• Trouvé sur le Registre BMS de Bais en Avril 1714, l'acte de Décès de Marie Magdelaine "Moüsdy", originaire du Calvados.

    Merci de transmettre si vous y avez des Ancêtres.

     


  • R comme Ressuscité

    Relevé sur les Affiches d'Angers du 31 mars 1786

     

    Lettre aux Auteurs du Journal de Paris.

               MESSIEURS,

      Je reçois de Châteaudun les détails d'un évènement qui occupera une place dans les fastes de la Médecine, qui prouve en faveur de cette science, & fait un honneur infini à M. Desprées, Médecin de cette ville.
      Le Père Victor, religieux, tombé malade, Mr Desprées voit une maladie grave, mais qui paroît pas devoir être mortelle.
    Il quitte son malade le matin; le lendemain, après la visite de l'Hôtel-Dieu, il va au Couvent. On lui annonce que le Père Victor est mort; il le transporte à l'Eglise, examine, & tente infructueusement plusieurs moyens de ranimer le principe de la vie, qu'il ne pouvoit croire éteint. Le Père Victor avoit été très sensible à l'impression de la musique; il demande & obtient la musique du Régiment d'Orléans Dragon, qui est en garnison à Châteaudun, & le mort supposé revient à la vie au bruit des tymballes & des trompettes, des clarinettes & haubois; bientôt uns crise salutaire, une lueur abondante se déclare é assure cette espèce de résurection.

     

     

     

    D'autres cas célèbres:

    Bertha Hemmling, enceinte de huit mois, décéda à Munich vers la fin du XIXe siècle et fut enterrée dans un des cimetières de la ville.
    Or, le lendemain de son inhumation, un promeneur alerta le gardien prétendant avoir entendu des coups sourds provenant de la tombe. Les autorités acceptèrent que l'on déterrât le cercueil et qu'on l'ouvrît en présence du prêtre de la paroisse, d'un juge et d'un officier de police.

    Le couvercle de la bière ôté révéla toute l'horreur du drame: inhumée vivante la jeune femme avait accouché dans son cercueil et son bébé avait comme elle succombé à l'asphyxie.

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    En 1819, un homme de cour, le baron Hornstein tomba en léthargie. Ses proches le crurent mort. Le médecin appelé à son chevet confirma son décès.
    La famille organisa les funérailles. Le baron fut enseveli en grande pompe dans le somptueux mausolée familial du cimetière. Or, le défunt sortit de sa léthargie et réussit à soulever le couvercle de son cercueil et à en sortir.
    Le caveau était vaste, mais, malgré tous ses efforts, le baron ne parvint pas à s'évader du caveau scellé où il croupit des heures durant en compagnie des cercueils d'autres membres de sa famille.
    Le baron perdit la raison et mit fin à ses jours en se brisant le crâne contre les murs du mausolée. Quelques jours plus tard, des ouvriers chargés de l'entretien des tombes, retrouvèrent son cadavre ensanglanté près de l'entrée du caveau.

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    En 1864, au Pays de Galles, des pêcheurs amenèrent un jour au port un jeune noyé qu'ils avaient remonté dans leur filet.
    L'adolescent fut transporté dans l'église car le village ne possédait pas de morgue. Un médecin venu du bourg l'examina et confirma son décès par noyade.
    C'était jour de marché.
    Toute la journée, les habitants des environs défilèrent devant le corps du jeune homme pour essayer de le reconnaître. En vain.
    Le lendemain, après une brève cérémonie, l'inconnu allait être inhumé anonymement, lorsque, à l'instant même où le menuisier venait de planter le dernier cloue dans le couvercle de son cercueil, il se réveilla et poussa un grand cri.

    Le jeune homme venait d'Irlande et son bateau de pêche avait fait naufrage. Il vécut encore de nombreuses années, en "bon chrétien" précise le narrateur, sans aucune séquelle.

