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    Photo parue dans les Affiches d'Angers du 20 juillet 1925

    Relevé sur les Affiches d'Angers du 16 juillet 1927.

     

    Relevé sur les Affiches d'Angers du 18 juillet 1927

    Le soldat inconnu français à Bruxelles Laeken dans A NOS ANCIENS hommagebelgiquesoldatfrancais1927-150x150 soldatinconnufrancaislaeken-150x150 dans GUERRE 1914 - 1918 monumentpoilusbruxelleslaeken-150x150 dans LES SOLDATS INCONNUS soldatin-150x150

     

    L’armée française était présente au front lors de toutes les batailles en Flandre de 1914 à 1918.

    Afin d’honorer les 50 000 soldats français morts sur le sol belge, la Belgique a édifié un monument à la mémoire de tous les Poilus et en particulier, à ceux qui sont inhumés dans des tombes anonymes (6340 tombes anonymes réparties dans 41 cimetières).

    Un hommage national a été rendu aux Poilus et le monument a été inauguré le 17 juillet 1927 à Bruxelles. Il est situé devant l’entrée du cimetière près de l’église Notre-Dame de Laeken.

    C’est devant ce monument que se retrouvent des anciens pour les commémorations relatives à la France, telle que le 14 juillet (notre fête nationale) ou plus particulièrement la bataille de Camerone (Cérémonie le 25 avril 2009 à Laeken).

    Source: aufildesmotsetdelhistoire.unblog.fr


  • Elle a été instituée par la loi en 1880, en référence à une double date. Celle du 14 juillet 1789, date de la prise de la Bastille, jour symbolique entraînant la fin de la monarchie absolue, suivi de la fin de la société d'ordres et des privilèges. Et celle du 14 juillet 1790, jour d'union nationale lors de la Fête de la Fédération.


    La Fête de la Fédération fut célébrée au Champ-de-Mars de Paris, le 14 juillet 1790

    La fête nationale française a lieu le 14 juillet, vous le savez probablement. Mais pourquoi cette date ? Si vous alliez répondre « la prise de la Bastille« , et bien ce n’est pas tout à fait cela.

    Certes, la prise de la Bastille a bien eu lieu le 14 juillet 1789. Mais ce n’est pas la prise de la Bastille qui est fêtée en France chaque année. C’est un tout petit peu plus subtil : la fête nationale française commémore la fête de la Fédération. Celle-ci eut lieu le 14 juillet 1790, premier anniversaire de la prise de la Bastille, à l’initiative de La Fayette pour fêter les fédérés des gardes nationales de France. Elle se voulait un événement de réconciliation et d’unité des Français.

    La fête de la Fédération à Paris le 14 juillet 1790

    En 1880, le député Benjamin Raspail propose l’adoption du 14 juillet comme fête de la République française. Au Sénat, de vives discussions ont lieu, car cette date est loin de faire l’unanimité. Pour la fête nationale française, on veut un symbole de l’unité de la nation, de la naissance de la République.

    La prise de la Bastille, le 14 juillet 1789, est un de ces symboles. Mais il est jugé trop douloureux et sanglant par les sénateurs. C’est donc le 14 juillet 1790, celui de la fête de la Fédération, qui sera préféré, n’ayant « coûté ni une goutte de sang ni une larme ».

    On peut néanmoins voir dans ce choix à double sens une sorte de concensus : si officiellement le 14 juillet en France commémore la fête de la Fédération, il peut très facilement faire écho au 14 juillet de la prise de la Bastille.
    On le remarque d’ailleurs aisément par le glissement de date dans la mémoire collective. Pour la plupart des Français, la fête nationale commémore la prise de la Bastille du 14 juillet 1789. Il ne vous reste plus qu’à faire le test autour de vous !

    Source: Sénat, via anecdote du jour.com

    • Relevé sur les Affiches d'Angers du 13 juillet 1790


  • Wikipédia nous donne la définition suivante: En génétique, un atavus (ou atavisme) est un caractère primitif qui réapparaît après une ou plusieurs générations ( du latin atavi, « quadrisaïeuls, aïeux éloignés »).

