• Extrait du journal champêtre d’Édith HOLDEN notes de « la vie rustique - sous le règne d’Édouard VII »

    • Janvier du nom du dieu Janus, dieu à deux têtes, une tête tournée vers le passé, une tête tournée vers l’avenir

    • Février de Februare, mot latin signifiant purifier ou fébruales, fêtes romaines de la purifiction qui se célébraient au cours des derniers jours de ce mois.

    • Mars ce mois était le premier dans l’année romaine, suivant le calendrier ecclésiastique anglais appliqué jusqu’en 1752

    • Avril du mot grec qui signifie « ouvrir ». Dans les pays d’Europe, le premier est réservé aux farces, en France c’est le poisson d’avril, en Angleterre on l’appelle « april fool » ou le sot d’avril.

    • Mai ce mois pourrait venir de Maria, mère de Mercure pour laquelle les Romains célébraient des sacrifices. C’est aussi le mois où était célébrée la fête du printemps, puis par les Romains, il devient le mois de Marie.

    • Juin ce nom serait donné en l’honneur de Junon ou pourrait signifier le mois où les récoltes murissent.

    • Juillet septième mois était en réalité le cinquième mois. Ce nom fut attribué en l’honneur de Jules César, né durant ce mois.

    • Août doit son nom à l’empereur Auguste, août n’ayant que 30 jours, il fut ajouté 1 jour pour éviter que le mois d’Auguste soit inférieur au mois de Jules César.

    • Septembre septième mois du calendrier romain dans certains actes anciens, le chiffre 7 précède « bre » désignation par ordre numérique dans l’année.

    • Octobre huitième mois du calendrier romain, il était désigné pour marquer le début de l’hiver, aussi désigné 8bre.

    • Novembre neuvième mois de l’ancien calendrier, le 11 novembre était désigné comme l’entrée dans l’hiver.

    • Décembre décembre était le dernier mois de l’année qui n’en comptait que 10, mois sacré qui comprend Noël.




    publié dans par le CEGRA dans Généalogie et Histoire N° 134 de Juin 2008

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    Calendrier Révolutionnaire



        • Mois d'automne (terminaison en aire)

     

    • Vendémiaire (22 septembre ~ 21 octobre) - Période des vendanges

    • Brumaire (22 octobre ~ 20 novembre) - Période des brumes et des brouillards

    • Frimaire (21 novembre ~ 20 décembre) - Période des froids (frimas)

      • Mois d'hiver (terminaison en ose à l'origine)
        (abusivement orthographiée ôse par la suite)
    • Nivôse (21 décembre ~ 19 janvier) - Période de la neige

    • Pluviôse (20 janvier ~ 18 février) - Période des pluies

    • Ventôse (19 février ~ 20 mars) - Période des vents

      • Mois du printemps (terminaison en al)
    • Germinal (21 mars ~ 19 avril) - Période de la germination

    • Floréal (20 avril ~ 19 mai) - Période de l'épanouissement des fleurs

    • Prairial (20 mai ~ 18 juin) - Période des récoltes des prairies

      • Mois d'été (terminaison en idor)
    • Messidor (19 juin ~ 18 juillet) - Période des moissons

    • Thermidor (19 juillet ~ 17 août) - Période des chaleurs

    • Fructidor (18 août ~ 16 septembre) - Période des fruits



    Source: Wikipedia


  • Quel aurait été le destin du Monde, si le 8 octobre 1908, ce jeune étudiant allemand, répondant au nom d'Adolf Hitler, avait réussi son 2e examen d'entrée à l'École des beaux-arts de Vienne ?


    Une aquarelle d'Adolf Hitler en 1918

     

    L'amitié à Linz (automne 1904 - automne 1907)

    Les parents d'August Kubizek sont des Autrichiens d'origine tchèque. Après des études élémentaires, August travaille comme apprenti-tapissier dans l'entreprise de son père. En outre, sa véritable passion est la musique. À la Toussaint de l'année 1904, il fait la rencontre d'Adolf Hitler à l'opéra de Linz. Les deux jeunes gens sont mélomanes et particulièrement attirés par les grands compositeurs germaniques en vogue à la fin du XIXe siècle : Richard Wagner, Gustav Mahler ou encore Felix Mendelssohn.

