• Quelques articles du 1er Mai relevés sur le Petit Courrier d'Angers

     

    1er Mai 1910

     

    1er Mai 1914

     

    1er Mai 1923

     

    1er Mai 1944


  • Le silence n'est pas une cause de résignation ni d'oubli.

    Comme le disait le Professeur Garetta du fond de sa cellule, à la Santé:

    L'hémophile, les écrits restent


  • Trouvé sur le Petit Courrier d'Angers en Octobre 1914

     


  • Une belle trouvaille ce jour sur la Couverture du Registre BMS 1595-1676 de Vergonnes (49)

     

     

    • Le monogramme IHS (parfois JHS) est une abréviation et une translittération imparfaite du nom de « Jésus » en grec : Ι = J, Η = E et Σ = S1 (JES. = Jesus/Ιησους, IHΣOYΣ = nom complet en grec).
    • MA pour la Vièrge Marie

  • Cherchez le Z

                      Un jour, la lettre Z
                      quitta l’azur, quitta le nez, 
                      quitta le Zébu et le zèbre,
                      la zibeline et le zinnia,
                      quitta le zinc, le zigoma,
                      quitta la zone et le zona,
                      quitta le zoo et le zouave,
                      quitta le Zambèze et Zorro,
                      quitta le zig, quitta le zag,
                      quitta Zizi, quitta Zouzou

                      et disparut on ne sait où !

                      Plus de Z ! C’était très dur :

                      En levant le ne- vers l’a-ur,
                      quand on allait à -an-ibar,
                      on voyait un grand ciel -ébré
                      d’horribles éclairs en -ig -ag.
                      Les -ibelines du -oo
                      allaient boire dans le -anbè-e.
                      Impossible d’avoir -éro
                      faute dans toutes ses dictées.

                     Alors, -orro tout -é-ayant,
                     alors -i-i, alors -ou-ou,
                     s’en sont allé chercher le -.
                     Ils ont fini par le trouver
                     entre -an-ibar et Bé-iers,
                     Vera Cru- et St Jean de Lu-,
                     dans la -one où sont les -ébus.

                     Et depuis que le z est là,
                     le nez a retrouvé son bout,
                     Zizi s’amuse avec Zouzou
                     dans un jardin de zinnias,
                     tous les zébus sont au zoo,
                     et le zouave au pont de l’Alma.
                     Et dans l’air, le fouet de Zorro
                     écrit encore des zéros.

    Poème de Pierre Gamarra

     



  • Z comme Zélie Guérin

    Azélie Martin (qu'on appellera toujours Zélie), née Azélie-Marie Guérin (° Gandelain, près de Saint-Denis-sur-Sarthon, Orne, 1831 - Alençon, 1877) dentellière, appartiennent à la petite bourgeoisie d’Alençon.
    Femme de Louis Martin, de son nom complet Louis-Joseph-Aloys-Stanislas Martin (° Bordeaux, 1823 - Lisieux, Calvados, 1894), horloger. Ils ont été béatifiés le 19 octobre 2008 à Lisieux, pour l'exemplarité de leur vie de couple.
    Mais ils sont surtout connus pour être les Parents, entre autres, de Marie Françoise Thérèse MARTIN, alias Sainte Thérèse de Lisieux. (voir sa généalogie sur mon arbre)

    Le père d'Azélie, Isidore Guérin (°1777 - 1865), est un ancien soldat de la Grande Armée qui s'est battu à Wagram, a suivi Masséna et Soult pendant la guerre d'Espagne, est désormais gendarme à Saint-Denis-sur-Sarthon. Sa mère, Louise-Jeanne Macé (°1805 - 1859), est une paysanne assez rude. Zélie a une sœur aînée, Marie-Louise (°1829 - 1877). Son frère Isidore (°1841 - 1909) naît dix ans plus tard.

     

    En septembre 1844, ses parents s'installent à Alençon. Zélie et Marie-Louise reçoivent une formation soignée au pensionnat des religieuses des Sacrés-Cœurs de Picpus. Intelligente et travailleuse, Zélie garde de son éducation austère une tendance au scrupule, bien dans la spiritualité de l'époque. Les relations avec sa mère sont difficiles et elle ne conservera pas le souvenir d'une enfance heureuse, elle écrira même : « Mon enfance, ma jeunesse ont été tristes comme un linceul ». Elle ressent assez tôt un appel à la sainteté, que tempère pourtant son robuste bon sens : « Je veux devenir une sainte, ce ne sera pas facile (...) ». Elle songe alors à entrer à l'Hôtel-Dieu d'Alençon comme religieuse, mais la supérieure l'en dissuade.

