•  comme Disparus

    J'ai 3 cas identifiés, portés disparus dans ma généalogie.
    Pour un généalogiste, c'est embêtant, certainement, mais ce n'est rien à côté de la douleur qu'on dù ressentir ceux qui ont attendus, certainement des années, avant de se faire une raison.

     

    • Jean MAHÉ, est né le 28 mars 1773 à Saint-Joachim (44), fils de Jean MAHÉ et de Marie Madeleine MOYON.
      Il épouse Jeanne MAHÉ 19 février 1794 à Saint-Joachim.
      Il était Marin et est porté disparu à Saint-Domingue depuis 1806.





    • Louis BERCEGEAIS est né le 15 novembre 1812 à la Chapelle-des-Marais (44)
      Absent depuis plus de vingt et un an au mariage de sa fille Anne Marie en avril 1860
      Disparu depuis 1839, il était aussi Marin


    • Clément Henry AUBRY est né le 30 juillet 1842au Louroux-Béconnais (49),
      Disparu Pendant la Campagne Contre L'Allemagne de 1870-1871 , à l’âge de 29 ans

     

     


  • Si tous les Blogs du Monde ...
    Et si nous aussi, on s'amusait à s'identifier sur une photo quelconque ?
    Si vous participez au Challenge AZ, merci de laisser une trace de votre passage ici ;-)

    Identification sur la page Facebook Publication généalogiste


  • comme Constitution de l'An XII.

    Ma collection concernant tous ce qui concerne ou représente Bonaparte 1er Consul, au Passage du Saint-Bernard (Peinture de David), m'a donnée cette idée pour le C

    L'instauration du Premier Empire comme si vous y êtiez.
    Séance extraodinaire du 10 Floréal de l'An XII

    Sur l'émission d'un vœu tendant à ce que Napoléon BONAPARTE, actuellement premier Consul, soit déclaré Empereur des Français, et à ce que la dignité impériale soit déclarée héréditaire dans sa famille.
    Séance extraordinaire du 10 Floréal an 12.

    Relevé sur les Affiches d'Angers en date de Germinal de l'An XII

     

    L'intégralité du Discourt sur Napoleonica.org

     

    Le Tribun Carnot, seul inscrit contre la motion, prend la parole

     




     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


     


  •   comme Constitution de l'An XII.

    Ma collection concernant tous ce qui concerne ou représente Bonaparte 1er Consul, au Passage du Saint-Bernard (Peinture de David), m'a semblé évident pour le C

    L'instauration du Premier Empire comme si vous y êtiez.
    Séance extraodinaire du 10 Floréal de l'An XII

    Sur l'émission d'un vœu tendant à ce que Napoléon BONAPARTE, actuellement premier Consul, soit déclaré Empereur des Français, et à ce que la dignité impériale soit déclarée héréditaire dans sa famille.
    Séance extraordinaire du 10 Floréal an 12.

    Relevé sur les Affiches d'Angers en date de Germinal de l'An XII

     

    L'intégralité du Discourt sur Napoleonica.org

     

    Le Tribun Carnot, seul inscrit contre la motion, prend la parole

     




     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


     

     

     

     

     

     

     

     


    18 mai 1804-28 floréal an XII

    Napoléon Bonaparte est proclamé empereur des Français.


  • b comme


    D’azur à dix billettes d’or, quatre, trois, deux et un.
    (Armes des seigneurs de Baud).

    Baud[bo] est une commune du département du Morbihan, dans la région Bretagne, en France.

    Le nom breton de la commune est Baod (prononcé [bɔwt]).

    Les habitants de Baud sont eux-mêmes partagés entre les deux appellations des habitants. À titre d'exemple, on pourrait citer les associations La Truite Baudaise, La Boule Baudaise ou bien L'Aqua Club Baldivien et le Dojo Baldivien.