    Le terme était fréquemment employé dans un sens psychologique pour désigner, de manière plus ou moins fondée, et souvent en mauvaise part, une prédisposition innée à certains comportements, notamment rebelles : certains criminologues du XIXe siècle (particulièrement Cesare Lombroso) s'attachaient ainsi à démontrer l'existence d'un atavisme criminel chez certaines personnes ou catégories de personnes.

    On parle aussi en matière sociale d'atavisme pour qualifier certaines résurgences de choses dont on croyait être débarrassé, tel que la réapparition de mouvements d'inspiration nazie en Allemagne, ou encore le choix de modes de vie différents et d'un niveau technologique ou culturel considéré comme en retard, voire arriéré ou primitif, tel que les gens choisissant de vivre dans des cabanes sur des terrains non constructibles, la réapparition de cultes de religions disparues, notamment païennes, ou encore le mode de vie et la violence de certains humains en situation de survie.

    • Relevé sur les Affiches d'Angers du 18 aout 1925


  • Partir d'un fait divers et aider à reconstituer une famille, c'est bien aussi

    Relevé sur les Affiches d'Angers du 17 aout 1925

    Rapide recherche sur Généanet, 1 seul arbre (cocogenea27)
    Un seul enfant trouvé pour sa descendance, je transmet. D'autres recherches en perspective.

    Une également sur Généalogie.com (C.A13), je transmet aussi


    • Relevé sur les Affiches d'Angers du dimanche 9 aout 1925

     

    • Relevé sur les Affiches d'Angers du lundi 10 aout 1925

     

    • Relevé sur les Affiches d'Angers du mardi 11 aout 1925

                                                                           

    • Relevé sur les Affiches d'Angers du mercredi 12 aout 1925

     

     

     

    • Relevé sur les Affiches d'Angers du jeudi 13 aout 1925

    Le flot charmeur a volé la vie de 13 enfants sur la plage de Saint-Étienne-au-Mont

     

     

    C'est le samedi 9août 1925, sur la plage d'Ecault, que treize enfants ont péri après avoir été emportés par une lame de fond.
    C'est le samedi 9août 1925, sur la plage d'Ecault,
    que treize enfants ont péri après avoir été emportés par une lame de fond.

     

    Qu'ils étaient heureux ces enfants en débarquant à Condette pour un séjour sur la Côte d'Opale. Une colonie de vacances, comme on disait à l'époque, organisée par les tissages Leclerc-Dupire de Wattrelos à l'intention des enfants des ouvriers de leur usine.

    Ces garçonnets, fils d'humbles ménages de cette grande cité industrielle aux abords de Roubaix, débordaient de joie à l'idée de voir bientôt la mer.

    Un temps lourd mais une mer calme
    Ah ! la mer. Que de fois ils en avaient rêvé, un rêve quelque peu inaccessible. Ils se la représentaient de mille manières et leur impatience grandissait maintenant qu'ils étaient si près d'elle.
    Il leur fallut pourtant attendre le samedi 9 août de cette année 1925 pour entendre le responsable du groupe, le Père Delaporte, leur annoncer le départ pour la promenade en direction des dunes et de la plage à Ecault, entre Equihen et Hardelot.
    Le temps était lourd et chaud, ce jour-là, mais la mer était calme. Près de la moitié des enfants demandèrent l'autorisation de prendre un bain. Le prêtre hésita bien un peu mais il n'avait vraiment aucune raison de ne pas accéder à leur requête.
    Pour s'ébattre dans l'eau, les garçonnets, tous âgés d'une dizaine d'années, portèrent leur choix sur un endroit où la plage était un peu surélevée, une sorte de promontoire bordé par ces dépressions, appelées "bâches" dans le Boulonnais, qui sont particulièrement dangereuses surtout à marée montante.
    Or, la mer montait. Elle montait même très vite. Prenant conscience du danger, le prêtre et les surveillants sifflèrent la fin de la baignade et enjoignirent aux enfants de regagner le rivage au plus tôt.