    À la même époque, Hitler, qui suit encore un enseignement, est renvoyé de la Realschule de Linz, où il s'ennuie. Son professeur d'histoire, Léopold Pötsch, est un fervent pangermaniste. D'ailleurs entre les deux jeunes gens, c'est Hitler qui dirige les discussions politiques et artistiques. Il habite avec sa mère Klara Pölzl à Urfahr dans la banlieue alors qu'August vit chez ses parents à Linz même. Les deux adolescents flânent régulièrement dans les rues de la ville, jusqu'au jour où Hitler tombe amoureux d'une jeune bourgeoise, nommée Stéphanie, rencontrée sur la Landstrasse, alors qu'elle se promenait avec sa mère. On a la mention qu'Hitler aurait voulu se suicider dans le Danube, ne parvenant pas à séduire la jeune fille au cours du printemps 1906. Klara Pölzl, désormais convaincue que son fils ne fera rien de bon au collège, accepte qu'il tente son entrée aux Beaux-Arts.

    La brève colocation à Vienne (février 1908 - octobre 1908)

    Hitler s'apprête à tenter le concours d'entrée aux Beaux-Arts de Vienne en octobre 1907, il déménage dans la capitale autrichienne. Lorsqu'Adolf Hitler échoue une première fois, il ne prévient pas Kubizek ni sa mère et continue d'étudier le dessin. En décembre 1907, il apprend l'hospitalisation de sa mère et court à son chevet à Linz : elle succombe à un cancer le 21. La famille Kubizek a alors proposé à Hitler de passer les fêtes de Noël avec eux, ce dernier refuse. D'après le témoignage de Kubizek, Hitler aurait réussi à convaincre le père de ce dernier de lui permettre de tenter le Conservatoire de Vienne (février 1908). Ils louent une petite chambre avec un piano dans la Stumpergasse. August apprend le violon et réussit son entrée au Conservatoire. Ils ont peu d'argent pour vivre, bien que l'un reçoive de l'argent de poche de Linz et que l'autre perçoive une pension d'orphelin. Le 8 octobre 1908, Hitler retente son entrée aux Beaux-Arts, c'est un nouvel échec. On ne sait pas exactement pour quelle raison, peut-être qu'il effectuait son service militaire, Kubizek était absent à cette période-là. Il reçoit des cartes postales d'Hitler et lorsqu'il revient à Vienne au mois de novembre, il retrouve la chambre vide, Hitler est parti.

    Suite à ses échecs, il accumulera des tas de petits boulots, y compris, Peintre de rue et vendra même ses toiles dans les rues de Vienne. Un vrai petit Bohémien...

    Sources:Wikipédia, abstrait-concret.com, 1-jour.fr, Hitler artiste


  • Trouvé sur les Affiches d'Angers de février 1912

    Voici les projectiles succeptibles d'être utilisés dans les prochains conflis par nos aéroplanes.

    Du projet ...


    AD 49 Presse février 1912 vue 20/92

     

    Les "Fléchettes" ont été les premiers projectiles utilisés pendant la Grande Guerre, par les nouveaux aéroplanes de l'Armée Française.
    C'est à Clément Ader (plus connu pour son éole), que nous devons cette nouvelle invention. C'est lui aussi qui réussi à convaincre le Gouvernement au pouvoir du bien fondé d'investir dans cet armement.

    ... à la réalisation
    (trouvés après la Grande Guerre)

     Je suis persuadé d'avoir eu cet objet entre les mains, sans me douter une seule seconde ce que c'était.

     


  • Relevé sur les Affiches d'Angers du 6 octobre 1905

     


    AD 49 Presse octobre 1905 vue 14/68

     

    Condamnation Lieu Nom Crime Décision
    05 août 1905 Vesoul Antonio Pozzi 38 ans, maçon italien. Dans la nuit du 14 au 15 décembre 1904, agresse les époux Phelpin, buralistes à Chaux, et tue de deux coups de couteau Mme Phelpin avant de dérober 1.000 francs. Son complice Breveglieri est condamné à perpétuité. Guillotiné à Belfort le 06 octobre 1905.