    Baud

    Baud Commune en France Baud [bo] est une commune du département du Morbihan, dans la région Bretagne, en France. Le nom breton de la commune est Baod. Les habitants de Baud sont eux-mêmes partagés entre les deux appellations des habitants. Wikipédia

    Météo : 8 °C, vent E à 24 km/h, 50 % d'humidité

    (source Wikipédia)

    De Baud, sont originaire la majorité de mes Ancêtres, 832 pour être précis à ce jour.

    En voici la liste des Patronymes: ADELIS (1), ALANO (1), BELLEC (2), BILZIC (7), BRIENT (1), CHENADEC (1), COCOUAL (6), CORBEL (13), CROCHARD (5), DRIANO (2), DUCLOS (2), EVENO (11), GÉGUAN (2), GUEGAN (29), GUEHENEC (16), GUEHENNEC (1), GUILLEMET (2), GUILLOUZO (2), GUYOMARCH (2), HEMONO (6), HENRIO (71), JACOB (1), JAFFRÉ (4), JAN (6), KERJOANT (119), LAMOUR (11), LANCELOT (6), LAVENANT (2), LE BERTHE (1), LE BRICON (24), LE BRUCHEC (7), LE CAPITAINE (1), LE CHENADEC (1), LE CLOAREC (4), LE COROLLAÏC (1), LE DELETER (1), LE DEVEDEC (15), LE DOR (3), LE DORZ (1), LE GAL (33), LE GALARDON (2), LE GALIC (2), LE GALLIC (6), LE GALLO (2), LE GLOUANEC (2), LE GOURRIEREC (8), LE GRAND (3), LE HEN (2), LE LOUER (5), LE MAGUERES (5), LE MANOUR (7), LE MER (4), LE METAYER (3), LE MOIGN (11), LE MOIGNO (1), LE MOING (1), LE PESSEC (41), LE PRIOL (2), LE ROHO (4), LE STRAT (1), LE TORRIVELLEC (3), LE TOUMELIN (54), LEGOFF (1), LEGRAND (2), LORCY (174), LORJOUX (1), LUCAS (1), MORVAN (6), NAIZIN (5), NICOL (23), OFFRÉDO (2), PABOUL (2), PILET (1), PUREN (3), RIZIO (4), ROPERH (2), RUAULT (2), SIMON (7), THOMAS (3)

    KERJOANT: Le Patronyme de mon Arrière Grand-Mère Maternelle
    LE MAGUERES: Le Patronyme de "ma Cousine" Nolwenn LEROY
    LORCY: Le Patronyme de "mon Cousin" Claude LORCY (dit l'Invincible), Chef Chouan.


    Acte de Baptême de Jacques LE GAL 08/11/1626 (sosa 3948)

    Jacques était maçon

    Habit de Maçon
    N. de L'Armessin, circa 1680
    Amusante gravure française fin XVIIème siècle
    Edité sur Papier d'Art

     Cartes Postales de Baud

    Baud 2 Baud 2

     

    Baud 4 Baud 5 Baud 6 Baud 7

     

    Musées

     

    • Le Cartopole, conservatoire régional de la carte postale qui conserve 55 000 cartes postales, présente l'histoire de la carte postale et la Bretagne traditionnelle dans son exposition permanente. On peut y consulter une importante base de données avec 35 000 cartes postales numérisées en haute définition, accessible en basse définition sur internet.

     

    Personnalités liées à la commune

     

     

    • Vincent-Claude Corbel du Squirio : Vincent-Claude Corbel, habitant le village du Squirio, d’où son nom de Corbel du Squirio est né à Baud le 4 mars 1749. Avocat, il est élu maire de Baud le 18 février 1790, mais il démissionne rapidement préférant le poste de colonel de la milice nationale qu’on lui offre. Il devient député du Morbihan à l’Assemblée législative le 1er octobre 1791. Réélu le 6 mars 1792, comme député de la Convention, il siège dans la « Plaine », c’est-à-dire le centre. Il vote pour l’emprisonnement du roi jusqu’à la paix lors du procès de Louis XVI, le 17 janvier 1793 mais contre le sursis à ce jugement le lendemain. Il est souvent considéré, à cause de ce dernier vote, comme ayant participé à la condamnation à mort de Louis XVI. Attaché aux Girondins, il est arrêté puis délivré après l'arrestation de Robespierre le 9 thermidor (27 juillet 1795). Il repousse l’attaque des chouans contre Baud au moment de l’« affaire de Quiberon ». Sous l’Empire, il est juge puis président du tribunal des douanes à Lorient. Exilé en 1816, amnistié en 1819, il se retire à Baud où il meurt le 14 juin 1831 ;