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  • Source AD35 Bais BMS 1700


  • Oui, je sais, pas vraiment de rapport avec la généalogie, mais j'ai trouvé la photo et le travail tellement beau, que j'ai voulu partager

     


  • C'est sensiblement par là 

     



  • Il y a tout juste 238 ans, débutait la Guerre d'Indépendance aux Etats Unis


    La guerre d'indépendance des États-Unis opposa les colons britanniques d'Amérique du Nord à leur métropole, la Grande-Bretagne, de 1775 à 1783.

    Les colons américains révoltés étaient nommés par les Britanniques « insurgents » ou encore « Patriots ». La guerre d'indépendance américaine est un des processus de la révolution américaine qui permit aux États-Unis d'accéder à l'autonomie et de construire des institutions républicaines. Événement fondateur de l'histoire du pays ainsi que, par ricochet, du Canada anglais par l'expulsion de 50 000 loyalistes dans une population de 90 000 francophones du Québec, la guerre entraîna à partir de 1777 d'autres puissances européennes, parmi lesquelles la France, qui joua un rôle important.

    La France s'engagea d'abord dans la guerre d'indépendance américaine par la fourniture de matériel et d'aides en faveur des insurgés. Elle s'engagea ensuite officiellement en 1778. L'aide française navale et terrestre et le soutien de ses alliés contribuèrent à la victoire américaine, notamment à la bataille de Yorktown, et se conclut par le traité de Paris de 1783, épisode central des grandes spéculations boursières sous Louis XVI.

    Ce traité reconnaît l'indépendance des États-Unis d'Amérique. Plus de 70 000 loyalistes durent quitter le pays après la guerre : la plupart partit au Canada, en Grande-Bretagne ou dans les colonies britanniques des Caraïbes.

    La bataille de Lexington et Concord opposa les soldats continentaux aux forces britanniques et marque le début de la guerre d'indépendance américaine (1775-1783). Les affrontements eurent lieu à quelques kilomètres de Boston le 19 avril 1775 dans les villages de Lexington, de Concord, mais aussi à Lincoln, Menotomy et Cambridge. Ils se soldent par le retrait des troupes britanniques et plusieurs centaines de morts au total.

     

    Carte datant de 1775 de la bataille et du siège de Boston.

    • Contexte historique

    Dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle, les tensions entre les colons américains et la métropole britannique s’accroissent : Londres entend imposer des taxes et contraindre le commerce ; cette politique heurte les intérêts des marchands de la Nouvelle-Angleterre. Ces derniers estiment de surcroît injuste de ne pas être représentés au Parlement britannique et de ne pas bénéficier des mêmes droits que les sujets britanniques. Les colons s’organisent progressivement en milices et font quelques coups d’éclat : à Boston, une organisation secrète, les fils de la liberté (Sons of Liberty) dirigés par Samuel Adams, détruit la maison du gouverneur Thomas Hutchinson. En 1773, un groupe déguisé en Indiens s'en prend à la cargaison d'un navire britannique

     


    Le général britannique Thomas Gage devient commandant en chef des armées du Massachusetts en 1774 et remplace le gouverneur civil Thomas Hutchinson en tant que gouverneur militaire en avril. À ce titre, il est chargé d’appliquer les Intolerable Acts. Thomas Gage cherche à confisquer les munitions et les armes des miliciens (1774). Mais il perd le contrôle de la colonie du Massachusetts, dont les habitants pensent que la guerre est inévitable. Il reçoit l'ordre d'arrêter John Hancock et Samuel Adams, deux activistes anti-britanniques de Boston, considérés par les Britanniques comme traîtres. Mais ces derniers s’enfuient à temps et se réfugient à Lexington. Les colons avaient quant à eux rassemblé pendant l'hiver des armes, des munitions et de la poudre à Concord. Dans la soirée du 18 avril 1775, Thomas Gage envoie 700 hommes dirigés par le lieutenant-colonel Francis Smith vers ces deux villes, situées à quelques kilomètres à l'ouest de Boston. Leur but est de détruire le stock de munition mais aussi de capturer Samuel Adams et John Hancock. Cependant, les colons furent informés à temps par Paul Revere et William Dawes que les troupes britanniques arrivaient. Ils eurent le temps d’envoyer des messagers dans toute la région et de déplacer leur arsenal dans les localités voisines.