    Source: http://guillotine.voila.net

    Je remonte en arrière


    AD 49 Presse aout 1905 vue 15/67

    Antonio Pozzi arrêté à Bâle le 27 décembre, est ramené à Belfort le 9 janvier 1905. Il essaie en vain de s’évader de la prison, mais lui et toute la bande sont transférés à la prison de Vesoul pour passer devant les Assises le 4 août 1905.
    L’avocat général demande la peine de mort contre les 3 principaux accusés qui ont déjà plusieurs condamnations à leur actif. M. Morel, l’avocat d’Antonio Pozzi, essaie d’obtenir les circonstances atténuantes en tâchant de démontrer qu’il n’y avait pas eu préméditation. M. de Beauséjour met en valeur que ce n’est pas Giovanni Biava qui a tué. Quant à l’avocat de Alfredo Galoni, il montre que Pozzi et Biava avaient tout intérêt à charger son client.
    La sentence tombe. Pozzi est condamné à mort et l’arrêt de la cour porte qu’il sera exécuté sur une place publique de Belfort, Biava aux travaux forcés à perpétuité, Galoni à 20 ans de travaux forcés, Mossini à quatre ans de prison, Miglieri et Berviglieri à deux ans de prison. Pozzi, qui a signé son pourvoi en cassation, est ramené à Belfort le 29 août et mis en cellule. 

     

     

    Anatole Deibler le « Monsieur de Paris » est le surnom du bourreau officiel de la III ème République jusqu’en 1937. L’exécuteur viendra à Belfort au mois d’octobre 1905 pour appliquer la sentence pénale à Antonio Pozzi, le grand Napolitain, il sera un de ces 395 guillotinés...
    Dans une geôle de la rue des Boucheries, un homme se morfond.
    Enchaîné, jour après jour, il attend l’aube fatale, tout en espérant jusqu’au dernier moment la grâce présidentielle. Emile Loubet a hésité plusieurs semaines avant de refuser de commuer sa peine, les journaux s’en sont même émus. Depuis qu’il est Président de la République, il gracie relativement souvent. Il n’y a eu aucune exécution en 1904. La malchance de Pozzi, c’est d’être italien immigré. C’est la cause probable du refus de la grâce, car il a commis son crime un an trop tôt. Le 18 février 1906, Armand Fallières succède à Emile Loubet.
    C’est un partisan de l’abolition de la peine de mort. En 1906, 1907 et 1908, il n’y aura aucune exécution.

    Comme la date de l’exécution est toujours tenue secrète par le 1er bureau de la chancellerie, le
    « Monsieur de Paris » est un homme épié et surveillé à Paris. Les journalistes ont leurs informateurs.
    Suivant la gare parisienne où il prend ses réservations, ils en déduisent immédiatement
    sa destination.

     

    Le jeudi 4 août dans son édition matinale, « le Petit Comtois » sera le premier à annoncer son départ pour Belfort. Anatole Deibler connaît parfaitement son travail, après avoir reçu la lettre du ministère de la justice avec la date et la ville où aura lieu l’exécution, il prévient ses aides, loue des chevaux et un cocher pour conduire son fourgon à la gare et retient un wagon plate-forme pour la voiture et une cabine de seconde classe pour lui et son équipe.
    Anatole Deibler et ses trois aides arrivent à Belfort par le train de 6 h 08, et descendent dans un hôtel proche de la gare. Ils déposent leurs bagages, et prennent un petit déjeuner. Anatole Deibler s’en va seul, accomplir les formalités d’usage.
    A la gare un employé l’a reconnu et aussitôt la nouvelle fait le tour de la ville : « Deibler est arrivé! l’exécution est pour demain. » La foule est dense aux abords de l’hôtel, tout le monde veut voir le bourreau qui s’engouffre dans une voiture de location et se fait conduire au palais de justice.
    Il est reçu par le procureur de la République avec qui il s’entretient des mesures à prendre concernant l’exécution du lendemain, le vendredi 6 octobre 1905 à 5 h 30 du matin. Il se rend ensuite au commissariat de police, à la prison et enfin à la mairie où la décision sera prise sur l’emplacement où sera installée la guillotine. Ce lieu existe toujours, les anciens Belfortains l’appelaient le square Pozzi. Cette petite place est située derrière le conseil général, face au square du souvenir.

    Il rentre ensuite à son hôtel. Le train qui doit amener les bois de justice a du retard. Il devait arriver à 9 h 50, il ne sera là qu’à 13 h 30. Le wagon sur lequel est juché le fourgon est détaché du train et remisé près du quai aux bestiaux. Pendant toute la journée les curieux défilent, pour voir cette sorte de grande berline noire avec deux petites roues à l’avant et deux grandes roues à l’arrière. A l’intérieur tout le matériel appelé aussi les « Bois de justice » est méticuleusement rangé.