    Une vision d'enfer
    Si les bambins avaient pu garder leur sang-froid, ils eussent évacué le promontoire sur le côté parallèle à la côte mais, malgré les avis répétés et impuissants de leurs accompagnateurs qui étaient au bain avec eux, ils se précipitèrent droit devant eux. Ils devaient fatalement tomber dans la bâche. Et ils y tombèrent.
    D'après le récit de témoins, le chroniqueur d'un journal local raconta le déroulement de la tragédie qui se préparait. « Les premiers garçonnets tombèrent, dit-il. Alors la panique s'empara des enfants. Ils entraînèrent leurs camarades qui les suivaient et s'étaient accrochés à eux, désespérément. Ce fut pendant quelques instants une vision d'enfer : des têtes, des bras qui s'agitaient au-dessus de l'eau puis disparaissaient, des cris affolés, des appels suprêmes qui n'avaient plus rien d'humain. Courageusement leurs surveillants auxquels s'étaient joints d'autres sauveteurs bénévoles plongèrent et s'efforcèrent de ramener les enfants à flot mais ceux-ci étaient très nombreux et s'ils réussirent à sauver quelques-uns, la plupart hélas ! avaient sombré définitivement ».

    La mer rend les petits corps un à un
    Des estivants qui avaient aperçu le drame vinrent prêter main-forte. Longuement, tous explorèrent la bâche. Après de multiples tentatives, il fallut se rendre à l'évidence. Tous les efforts étaient devenus inutiles. Huit enfants avaient été repêchés ; ils furent transportés en toute hâte à Hardelot où des soins intensifs réussirent à en rappeler quatre à la vie mais pour les quatre autres, la mort avait fait son oeuvre.
    Pendant ce temps, les enfants ayant décidé de rester sur les dunes avaient suivi avec horreur la tragédie qui se déroulait sous leurs yeux. Affolés, ils s'enfuirent dans le massif dunaire, errant au gré d'une fantaisie qu'ils étaient incapables de contrôler. On en retrouva quelques-uns dans les villas du littoral où ils avaient trouvé refuge mais le soir venu, à Condette, c'était toujours l'incertitude sur le nombre de disparus.
    Le lendemain, dimanche, les recherches continuèrent sur la plage. Elles amenèrent la découverte de deux cadavres, puis, un peu plus tard, on releva encore deux autres petits corps inanimés. En début d'après midi, avec la marée, la mer meurtrière rejeta, du côté d'Equihen, deux autres enfants qu'elle avait engloutis et un nouveau dans la soirée. On pouvait alors fixer à treize le nombre des victimes.

    Piégés par une lame de fond
    On juge de la douleur des parents quand ils apprirent la triste nouvelle. Et ce fut une scène d'intense émotion quand ils furent mis en présence des corps inanimés de leurs enfants.
    Les autorités s'attachèrent à déterminer les éventuelles responsabilités d'une telle catastrophe. Le flot fut déclaré seul responsable car c'est l'arrivée inopinée d'une lame de fond qui provoqua l'accident. De fait, cette lame de fond a été ressentie sur une grande partie de la côte entre Camiers et Ambleteuse. Elle a aussi déferlé en rade de Boulogne au point que la frégate de guerre argentine "Presidente Sarmiento" qui entrait au port fut considérablement déportée par le formidable remous de l'eau.
    Les choeurs de Lyriade 62 ont inscrit à leur répertoire une valse lente faisant référence à cette tragédie de Saint-Étienne-au-Mont. En trois couplets et autant de refrains, cette tarentelle parle « du flot charmeur qui a encore fait pleurer les yeux, du flot voleur qui a pris treize petits fieux, du flot berceur qui a trompé même les vieux qui ne voient plus qu'avec horreur le flot menteur ».

    André VERLET

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  • Joseph Sadi-Lecointe (1891-1944) est un aviateur français qui a établi plusieurs records du monde d'altitude et de vitesse et un Résistant

    Relevé sur les Affiches d'Angers du dimanche 26 juillet 1925

    Il est né le 11 juillet 1891 à Saint-Germain-sur-Bresle.

     

    Joseph Sadi-Lecointe en 1924 

                                               

    Il est décédé à Paris, le 15 juillet 1944 à l’hôpital du Val de Grâce. Il fut d'abord inhumé au Père-Lachaise, puis transféré à Beaucamps-le-Jeune en 1946.