    • La bataille

     

     Bataille de Lexington, le 19 avril 1775.


    Les premiers échanges de tirs commencèrent à Lexington au lever du jour, le 19 avril 1775. À cause de son infériorité numérique (500 hommes), la milice américaine dut battre en retraite. Une autre escarmouche eut lieu au North Bridge, près de Lexington. Les renforts de minutemen et ceux de l’armée britannique changèrent la donne : les Britanniques finirent par se replier sur Boston.

    • Bilan et conséquences

     

    Au final, 273 Britanniques périrent, disparurent ou furent blessés contre seulement 95 colons.

     

    Sur le chemin du retour vers Boston, les troupes britanniques furent harcelées par des insurgents, en embuscade. Le gouverneur Thomas Gage garantit une amnistie à ceux qui manifesteraient leur loyauté à l’égard de la Couronne, sauf pour Hancock et Samuel Adams. Soupçonnant sa femme Margaret Gage, née en Amérique, de soutenir la cause des rebelles, il l’envoie en Grande-Bretagne. Elle était l’amie d’un insurgent, Joseph Warren, et l'aurait prévenu de la marche sur Lexington et Concord. La nouvelle de la bataille arriva en Grande-Bretagne le 29 mai 1775.

    La bataille de Lexington et Concord a une charge symbolique importante : premier affrontement armé de la guerre d'indépendance, elle est toujours célébrée de nos jours dans le Maine et le Massachusetts (Patriots' Day et Marathon de Boston). Un poème patriotique raconte la course de Paul Revere qui était un artisan franc-maçon.

    SOurce Wikipédia


  • Q comme

     

     

    Querré est un tout petit village qui s'étend sur 12,4 km², situé dans mon Département de Naissance, le Maine & Loire (49).

    • Latitude: 47° 40' 46'' Nord
    • Longitude: 0° 37' 0'' Ouest.


    Querré est la 23426ème ville au classement des communes de France ayant le plus d'habitants.  Cette ville appartient au Canton de Châteauneuf-sur-Sarthe.


    La carte de cassini de Querre

     Je me suis amusé ce matin en remarquant que Querré ne comptait en 2010 que 319
    âmes, alors que j'ai dans mon arbre, 314 individus qui en émanent.
    Est-ce à dire que les Queréens et les Queréennes d'aujourd'hui, descendent tous de mes Ancêtres ?
    C'est juste une petite anecdote que je me devais de partager avec vous.

    Voici tout de même tous les Patronymes de mon arbre associés à Querré:
    BACHELOT (85), BERTHELOT (5), BESSON (17), BÉCHU (2), CHABAIN (2), CHABAING (24), CHALUMEAU (1), CHAPON (4), CHESNEAU (1), COLAS (2), DELAUNE (2), DELESPINE (2), FERRÉ (1), GENTILHOMME (1), HAMELIN (36), HAMON (3), HERPIN (1), LE TERME (3), LEGUERÉ (1), LEMESLE (1), MADIOT (1), MARION (64), MARTINEAU (2), MICHEL (1), PAIGNÉ (1), PASQUIER (1), POMMIER (1), RIFLÉ (1), ROBICHON (2), SAULNIER (8), SEUREAU (3), TAUSSON (19), TESSÉ (4), TESSIER (11), VEAU (1)

    Mon plus vieil acte à ce jour à Querré, le Baptême d'Olivier CHABAING, fils d'André et d'Estiennette DELESPINE le 14 aout 1617 (AD BMS 1616-1673 page 4/166).