    Les montants laqués de brun,
    La bascule et le linteau,
    Le mouton ( lest du couperet )
    Le couperet, plus un de rechange
    Des échelles et des cordes
    Le grand panier d’osier doublé de zinc
    L’auge pour la tête
    Un sac de son
    Des seaux et des éponges ,etc.

     


    Le véhicule transportant les « bois de justice »
    arrive à Belfort par le train

    Les exécutions se font toujours à l’aube. Le montage de « La veuve » autre nom donné à la guillotine ou « la louisette » par les Parisiens n’est jamais installé à l’avance, son montage s’exécute au cours de la nuit avant l’aube fatidique. Il est 2 h 30 du matin, tout Belfort est en marche.
    Le mouvement a commencé vers minuit, un véritable flot humain converge vers le lieu de l’exécution. Les aides du bourreau se rendent à la gare, attellent deux chevaux au char de la mort et les emmènent au galop, ainsi que leur patron qu’ils ont pris en passant, vers le minuscule bout de terrain le long du quai Vauban. Le cordon de troupe formé de quatre compagnies d’infanterie des 35 ème, 42 ème, et 23 ème de ligne contiennent la foule et s’ouvre pour les laisser passer. Un peloton de dragons à cheval bloque toutes les rues avoisinantes. Cela représente plus de 1000 hommes en tout pour contenir cette foule impatiente, pensez donc 10 000 personnes! Estimation donnée par le journal la Frontière et L’Alsace, il n’y a pas eu d’exécution publique dans cette partie du Haut- Rhin demeurée française depuis le guillotiné de Sermamagny à Grosmagny en 1855….! Sous Napoléon III. Certains jubilent à l’idée de voir une nouvelle exécution d’un assassin à Belfort.
    Les aides de l’exécuteur sortent les diverses pièces de la lugubre carriole avec tous les accessoires, et le montage peut commencer. Peu avant quatre heures, l’assemblage est terminé. Le bourreau, qui a déjà vérifié avec son niveau le parfait équilibre de l’ensemble, fait jouer une dernière fois le couteau dans la rainure. Tout est parfait !


    La « une » du journal L’Alsace du dimanche 8 octobre 1905

     

    A 4h 30, l’équipe remonte en voiture et se rend à la prison où on lui remet le prisonnier. Le procureur annonce à Pozzi que son pourvoi est rejeté, à cette annonce il dit avec ironie : « Certes, je m’y attendais, mais ça ne fait rien. C’est désagréable d’être dérangé comme cela de bonne heure. ». Puis, il rajoute au procureur : « Puisque je vais mourir, j’ai une révélation à vous faire.
    Je connais le crime mieux que vous, n’est-ce pas, puisque j’y étais ? Eh bien, vous avez commis une erreur en condamnant Breveglieri comme mon complice. Il est innocent, vous en trouverez la preuve là-dedans. » Il lui donne une lettre, et demande qu’on envoie ses vêtements ainsi qu’une seconde lettre à sa mère. « Maintenant que vous connaissez mes dernières volontés, nous allons nous occuper du petit voyage ! » Après s’être entretenu avec l’aumônier il se confessa. Habillé, après la communion, on lui demande s’il veut se restaurer : « Parbleu, quelle question !

     

     

    Je ne me suis peut-être jamais senti aussi bon appétit ! » Regardant le greffe, il dévore trois côtelettes en mordant à même la viande, vide une bouteille de vin, et trois petits verres de rhum.
    En mangeant , il rit : « Il n’y a rien de tel pour activer la digestion ! Messieurs, je bois pour la dernière fois à votre santé ! « Comme il veut discuter avec Deibler, ce dernier ne partage pas ses intentions et fait presser le mouvement vers le greffe. Pozzi rajoute au greffe : « Avant de m’en aller, j’allume ma dernière cigarette et,comme je ne suis pas un ingrat, je voudrais bien que l’on donnât un pourboire de ma part à mon gardien, qui a été très gentil pour moi. La preuve, c’est que si je l’avais voulu, j’aurais pu me suicider, j’avais une ficelle dans ma poche. Mais cela aurait certainement fait avoir des ennuis à ce brave garçon et j’ai évité qu’il ait des désagréments à cause de moi. » Deibler fouille la poche, trouve la ficelle en question, et dit , exaspéré : « Assez de discours comme cela ! En route ! ».