     

    • Les débuts d'un pilote

     

    Couvreur-zingueur de formation, il se fit engager comme mécanicien-soudeur dans une usine d'aviation de la région parisienne qui avait entrepris la construction d'un petit appareil baptisé «Zénith», Sadi Lecointe, alors qu'il n'avait jamais pris la moindre leçon de pilotage, se proposa d'essayer l'appareil, le 30 janvier 1910 du terrain d’Issy-les-Moulineaux. Il obtint le brevet de pilote civil n° 431, le 11 février 1911. Il travailla ensuite chez le motoriste Anzani. Sadi-Lecointe effectua ensuite de nombreuses démonstrations en vol dans les principales villes de France a bord d'un Blériot XI. En octobre 1912, il devint sapeur au 1er Régiment du Génie de Versailles, puis fut muté à l’Escadrille BL 3 en tant que mécanicien. Il fut breveté pilote militaire (n°375) le 20 septembre 1913.

    • Pilote de guerre et instructeur

    Joseph Sadi-Lecointe vers 1919
    Joseph Sadi-Lecointe vers 1919

     

     

     

     

     

     

     

     

    En 1914, a la déclaration de guerre, Joseph Sadi-Lecointe s'engagea dans l'aviation militaire. Il fut affecté avec le grade de caporal comme pilote de l'escadrille BL 10. Il effectua de nombreux vols de reconnaissance. Son appareil fut le premier avion français endommagé par les tirs ennemis le 7 août 1914. Il réussit cependant à lui faire regagner les lignes françaises bien que son coéquipier fut blessé. Il fut cité à l'ordre de l'armée. Le 15 mars 1915, il intégra l’Escadrille de combat MS 48 en cours de rééquipement en monoplace Nieuport et devint adjudant en avril 1915. Il fut ensuite affecté au Centre d'entraînement d'Avord, le 19 décembre 1915 où il forma près de 1 500 pilotes dont Maurice Boyau et Michel Coiffard ainsi que des volontaires américains. Sous-Lieutenant en octobre 1916, il fut détaché le 17 septembre 1917 en tant que pilote d’essais chez Blériot-SPAD à Villacoublay, où il assura la mise au point des chasseurs SPAD VII et XIII.

     

     

    • Les records

     

    À partir du 11 mai 1919, il travailla chez Nieuport jusqu'en 1924 en tant que chef-pilote, il effectua les essais de plusieurs dizaines d’appareils de tous types.

     

    Il entama une carrière internationale en battant le record du monde d'altitude en s'élevant à 8 155 mètres à bord d'un Spad-Herbemont. Le 30 octobre 1923, il atteignait 11 145 mètres. il enregistra pas moins de sept records du monde d'altitude. Il fut aussi détenteur de huit records du monde de vitesse (de 275 à 375 km/h) et de dix-huit titres de champion du monde. Il remporta egalement les coupes Deutsch de la Meurthe, Gordon Bennett et Beaumont.

     

    Joseph Sadi-Lecointe s'illustre également aux commandes d'hydravions, décrochant notamment le record du monde de hauteur avec ce type d'appareils, le 11 mars 1924 : 8 980 mètres avec un Nieuport-Delage à moteur Hispano-Suiza 8F. 

     

    Il reprit du service pendant la Guerre du Rif au Maroc entre 1925 et 1927. Affecté au 37ème Régiment aérien, il effectua une quarantaine de missions .

     

    • Un administrateur

     

    En 1922, il fut l'un des co-fondateurs de l’Association des Vieilles Tiges. En 1927, il créa l’Association des Professionnels Navigants de l’Aviation (APNA), dont il devint ensuite Président. Il s’y occupa notamment des assurances et fonds de prévoyance et du statut du personnel navigant. En 1937-1938, il organisa les écoles de l’Aviation populaire et fut nommé Inspecteur général de l’Aéronautique civile et de l’Aviation populaire .

     

    • La Résistance

     

    Mobilisé en septembre 1939 en tant que Lieutenant-Colonel, il fut affecté à l’Inspection générale des Ecoles. Après l’armistice, il fut révoqué par Vichy en raison de ses opinions politiques. Ami de Jean Moulin, il participa activement en zone non occupée au réseau “Rafale Andromède”. Ses activités liées à la Résistance lui valurent d'être emprisonné à Fresnes au printemps 1944. Il décéda le 15 juillet 1944 à Paris, peu après sa libération, à l'Hôpital Saint-Louis sans doute victime des mauvais traitements qui lui avait été infligés pendant sa détention. (Source "les vieilles tiges")

     

    • Ses décorations

     

    Commandeur de la Légion d'Honneur

     

    Croix de Guerre 1914-1918

     

    Croix de Guerre des T.O.E.