     

    • François XII-Alexandre-Frédéric, duc de La Rochefoucauld-Liancourt, est devenu le propriétaire du château de Quinipily en épousant Félicitée Sophie de Lannion, dame de Camors, Quinipily et Baud. Il possède de nombreuses seigneuries. Ce personnage joua un rôle important à Baud et au parlement pendant la Révolution représentant la noblesse aux Etats Généraux, en 1789. Il est partisan des idées nouvelles. Mais à la suite de la chute de la royauté, il émigre en Amérique le 20 août 1792. Le château, déjà en ruines, est vendu en 1794 à Jean Giraldon qui se sert des murs en guise de carrière. Le duc de La Rochefoucauld-Liancourt ne rentre en France que sous le Consulat. Membre de la Chambre des pairs sous la Restauration, il défend l’abolition de l’esclavage et l’amélioration des conditions pénitentiaires. Il est démis de ses fonctions en 1825 par Charles X, opposé à ses idées libérales. Il meurt brutalement en 1827. Il a écrit différents ouvrages sur le monde anglo-saxon ;

     

    • Constantin Le Priol : né à Baud le 27 mai 1763, il devient professeur de philosophie et de mathématiques au collège royal de Vannes en 1784. Ordonné prêtre à 24 ans, l'âge minimum, il refuse la constitution civile du clergé. Il doit s'enfuir et, avec l'évêque de Vannes, Mgr Amelot, se réfugie en Suisse puis en Angleterre. Rentré en France sous le Consulat, Constantin Le Priol reprend sa carrière de professeur à Strasbourg. En 1808, il est nommé proviseur du lycée impérial de Pontivy (Morbihan), qui vient juste d'être créé13, puis, en 1810, du lycée de Rouen. En 1816, il est nommé recteur de l'académie de Rennes. Il s'intéresse alors aux écoles primaires qui font défaut ainsi qu'aux enseignants, recrutant un bon nombre d'entre eux parmi les Frères des Écoles chrétiennes. Il décède à Hennebont, dans le Morbihan, le 7 octobre 1847 ;

     

    • Jean Jan (1772-1798), célèbre Chouan, lieutenant de Georges Cadoudal ;

     

    • Mathurin Henrio (1929-1944), né au lieu-dit Tallen Crann, a été décoré de l'Ordre des Compagnons de la Libération, dont il est le plus jeune récipiendaire ;

     

    • Charles Homualk (1909-1996), illustrateur de cartes postales, a fait don au Conservatoire Régional de la Carte Postale de Baud (Morbihan) de plus de 6000 dessins originaux.

     


  • Faites votre demande ici, en y incorporant l'adresse de votre Blog ou de votre Site, uniquement s'il a un rapport avec la Généalogie.


  • A comme Anthropophage,

    Article relevé dans Les Affiches d'Angers du 7 mars 1783

     

     

     

      Avis Divers

    PARLEMENTDE LANGUEDOC. 

    Antropophage condamné à mort.

    Le Parlement de Languedoc vient de condamner au dernier suplice un monstre qui n’a peut-être pas eu de modèle.

    Blaise Serrage, surnommé Séyé, Maçon de profession, natis du lieu de Cescan dans le Comté de Comminges, très-petit de taille, mais d’une force extraordinaire, très-brun, étoit vicieux & libertin par tempérament ; dans un âge peu avancé, il poursuivoit déjà les personnes du sexe.