    Les aides procèdent à sa dernière toilette vers 5 h, ils échancrent le haut de sa chemise et l’emmènent en fourgon auprès de la guillotine.
    Plus de 10 000 personnes sont présentes depuis 2 h du matin, sur la petite place du Champ de
    Foire située à 200 mètres de la prison, qui deviendra après 1920 le square du Souvenir, crient: « A mort l’assassin de Chaux ! A mort Pozzi ! ». La voiture de Deibler, où se trouve Pozzi , marche au pas en sortant de prison. M. le capitaine de gendarmerie se place devant la voiture, accompagné d’une escorte qui l’entoure. Les magistrats devancent la voiture. La foule crie alors de plus belle : « A mort Pozzi ».
    Pozzi, descend du fourgon, arrêté vers de la guillotine, il regarde avec colère cette foule qui hurle, mais Pozzi, cynique, crie à pleins poumons : « M….à vous tous ! c’est tout ce que vous méritez ! »
    Les aides de Deibler le poussent, il arrive vers la guillotine, en moins de temps qu’il n’en faut pour le raconter, la tête de l’assassin tombe sous le couteau de la guillotine. Justice était faite, il est 5 h 30. Le corps du supplicié roule dans le panier. Un aide y jette la tête. le panier est immédiatement fermé et chargé sur la voiture qui part au cimetière escortée par les gendarmes.
    Un grand silence. Une pénible impression. La foule se disperse. Parmi elle beaucoup de gens de Chaux venus à pied dans la nuit. Ils accompagnent un homme en habits de deuil, coiffé d’un chapeau noir à large bord, le père Phelpin qui est venu assister à l’exécution dit : « Ah, que je suis content ! Ma pauvre femme est donc vengée ! ». C’était le 6 octobre 1905...


    L’ancien square Pozzi, rebaptisé Square des anciens combattants d’Afrique du Nord.

    La seule photo prise de la guillotine installée le 6 octobre 1905 à Belfort, située à
    l’angle de l’avenue Foch et de l’avenue Sarrail. Remarquez, au fond à droite,
    la foule venue en nombre, assister à ce spectacle macabre. ( archives C.G.)

    Sources : Les Affiches d'Angers (AD49). l’Alsace du 8 octobre 1905. Info Sochaux N°22. Photo de la guillotine de Christophe Grudler, dans Belfort au fil du temps.


  • 100 mots pour un vie, tel est le " généathême" du mois d'octobre

     

     Alors en 100 mots ze vais zéssayer de vous zozoter de mon sosa 100.

     

              Pierre GARNIER, sosa 100, voit le jour à Courcoury (17), le 19 janvier 1829, de Jean GARNIER et Marie GINGENAUD. Propriétaire – Cultivateur de Père en Fils, depuis près de 2 siècles.
      Il convolera en juste noce avec Jeanne NATIER, le 18 janvier 1852 à toujours à Courcoury.
      De leur union, naitront 2 enfants, Marie en 1855 et Joseph Gédéon (sosa 50), en 1861.
      A noter que tous ces Patronymes sont présent à Courcoury depuis le XVIe siècle au moins, aux vues des actes et    des dates récupérés.
      Pierre décèdera  le 10 février 1900 à Courcoury, à l’âge de 71 ans.

     


    Acte de Naissance
    AD N 1819-1844 vue 90/181

    Acte de Mariage
    AD M 1847-1868 vue 33/115

    Acte de Décès
    TD D 1869-1900 vue 250/256

     

     


  • Camors est une commune française, située dans le département du Morbihan et la région Bretagne.

    Camors sur Google Map

    Voir la carte topographique de France
    Blason ville fr Camors (Morbihan).svg
     

    Les armoiries de Camors se blasonnent ainsi :
    Ecartelé : au un, d’argent à trois merlettes de sable, au chef de gueules chargé de trois quintefeuilles d’argent ; au deux, de sable à sept mâcles d’argent, trois, trois et un ; au trois, de gueules à neuf besants d’or, trois, trois et trois ; au quatre, d’or à trois fasces ondées d’azur, au chef de gueules ; sur le tout, burelé d’argent et d’azur de dix pièces, trois chevrons de gueules, le premier écimé, brochant.
    (Armes des familles Lannion, Arradon, Malestroit, Langouez, et sur le tout La Rochefoucauld, seigneur de Camors). Conc. M. de Roche et Mme Méeus.

