• Louis XV, dit le « Bien-Aimé », né le 15 février 1710 à Versailles, s'éteint, miné par la Petite Vérole, le 10 mai 1774 à Versailles.

     

    Relevé sur les Affiche d'Angers de juin 1774

    Relevé sur les Affiche d'Angers de Juillet 1774

    Relevé sur les Affiche d'Angers de septembre 1774


  •  Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault
    le 24 avril 2013 à l'Assemblée nationale à Paris
    (AFP/Archives, Pierre Andrieu)

     

     

    Accord libre-échange UE-USA: Paris prêt au droit de veto pour garantir l'exception culturell  
     

    PARIS — Jean-Marc Ayrault a déclaré mercredi à l'Assemblée nationale que la France utiliserait son "droit de veto politique" si les "industries culturelles" ne sont pas exclues du champ des négociations d'un accord de libre-échange entre les Etats-Unis et l'Union européenne.

    Les ministres européens du Commerce se réunissent vendredi à Luxembourg pour tenter de se mettre d'accord sur le mandat qui doit être confié à la Commission européenne avant d'entamer des négociations avec les Etats-Unis.

    "La France est favorable aux échanges économiques à condition que les règles du jeu soient clairement affirmées", a déclaré le Premier ministre, lors de la séance des questions au gouvernement à l'Assemblée. Il a rappelé que d'autres secteurs, comme l'agriculture ou la défense, avaient été d'ores et déjà été exclus.

    La ministre du Commerce extérieur Nicole Bricq, "qui représentera la France vendredi au conseil européen, aura un mandat clair: la France s'opposera à l'ouverture des négociations si la culture, si les industries culturelles ne sont pas protégées et n'en sont pas exclues", a annoncé M. Ayrault, interrogé par le député PS Patrick Bloche.

    "La France ira jusqu'à utiliser son droit de veto politique, c'est notre identité, c'est notre combat", a-t-il conclu.

    Mme Bricq a ensuite souligné devant les députés qu'"il ne s'agissait pas de défendre le village gaulois" mais "de laisser l'avenir ouvert à l'innovation dans le domaine des industries culturelles". Elle a affirmé que la France n'était "pas isolée" dans ce dossier, et que c'était la Commission européenne qui était "sur la défensive".

    "La Pologne, l'Italie, la Belgique, la Roumanie, l'Autriche, parmi d'autres, ont affirmé leurs préoccupations" au sujet de ce mandat de négociations, a-t-elle ajouté. "Mais tous ces pays ne sont pas prêts à afficher la même détermination quand il s'agira de donner le mandat à la Commission européenne, c'est-à-dire après-demain", a-t-elle reconnu.

    "Certains mêmes sont prêts à accepter une position de compromis de la Commission européenne, qui nous dit qu'elle fait des avancées", a-t-elle regretté. Or la Commission "continue à vouloir prendre des engagements, mais sans dire explicitement lesquels" et "sort de sa compétence" quand "elle nous dit quelque part que c'est elle qui sera juge de ce qu'est ou de ce que n'est pas la diversité culturelle", a-t-elle jugé.

    Pour tenter de convaincre Paris, mais sans succès, un projet de mandat a été élaboré qui n'exclut pas l'audiovisuel du champ des négociations, mais tente de fixer des lignes rouges autour de ce secteur.

    L'Assemblée nationale, dans une résolution votée à l'unanimité en début de soirée, a souhaité que "les services audiovisuels soient expressément exclus du mandat de négociation de la Commission européenne" et soutenu l'utilisation du droit de veto par Paris.

    "Il n'y aura d'accord sur rien, s'il n'y a pas d'accord sur tout", a martelé la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, à l'issue de la discussion. "La France n'est pas seule", a-t-elle souligné. "Aux Etats-Unis même, nous avons eu le soutien d'artistes majeurs comme Steven Spielberg", a précisé la ministre.

    "La culture ne peut être considérée comme une marchandise comme les autres, sauf à accepter la disparition de la diversité culturelle", ont souligné les députés, le radical de gauche Roger-Gérard Schwartzenberg corrigeant : "la culture n'est pas une marchandise du tout!"

    Les députés ont également tenu à rappeler leur "attachement au principe de la neutralité technologique" selon laquelle "la nature du support ne modifie pas le contenu de l'oeuvre". "La libéralisation" des services audiovisuels sur Internet "permettrait aux géants du numérique américains d'échapper à toute obligation envers la création", a mis en garde le député UMP Franck Riester.

    Malgré ce vote à l'unanimité, certains députés, dont l'UMP Pierre Lellouche, ont regretté que seule la question de l'exception culturelle ait été ouverte au débat parlementaire et non pas l'ensemble de l'accord entre l'Union européenne et les Etats-Unis comme prévu au départ. "C'est un véritable déni de démocratie", s'est-il emporté.

     
     
     
     
     
     

     

     


  • Relevé dans le Petit Courrier d'Angers en date du mardi 28 juin 1921

    Le Curé de la Cathédrale meurt subitement pendant les Vêpres.

    Les Obsèques de M. l'Archiprêtre Baumard
    dans le P.C du Jeudi 29 juin 1921


  • Quel joli nom pour une bien triste profession.