     

    Croix de Guerre 1939-1945 (pour faits de résistance)

     

    • Postérité

    Une rue et une école maternelle du XIXe arrondissement de Paris portent son nom, ainsi que des rues à Vélizy-Villacoublay et à Blois.

    La Galerie des héros du Musée Somme 1916 d'Albert est en partie consacrée à Joseph Sadi-Lecointe.

    Sadi-Lecointe a également marqué de son empreinte le monde des apéritifs en en créant un avec des amis sous l'appellation " Un Zing ". 

    Une école de pilotage à l'aérodrome de Lognes porte son nom.

    Source: Wikipédia

     Un seul arbre sur Généanet avec Joseph Sadi-Lecointe (Pascale Hoëbeke-Thomas), je lui transmet ce billet 


  • Germaine Brière fut la première femme avocate inscrite au Barreau du Mans, mais ce ne fut pas sans mal.

    Germaine BRIERE nait au Mans (72) le 28 mai 1897, fille d'Alexandre et de Ernestine Juliette MAHERAULT, elle décèdera jeune, à l'age de 40 ans.

    Elle dù se battre pour défendre ses idées, jusqu'à un procès à la Cours d'Appel d'Angers

    • Relevé sur les Affiches d'Angers du 25 juillet 1925

    Celle qui fut, dans les années trente, la première avocate de la Sarthe, celle des deux soeurs Papin puis uniquement celle de Christine. Et la première, en France, à avoir accompagné son client jusqu'au pied de l'échafaud.

    Une forte personnalité héritée de sa mère, qui connaissait l'histoire d'Henriette Caillaux (1) et qui avait appris en 1900, alors que Germaine n'avait que trois ans, que Jeanne Chauvin était devenue la première avocate de France. Désormais, la voie de la jeune mancelle est toute tracée : elle sera avocate parce qu'il faut sortir de cette condition qui fait qu'« à l'époque, les femmes marchaient dans les pas des hommes ». Oui mais voilà, lorsque Germaine termine ses études de droit à Caen et qu'elle veut s'inscrire au barreau du Mans, c'est à sa mère, « une femme libérée », une « garçonne » qui a pour habitude d'aller au cinéma et qui a reçu chez elle des officiers pendant la première guerre mondiale que le barreau, très conservateur, de l'époque fait référence pour lui refuser cette inscription.C'était peu compter sur la ténacité de l'une et de l'autre. Germaine, sur les conseils de sa mère, fait appel de la décision auprès de la Cour d'appel d'Angers et finit par s'inscrire comme avocate au barreau du Mans le 14 octobre 1930, après cinq ans de stage ! Cette « grande claque » fera que cette femme brillante et sympathique s'imposera comme défenseure des pauvres, travaillant le plus souvent en tant qu'avocate commis d'office. (Source: lemans.maville.com)

    Un seul arbre sur Généanet avec Germaine BRIERE (Jean Paul MARGRETH)

     


  • C'est aujourd'hui le 318e anniversaire de Julienne LE FAUCHEUX, ma sosa 1483

     

    Julienne nait à Camors (56) le 12 février 1695 du Mariage de Louis LE FAUCHEUX et Janne LE GOLVAN

     

    Elle épouse Jean LORCY, le 8 février 1723 à Camors

    Ils auront une fille, Magdelaine Françoise (sosa 741) née le 11 février 1724 à Camors

    Jean Lorcy décède à l'age de 37 ans, le 14 mai 1735 à Camors

    Julienne se remarie le 6 septembre 1735 à Camors avec Julien LE DIGO

    Julienne s'éteindra le 1er février 1759 à Camors à l'age de 63 ans

    Source AD 56 Camors

    • Naissance, baptême: AD BMS 1670-1699 page 437/524
    • Union 1: Autre - AD BMS 1700-1729 page 331/442
    • Union 2: AD BMS 1730-1755 vue 133/502
    • Décès, inhumation: AD BMS 1756-1779 page 65/460