     

    Camors vient, semble-t-il, d'après la tradition, du comte breton Comorre (VIème siècle).  
    Camors est d'une fondation tardive qui s'est constituée d'une partie du territoire de Baud et d'une partie de Pluvigner. Le 15 novembre 1286, Alain de Camors donne à Geoffroy, frère cadet du vicomte Alain VI de Rohan, le fief qu'il possède dans les paroisses de Plumelin et de Camors : "Alain de Quemorz, écuyer, fils d'Henry de Quemorz, écuyer, mort, donne en pur et perpétuel héritage et aumône à Jouffroy de Rohan, clerc, fils de noble Alain, vicomte de Rohan, chevalier, et à ses héritiers et à ses successeurs et à ceux qui cause lui auront, tout le gentil fief que lui, Alain de Quemors, avait dans les paroisses de Plemelin et de Quemors, au diocèse de Vannes... Ce fut fait et donné le jour de vendredi prochain après la fête de Saint-Martin d'hiver, l'an de grâce mil deux cents quatre vingt six". A la mort de Geoffroy, ses biens reviennent au vicomte de Rohan et parmi eux le château de Tallen. En juillet 1524, Jacques, vicomte de Rohan, cède la châtellenie de Camors à Guy de Laval. En 1560, François de la Haute Touche, époux de Rodegarde des Déserts (dame de Camors et Moréac) vend la seigneurie de Camors à René d'Arradon, seigneur de Kerdréant et Quinipily. En 1669, ce fief est entre les mains de Claude de Lannion, qui en rend aveu à Marguerite de Rohan. En 1735, le comte de Lannion rend aveu pour la terre de Camors à Louis II de Rohan. Les derniers seigneurs et barons de Camors sont les ducs de La Rochefoucault à partir de 1764. (source: infobretagne.com)

    Sabotiers dans la Fôret de Camors

    Pas moins de 1074 individus de mon arbre y transitent, voici leurs Patronymes avec quelques variantes:

    • ALANO (1), ALLEHAUSE (1), ANNÉZO (3), ANNIC (2)
    • BAUDIC (12), BILLY (8), BOCHER (4), BOSSET (1), BRIENT (7)
    • CADORET (5), CAIGNART (1), CAREDO (1), CHEVRIER (2), CONAN (1), CROCHARD (8)
    • DANIEL (2), DE LANNION (2), DERIANO (10), DONNERH (5), DRIANO (1)
    • GARNIER (2), GOASMAT (62), GRAVIER (1), GRIMELEC (53), GUEHENEC (3), GUILLAS (2), GUILLAUME (12), GUILLEMET (5), GUILLO (7), GUIONVARH (2)
    • HUTEAU de CADILLAC (1)
    • JAN (1), JARNO (69), JEGO (1), JEGOUZIC (8), JÉGOUZO (2), JOANNIC (4), JOHANI (2), JUSTOME (1)
    • KERJOANT (61)
    • LAIER (3), LAMOUR (2), LAVENTURE (1), LE BOULER (13), LE BRENNER (1), LE BRICON (2), LE DELETER (23), LE DEVEDEC (74), LE DIGO (6), LE FAUCHEUX (16), LE FRANGER (1), LE GAL (8), LE GALLO (2), LE GOFF (1), LE GOLVAN (2), LE GOUÄS (5), LE GOUGUEC (1), LE GUENNEC (6), LE GUILLO (4), LE LOUER (3), LE MAGUERES (47), LE MAGUERESSE (3), LE MARTELOT (3), LE MENTEC (2), LE MÉZO (1), LE MOIGN (3), LE MOIGNO (10), LE MOING (1), LE MOLLAC (2), LE MOULLAC (5), LE NEILLON (5), LE PALLEC (30), LE PIHIVE (6), LE PRIOL (3), LE TOUMELIN (5), LE VAILLANT (1), LE VOT (3), LE VOTE (2), LEPRIOL (2), LOHEZIC (1), LORCY (18), LORJOUX (2), LOTODÉ (2), LUEC (51)
    • MALGUENA (2), MERIAN (129), MESSAGER (3), MIGNET (5), MORVAN (1)
    • OLLICHON (42)
    • PIERRE (9), PILET (20), PILLET (5), PLUNIANT (3), PUREN (6), PURENNE (1)
    • RIO (5), ROBILLARD (1), ROGER (3), ROUILLÉ (1), ROUSSEL (4)
    • THOMAS (1), TUAL (74)
    • VAUL (1)