    Une faiseuse d'anges est une femme (le plus souvent non médecin) qui agit volontairement de façon à interrompre la grossesse non voulue d'une autre femme. Il y avait bien sûr aussi des faiseurs d'anges. Ces interventions se pratiquaient illégalement, dans la clandestinité, souvent par des méthodes dangereuses (injection d'eau savonneuse dans l'utérus, pose de sondes dans le col, aiguilles à tricoter, massages etc.). Les complications graves étaient fréquentes (lésions, infections, saignements) avec parfois des suites mortelles. En France, les faiseuses d'anges sont passibles de peines plus ou moins graves.

    La définition du terme donnée par Émile Littré, en 1877, est la suivante : « nourrice qui laisse mourir de propos délibéré des nourrissons qu'on lui confie ». L'idée était donc que ces enfants innocents devenaient des anges après la mort. Entre le XIXe et le XXe siècle, il y a eu un glissement de sens : auparavant, la « faiseuse d'anges » faisait mourir des enfants, ensuite il s'agit d'embryons.

    Dans la plupart des pays occidentaux, cette activité a disparu depuis la légalisation de l'avortement, qui est devenu une intervention médicale. (Wikipédia)

    Relevé dans le Petit Courrier d'Angers en date du jeudi 16 juin 1921


  •  Relevé dans le Petit Courrier d'Angers en date du Dimanche 12 juin 1921 (vue 22/57)

     Article transmis à ces descendants trouvés sur Généanet 


  • Poitiers  est une commune du centre-ouest de la France, chef-lieu (préfecture) du département de la Vienne et de la région Poitou-Charentes.

    Avec 87697 habitants (population municipale en 2010), Poitiers est la commune la plus peuplée de la Vienne. C’est aussi la plus importante commune de la région Poitou-Charentes, devançant La Rochelle (75 822 habitants), Niort (58 072 habitants) ou Angoulême (43 112 habitants). Elle est à la tête de la première agglomération picto-charentaise (129 044 habitants en 2008), son unité urbaine constituant le centre d'une aire urbaine de 249 196 habitants, la plus importante au niveau régional en termes de population. Le Grand Poitiers comptait, quant à lui, 136 016 habitants au 1er janvier 2009.

    Ville d'art et d'histoire, celle qu'on surnomme encore « La ville aux cent clochers » est riche d'un important ensemble monumental comprenant notamment le baptistère Saint-Jean (IVe siècle), l'hypogée des Dunes (VIIe siècle), l'église Notre-Dame la Grande (XIIe siècle), l'église Saint-Porchaire (XIIe siècle) ou encore la cathédrale Saint-Pierre (fin du XIIe — début du XIIIe siècle). Son centre historique concentre de nombreuses maisons à colombages, quelques hôtels particuliers — hôtel Fumé, hôtel Jean Beaucé — ainsi que l'ancien palais des comtes de Poitou, ducs d'Aquitaine (XIIe siècle), aujourd'hui reconverti en palais de justice. (Wikipédia)

    Relevé dans le Petit Courrier du 28 mai 1941

    Poitiers devient la Capital de la Région Poitou-Charente


  • Trouvé sur les AD de Soulièvres (*)

                                               Le corps de Louis ADAM agé d'environ cinquante quatre ans
                                               décédé de hier au soir sur les sept heure dans la communion
                                               de l'église après avoir reçu tous les sacrements, mis en fosse
                                       sur les neuf heures du matin, sans l'avoir entré dans l'église, le corps
                                       du susdit Louis ADAM étant resté à la porte de l'église parce que
                                       je craignois selon le raport des plus proches parents que ce cadavre
                                       infecta mes paroissiens qui ce jour là était en grand nombre à
                                               l'absolution, ce qui est de la dernière conséquence pour un lieu où
                                               se rassemblent les fidèles, après toutes les prières et cérémonies
                                               observés selon les ordonnances de ce diocèse, le corps a été déposé
                                               au cimetière près de la grille la plus proche de l'église; en présence de
                                               Marie Anne CHESSÉ pouse du dit déffunt, .....

     

    (*) Soulièvres (79) AD BMS 1767-1783 page 60/118


  • Trouvé sur les AD de Soulièvres (*)
    Baptême d'un enfant abandonné

                                                                           Le vingt huit may mil sept cent quatre vingt                                                                                                 a été baptisé sous condition par moy prieur curé
                                                                           soussigné un enfant qu'on a trouvé au jour
                                                                           levant, exposé sur la couverture d'une maison au
                                                                           village du grand moyré; lequel enfant paroist
                                                                           avoir deux jour et qui'l a été nommé Pierre
                                                                           fils de père et de mère inconnus, a été parrain
                                                                           Pierre Marcheton et marraine Marguerite
                                                                           Depois qui ont déclarés ne savoir signer, de ce que ....
                                                                           Chauveau prieur curé de Soulièvres



                                                                           La nourrisse de cet enfant trouvé ayant quelque
                                                                           jours apprès, détaché un ruban qui était au bonet de
                                                                           cet enfant sa façon de boucle c'est appercu qu'il
                                                                           avoit un écrit; ne sachant pas lire, on m'a apporté
                                                                           le ruban qui est de couleur rouge sur lequel est écrit
                                                                           en gros caractère ces mots (ayez soin de l'enfant
                                                                           il sera réclamé) le dit ruban a été mis entre les
                                                                           mains de Mr Duplessis greffier au Duché de Thouars. A Soulièvres
                                                                           trente un may 1780 . Chauveau prieur curé de Soulièvres

    (*) Soulièvres (79) AD BMS 1767-1783 page 90/118