    Déçue, elle devient dentellière et se révèle particulièrement douée pour la confection de dentelle au point d'Alençon, travail délicat et minutieux. En 1853, âgée seulement de 22 ans, elle ouvre une boutique avec Marie-Louise. Mais sa sœur la quitte pour entrer au couvent des Visitandines du Mans sous le nom de sœur Marie-Dosithée.



    Zélie Martin en 1875



    Voici deux dentelles réalisées par Zélie Guérin

     

    En 1858, c'est à l'âge de 35 ans, sur le pont de Sarthe dans la capitale ornaise, que Louis rencontre Zélie qui en a alors 27. Ils se marient le 13 juillet 1858 à l'église Notre-Dame d'Alençon. À l'instigation de Louis, ils décident d'abord de vivre comme frère et sœur dans une continence perpétuelle. Mais leur confesseur les en ayant dissuadés, les accouchements se succèdent entre 1859 et 1873 : Zélie donne naissance à neuf enfants, sept filles et deux garçons. Hélas, la mortalité infantile demeure très élevée à cette époque, et les Martin perdent quatre enfants en bas âge.

     

    Malgré ces deuils, malgré une maladie du sein qui progresse lentement depuis 1863, Zélie consacre toute son énergie à son entreprise. Celle-ci est prospère et emploie jusqu'à une vingtaine d'ouvrières. À force de labeur et d'épargne, les époux Martin ont acquis une grande aisance financière. En 1870, Louis vend son horlogerie à un neveu, afin d'aider sa femme à administrer la boutique et à gérer leurs biens.

     

    Zélie se dévoue également pour ses filles : « Moi j'aime les enfants à la folie. J'étais née pour en avoir, mais il sera bientôt temps que cela finisse ». La petite dernière, Thérèse, naît en janvier 1873. Afin de recevoir une éducation chrétienne, les aînées sont envoyées au pensionnat de la Visitation du Mans. Les soucis ne manquent pas, tels les difficultés scolaires de Léonie ou la santé délicate de Thérèse, à qui il faut trouver une nourrice à la campagne. Si Zélie, femme active et énergique, tient incontestablement une place prépondérante dans le couple, elle ne cesse de louer la bonté paisible de Louis : « C'est un saint homme que mon mari, j'en désire un pareil à toutes les femmes ».

     

    Fervents chrétiens, Zélie et Louis assistent chaque matin à la messe de 5h30. Ils pratiquent le jeûne et la prière en famille, respectent scrupuleusement le repos du dimanche. Ils savent également mettre en pratique leurs convictions : ils visitent les vieillards seuls, les malades, les mourants ; lorsque l'occasion se présente, ils accueillent un vagabond à leur table, font les démarches pour le faire accepter à l'hospice d'Alençon. Zélie s'occupe notamment de ses bonnes et de ses ouvrières, souvent jeunes et inexpérimentées.

     

    En 1876, la maladie frappe la famille Martin. C'est d'abord la sœur de Zélie, Marie-Dosithée, que ronge inexorablement la tuberculose. Durement affectée, Zélie se résout à consulter pour elle-même un médecin en décembre 1876. Malgré ses maux de tête, ses douleurs d'estomac, elle n'avait pas voulu jusqu'alors se soucier de sa santé. Mais le diagnostic ne laisse aucun espoir : la « tumeur fibreuse » au sein est trop avancée, une opération serait inutile. Zélie reçoit lucidement la nouvelle, tandis que Louis est « comme anéanti ». Isidore, le frère de Zélie devenu pharmacien à Lisieux, lui fait rencontrer un grand chirurgien. Mais celui-ci déconseille également l'opération : il est trop tard.

    Le 24 février 1877, Marie-Dosithée s'éteint. C'est pour Zélie un coup terrible, et son mal empire. En juin 1877, malgré ses souffrances, elle se rend à Lourdes, mais le miracle espéré n'a pas lieu. De retour à Alençon, elle met de l'ordre dans ses affaires et prépare la maisonnée à sa prochaine disparition. Elle reçoit l'extrême-onction le 26 août en présence de Louis et de ses filles, et meurt après deux jours d'agonie le 28 août 1877. Elle est inhumée le 29 août au cimetière d'Alençon, laissant une famille effondrée et cinq filles dont la plus jeune, Thérèse, est âgée seulement de quatre ans et demi


     

     