    Craignant  d’éprouver la sévérité de la Justice, il se retira dès l’âge de 22 ans dans les montagnes Daure, voisines de sa patrie.
    Il y choisit, à la manière des ours, une retraite dans la concavité d’un rocher placé sur le haut d’une montagne. Delà il se répandoit dans la campagne, dont il devint bientôt le plus terrible fléau ; il enlevoit les brebis, les moutons, les veaux, la volaille, pour se nourrir, & sur-tout des femmes & des filles pour assouvir sa brutale passion ; il poursuivoit à coup de fusil celles qui fuyaoient & jouissoit d’elles quoique mourantes & baignées dans leeur sang.

    Comme il ne se nourrissoit plus de pain depuis quelque temps, & qu’il manquoit même souvent de vivre, on prétend qu’il étoit devenu antropophage. Il coupoit les seins & les cuisses des femmes et des filles dont il avoit joui ; il achevoit de les mettre en pièces pour en tirer les intestins & le foie, dont il se nourrissoit. Il n’épargnoit même pas les impubères.

    Il tuoit aussi les hommes & leur mangeoit les bras. Dernièrement il assassina un Marchand de meules, Espagnol, qu’il attira dans sa retraite, sous prétexte de le conduire sur les terres de France où il se rendoit pour faire des achats.

    Il avoit mis le feu à une grange qui renfermoit des bestiaux, & avoit contemplé avec plaisir l’incendie, pour satisfaire sa rage contre le propriétaire qui avoit voulu le faire arrêter.

    On prétend qu’il portoit dans ses cheveux une herbe qui a la propriété de ronger le fer.
    Elle croît dans les montagne, & n’est connue que d’un oiseau appelé le Pic.

    Pour se procurer de cette herbe on découvre le nid de cet oiseau, qu’il place ordinairement dans le creux d’un arbre ; on cloue, en son absence, une planche sur l’ouverture de l’arbre ; l’oiseau de retour, pour oter les clous qui retiennent la planche, va chercher l’herbe en question. On se tient à l’écart , e& l’orsqu’il a limé les clous & laissé tomber l’herbe, on s’en saisit.

    Blaise Ferrage dit Séyé, fut enfin arrêté par la trahison d’un faux ami, qui avoit feint de se retirer avec lui dans les montagnes, pour se dérober aux poursuites de la Justice, & qui dans le fait n’avoit pas une conduite sans reproches. On avoit fait promettre à cet homme sa grace, & plusieurs communautés d’habitants s’étoient cotisés pour donner une récompense à celui qui parviendroit à le livrer à la Justice.
    Il échappa néanmoins une première fois, mais il fut arrêté peu de temps après, s’étant égaré pendant la nuit dans les montagnes.
    Il marchoit toujours armé d’une ceinture de pistolet, d’un fusil à deux coups, & d’une dague : & il alloit dans la ville la plus prochaine de la retraite pour acheter de la poudre & des balles, & la Maréchaussée n’osoit l’arrêter.

    Il avoit environ 25 ans lorsqu’il fut jugé.
    Le juge Châtelain de Castillon l’avoit condamné à expirer sur la roue, & à être jetté au feu.

    Par Arrêt du 12 Décembre 1782, la Sentence a été confirmée, excepté dans le chef du feu. Et à cet égard le Parlement a ordonné que son corps mort seroit exposé aux fourches patibulaires : & que que l’Arrêt seroit imprimé & affiché à Cescan, Castillon et Toulouse.
    Ila été exécuté le 13 à quatre heures de relevée ; on avoit tripléla garde : toute la ville & une multitude de gens de la campagne étoient accourus à son exécution ; on ne parloit que de ce monstre. Il marcha au supplice d’un visage serein.

     

     

     


  • Le paquetage est pret, moi aussi

     

     

     Pas d'article, ce soir, c'est relâche, dernier jour de perm  
    C'est juste ma belle image que je montre