    Mon acte le plus ancien sur Camors
    Acte de Sépulture de Alain GOASMAT (sosa 24056), décédé à Camors le 21 octobre 1664
    qui est également l'AAAAAAGP de Jean Marie GOUASMAT (coureur cycliste)

    Histoire

    Le territoire de la commune de Camors est né tardivement et est constitué d'une partie du territoire de Baud et d'une partie du territoire de Pluvigner. Les habitants de Camors vivaient essentiellement de la forêt. Ils étaient charbonniers, sabotiers, scieurs de long, faiseurs de balais, bucherons... Il y a eu jusqu'à deux cents bucherons et quatre-vingt dix sabotiers. La religion et l'autorité civile n'avaient que peu d'emprise sur cette population vivant en forêt. Camors est une des seules communes de France où il reste deux scieries et un sabotier.

    Personnalités liées à la commune

    • Famille de Lannion (dans ma Généalogie)
    • Jean-Marie Goasmat, coureur cycliste, y est né. (dans ma Généalogie)
    • Jean Markale, écrivain, poète, conteur et conférencier, y a vécu et y est enterré.
    • Maryse Le Gallo, marathonienne.
    • Claude Simon, sabotier depuis 1982

    Source Wikipédia


  •  Suite à mon article précédent, concernant la photo du Mariage de mes Grand-Parents Maternels le 20 juin 1931 à Lerné (voir l'article).
    J'ai repris contact avec ce brave homme, et il a donc, grâce à l'aide d'une de ses Tantes encore vivante, (pour mémoire, ce Monsieur a 73 ans), identifier quelques personnes présentes sur la photo, même si cela n'apporte pas d'eau à mon moulin, car à priori, ce ne sont que des "invités" aux Mariage et pas de ma Famille.

    Je lui ai, pour cela, envoyé la photo du Mariage, avec et sans numéro et voici en substance, ce qui en résulte:


    Cliquez sur la photo pour voir le détail

    Maintenant, nous sommes en désaccord sur le N°30, pour moi, et j'en suis quasiment certain, c'est mon AGP, pour lui, c'est le Propriétaire  de la maison, mais comme moi, il n'est pas sure à 100%.

    Maintenant, je souhaiterais que vous examiniez cette seconde photo et que vous compariez Marie-Philomène LE MOING, mon AAGM, la Grand-Mère de la Mariée, avec la N°13 sur la photo ci-dessus, ainsi que la Tante, avec la N°9 ?


    Mélanie KERJOANT, mon AGM, Camille son frère, Marie-Philomène et Joseph-Marie, mes AAGP, Jacques son frère
    et la Tante ?  (Tante de qui, je ne sais pas ? )

     




  • J'ai la chance de posseder la photo de Mariage de mes Grands-Parents en date du 20 juin 1931 à Lerné (37) (voir article).
    Le problème pour moi, c'est l'identification des gens sur cette photo..?
    Ormis les Mariés et leurs Parents, tous ces visages me sont totalement inconnus.

    Il y a quelques temps, un ami m'a envoyé cette photo de Google Map

    j'ai envoyé la photo à la Mairie de Lerné (37) en leur demandant à qui appartient ou appartenait cette Bâtisse.
    Il m'ont très gentiment répondu en me donnant le nom du Propriétaire en 1931, en me précisant qu'il était aujourd'hui décédé.

    Qu'à cela ne tienne, je vais sur Pages Blanches.fr et j'y tapes le nom que la Mairie m'a donné.
    Surprise, je trouve, même nom, même adresse

    J'appelle donc le résident actuel et la conversation devient vite chaleureuse et très enrichissante.
    Je lui envoi la photo par email, et je reçois il y a 30mn la réponse suivante, qui me comble de joie, vous imaginez bien!

    Monsieur, J'ai examiné la photo que vous m'avez fait parvenir.

    Surprise, j'y ai reconnu une partie de ma famille maternelle ( mon arrière Gd père, mon Gd père et ma Gd mère, ma maman entre les deux mariés, des oncles et tantes) ( des habitants de LERNE).
    Bien sur tous ces gens sont DCD. je n'ai pas votre N° de téléphone, sinon je vous aurai appelé.
    Je veux bien que nous reprenions contact pour peaufiner votre recherche.
    J'attends votre éventuel coup de fil.
    Bien cordialement J L V

    Quand on sait que le Monsieur en question est un septuagénaire, celà promet de belles découvertes.
    Je vais donc très rapidement reprendre contact