    Tombeaux de Louis et Zélie Martin

    "Les corps de Louis(1823-1894) et Zélie(Marie-Azélie) Martin(1831-1877), née Guérin, parents de Ste Thérèse(1873 -1897) ont reposé dans ces tombes du 13 octobre 1958 au 26 mai 2008. Ils ont été exhumés et pourront être vénérés, à partir de septembre 2008, dans un reliquaire, (commun) à la crypte de la basilique. Ce lieu reste un espace pour les prier"

     Source Généanet - Wikipédia - therese-de-lisieux.catholique.fr


  • Nous portons le Patronyme de notre Arrière-Arrière-Grand-Mère, Rosalie Olive RIVET, née le 23 mars 1846 à Visseiche (35)

    1

    Rosalie Olive sera Couturière puis Ouvrière en Chef en fabrication de parapluie à Angers.

    Elle aura quatre enfants, tous nés de Père Inconnu.

    • Ernest Joseph RIVET né le 03/05/1880 à Angers



    1Présent: Joseph POUTIER, Jardinier, habitant 37 Chemin de la Motte, comme Rosalie Olive

    Décédé le 20/08/1880 à Angers


    1est comparu Joseph POUTIER, Jardinier, habitant 37 Chemin de la Motte, comme Rosalie Olive

     

    • Joseph Ernest RIVET né le 31/08/1881 à Angers


      1

      Décédé le 19/09/1881 à Angers


      1
      est comparu Joseph POUTIER, Jardinier, habitant 37 Chemin de la Motte, comme Rosalie Olive

    • André Adolphe RIVET (mon AGP) né le 30/11/1883 à Angers



      1

      Marié le 09/01/1912 à Angers avec Gabrielle Marie Julia BABIN (Date du mariage portée sur l'acte de naissance)

      Décédé (Mort pour la France) le 21/11/1914 à Saint-Méen-le-Grand (35)

    11

     

    • Marie Louise RIVET née le 13/07/1886 à Angers

      • 1

    A ce jour, je ne sais rien sur un éventuel Mariage, ni sur son Décès

    Vous remarquerez que Rosalie Olive habite 37 Chemin de la Motte à Angers tout comme le témoin Joseph POUTIER, alors marié à Désirée Anne SABIN (1839-1886), présent au Baptême et au Décès de Joseph Ernest (1880), au Décès de Ernest Joseph (1881).


    Tout porte à croire qu'il est le père des Enfants de Rosalie Olive (mon AGP compris), en effet, il habite avec elle à Angers aux dates de leurs Naissances (1880, 1881, 1883 et 07/1886), bien que sa Femme, Désirée Anne SABIN soit toujours vivante.
    Désirée Anne SABIN décède le 27/10/1886 à Niafles(53). (je n'ai que la date des TD pour cela) 

    J'ai trouvé, il y a quelques mois seulement, sa date de Décès ainsi que le lieu de sa Sépulture (Sépulture Commune), au Cimetière de l'Est à Angers, le 04/02/1929, ou j'apprends qu'elle est Veuve de ce même Joseph François Poutier , étrange, non ?

    Mariage trouvé le 15 janvier 1887 à Angers

     

    Nés de Pères Inconnus (et si c'était lui ?)
    AD M 1er Arr. 1887 vue 10/114

    Joseph POUTIER y est bien dit Veuf de Désirée Anne SABIN, celle-ci étant décédé le 27 octobre 1886 à Niafles (53), alors que celui-ci vit à Angers, à la même adresse que Rosalie, depuis au moins la Naissance d' Ernest Joseph RIVET le 03/05/1880.

     

    1



    Impasse des Petits Murs à Angers,
    Hier et aujourd'hui (montage perso)


    Joseph François et Rosalie Olive ne profiteront pas longtemps de la légitimation de leur union puisque Joseph François décède à son domicile le 9 avril 1891.

    Nés de Pères Inconnus (et si c'était lui ?)
    AD 49 (1er Arr) D 1891 vue 79/152



    En viendrons-nous à jour au Test ADN pour connaitre la vérité sur notre Patronyme ?

    Rien est moins sûr, ni le besoin, ni le besoin de savoir, je suis, personnellement très fier du mien.

     

    Je viens de faire une importante découverte et j'en tombes des nues.
    S'il s'avère que François Joseph POUTIER est bien le Père de notre Arrière Grand Père, et bien dans ce cas,

     

    Papa et Maman auraient les mêmes ancêtres en commun.

    Louis Hiret est un ancêtre de Maman (côté Cognard) sosa n°2592
                        Et Rosalie Olive Rivet est mon Arrière Arrière Grand-Mère Paternel sosa n°33






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