur du message qu’elle désire transmettre. Cette voie représente un chemin spirituel à adopter afin d’accepter sa petitesse et de s’offrir à Dieu malgré l’épreuve de la foi.
En 1896, elle découvre le véritable sens de sa vocation : « Ma vocation, c’est l’Amour ». Tout au long de sa vie, Thérèse vit une réponse de plus en plus intime à L’Amour de Dieu.Inconnue de son vivant, Thérèse Martin est devenue « la plus grande Sainte des Temps Modernes » (Pape Pie XI).
Le 29 Avril 1923, Sainte Thérèse est béatifiée par le Pape Pie XI. Deux ans plus tard, elle est canonisée.
En 1927, Pie XI la proclame « Sainte Patronne des Missions » et en 1944, Pie XII la déclare « Sainte Patronne secondaire de la France ».
Enfin, le 19 Octobre 1997, au centenaire de sa mort, le pape Jean Paul II la proclame « Docteur de l’Eglise ».Ses trois manuscrits autobiographiques, célèbres sous le nom de « Histoire d’une âme » , développent sa spiritualité. Elle exprime la façon dont elle comprend la vie chrétienne et la relation de Dieu. Ces manuscrits ont un succès important en France et dans le monde entier et laisse parler Thérèse.
Thérèse, photographiée le 30 août 1897, quelques jours avant sa mort. Thérèse, après sa mort reposant dans son sarcophage Source: Ma fiche sur Généanet - Biographie de Sainte Thérèse de Lisieux
-
Par Bruno Rivet le 16 Avril 2013 à 19:28
Une petite partie de l'arbre de mes deux derniers enfants (les autres n'ont pas la même Maman)
5 générations avec photos et blason de leur lieu de naissance
-
Par Bruno Rivet le 16 Avril 2013 à 19:27
Julien DROUET, mon sosa n° 13318
Le 11 du mois de septembre de l'an susdit 1568 fut baptisé Julien fils d'André DROUET et Olive CARIS, par Maître Julien HUBERT prêtre. Furent témoins Sébastien DROUET et Marie BOSSARD
- AD Rougé (44) B 1563-1583 vue 29/118
-
-
Par Bruno Rivet le 24 Mars 2013 à 13:43
Trouvée ce matin sur un salon de collectionneurs à Jarnac
L'Arrière, Arrière Grand-Mère de ma moitié
C'est une chance incommensurable de trouver ces ancêtres sur une Carte Postale.
Mon beau-Père a un scan de 5 CPA (*) ou elle apparait, celle-ci en est-une. ;)(*) CPA: Carte Postale Ancienne
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique