Monseigneur FREPPEL (1827-1891), Évêque d'Angers

Charles-Émile Freppel, né à Obernai (Bas-Rhin) le 1^er juin 1827 et mort à Angers le 23 décembre 1891, fut évêque d'Angers et député à l'Assemblée nationale.
Il est le fondateur de l'Université catholique de l'Ouest.

Relevé sur le Petit Courrier d'Angers en date du 21 novembre 1918

AD49/presse/Le Petit Courrier/novembre 1918/vue 41/61

Sources: AD 49, Wikipédia,

Pour ma 2e participation au Challenge AZ, organisé par notre amie Sophie Boudarel (La Gazette des Ancetres), je me lance un petit défi.

Chaque jour, notre article doit commencer par une lettre de l'Alphabet.

1er jour, le A
2eme jour, le B
3e jour, le C etc...

Et bien, dans la mesure du possible, mon défi supplémentaire sera que chaque Thême du jour, devra comporter 2 fois la lettre du jour (exemples: AmAre, BaBylone, CerCle etc...)

199 jours, c'est ce qui nous séparent aujourd'hui, du 2e Challenge AZ lancé par Sophie Boudarel (La Gazette des Ancetres).
199 jours pour commencer à s'organiser, à préparer sa méthode, ou comme moi, se lancer un défi de Thême Général, pour rendre la chose un peu plus corsée.

Si les Challenges vous intéressent, lisez les 4 conseils de Sophie et lancez-vous.
Voici la synthèse de ma participation au 1er Challenge AZ en avril 2013

Si ce Martinet Blanc posé sur les pages, encore blanches, de mon livre, prenait son vol aujourd'hui, il pourrait ne se poser qu'une fois le Challenge AZ commencé.
En effet, des chercheurs de la Station Ornithologique suisse ont pu constater que le martinet à ventre blanc est capable de voler durant six mois sans jamais se poser. Un record pour un oiseau !

Le Chant du Martinet Blanc

Un oiseau qui se nourrit et dort en vol "C'est incroyable, vraiment incroyable. Nous savions que les martinets peuvent voler sur de longues périodes, mais 200 jours, c'est vraiment impressionnant", a ajouté Carsten Egevang du Greenland Institute of Natural Resources cité par le New Scientist. Au cours de leur migration, ces oiseaux planent ou battent donc des ailes sans discontinuer. Mais comment font-ils ? Les martinets ont tout simplement réussi à éliminer toutes les nécessités de se poser. D’une part, ils se nourrissent d’insectes volants qu'ils peuvent donc attraper en vol et d’autre part, ils auraient appris à se reposer dans les airs, selon les chercheurs. "On suppose que les oiseaux 'dorment' seulement quelques secondes ou utilisent seulement une moitié de leur cerveau pendant que l'autre moitié se repose", comme les dauphins, a expliqué Liechti. Mais les scientifiques n'excluent pas la possibilité que les oiseaux soient également capables de ne pas dormir du tout pendant plusieurs dizaines de jours. Les informations récoltées auprès des GPS démontrent également que les martinets à ventre blanc sont capables de maintenir toutes leurs fonctions corporelles vitales même au cours d’un vol prolongé. Ils n'auraient alors pas besoin du même type de sommeil compensatoire que les humains, expliquent les scientifiques suisses

Source: maxisciences.com

Jeanne MOYON, première épouse de Pierre MAHÉ, mon sosa 954, est décédée le 16 mai 1763 à Saint-Joachim (44) à l'age de 18 ans.

Ce n'est pas tellement son age qui m'interpelle, mais plutôt qu'est-ce qui a pu poussé Pierre à se remarier si vte, soit moins de trois mois après, le 9 aout 1763 avec Anne MAHÉ, ma sosa 955 ?
Y avait-il urgence ? Aucune naissance du couple connue sur Saint-Joachim ?
Son décès aurait-il pu être provoqué ?

Il se remarie vite, et apparament, sa seconde épouse n'est pas enceinte, leur premier enfant, Pierre, ne naîtra que le 10 février 1765 (sauf enfant mort en bas age que je n'aurait pas encore trouvé).

Pierre MAHÉ né le 17 mai 1742 à Saint-Joachim, décédé le 31 mars 1820 à Saint-Joachim , à l’âge de 77 ans

•  Marié le 13 juillet 1762 à Saint-Joachim avec Jeanne MOYON , née le 4 juin 1744 à Saint-Joachim, décédée le 16 mai 1763 à Saint-Joachim à l’âge de 18 ans
  
  
•  Marié le 9 août 1763 à Montoir-de-Bretagne, avec Anne MAHÉ , née le 30 septembre 1739 à Saint-Joachim, décédée le 6 février 1819 à Saint-Joachim, à l’âge de 79 ans 
  dont
  • Pierre MAHÉ 1765-1833
    
  • Marie Anne MAHÉ 1769-1840
  • Rose MAHÉ 1773-1849

Acte de Baptême de Jeanne MOYON le 4 juin 1744 à Saint-Joachim
AD BMS 1744 page 18/36

Acte de Mariage de Pierre MAHÉ et Jeanne MOYON le 13 juillet 1762 à Saint-Joachim
AD BMS 1762 page 11/23

Acte de Décès de Jeanne MOYON le 16 mai 1763 à Saint-Joachim
AD BMS 1763 page 13/25

Acte de Mariage de Pierre MAHÉ et Anne MAHÉ le 9 aout 1762 à Montoir-de-Bretagne (44)
AD BMS 1763 page 24/44

Prendre la main dans le sac 

1. Surprendre une personne au moment même où elle commet un acte répréhensible ou un geste qu’elle aurait voulu dissimuler.
   • Car le but de l’éthique ou d’un code de conduite en affaires n’est pas de nous prendre la main dans le sac, mais de nous aider à prendre des décisions éclairées et justes. — (Michel Dion, L’éthique de l’entreprise, 2007)

Synonymes

• prendre en flagrant délit
• prendre sur le fait

Relevé sur les Affiches d'Angers du 14 novembre 1811

François LENORMAND, 34 ans, de Laize (50), passe du banc des spectateurs à celui des Accusés il se fait prendre pour vol en pleine séance du Tribunal d'Assise de Paris le 10 novembre 1811

AD Presse/Les Affiches d'Angers/novembre 1811/vue 13/31

Source: Wiktionary.org

Le papier timbré est une des deux formes sous lesquelles existe le timbre fiscal. L'autre est le timbre fiscal mobile. Le papier timbré est aussi appelé timbre fiscal fixe ou entier fiscal.

Les premiers timbres ont été fiscaux. Ils sont apparus d'abord dans les Provinces-Unies en 1626, puis en Espagne, en 1637, pour faire payer aux usagers une taxe sur les documents qu'ils désiraient faire enregistrer (contrats, testaments, jugements, etc.), notamment pour pouvoir ultérieurement les utiliser en justice.

Mazarin voulut suivre l'exemple espagnol. Mais les parlements (hautes juridictions de l'époque) refusèrent d'enregistrer son édit de 1655, malgré un lit de justice, car ils jugeaient cette taxe contraire à leurs intérêts : en effet, ils craignaient que les justiciables, qui payaient alors leurs juges avec des « épices », déduisent le montant de ces papiers timbrés desdites épices. Si bien que Louis XIV ne réalisa ce projet qu'en 1674, tout en rendant le papier timbré obligatoire pour de nombreux usages (dont les registres d'état civils).
Alors il passa outre l'hostilité persistante des parlements qui suscitèrent même de sanglantes insurrections durement réprimées en Guyenne et en Bretagne. L'émission des timbres fut alors confiée aux intendants de finances, dans chaque généralité, si bien que, sous l’Ancien Régime, les timbres variaient d'une généralité à l'autre.
Leur modèle ne fut unifié qu'en 1791, sous la Révolution française. (Wikipédia)

Le 1er Papier Timbré sur les Registres de Courcoury apparait le 28 février 1677

Voici en substance tous les Timbres successifs relevés sur les Registres de Courcoury

BMS 1612-1713 1682	BMS 1612-1713 1684	BMS 1612-1713 1686
BMS 1612-1713 1689	BMS 1612-1713 1692	BMS 1612-1713 1702
BMS 1612-1713 1704	BMS 1713-1742 Aucun timbre	BMS 1742-1777 1742
BMS 1742-1777 1752	BMS 1742-1777 1758	BMS 1770-1792 1780
BMS 1770-1792 1781	BMS 1770-1792 1782	BMS 1770-1792 1789
BMS 1777-1792 1792	BMS 1777-1792 1793	NMD 1793-1808 An III
NMD 1793-1808 An IV	NMD 1793-1808 An V	NMD 1793-1808 An VII
NMD 1793-1808 An VIII	NMD 1793-1808 An XII	NMD 1793-1808 An XIII
NMD 1793-1808 1807	NMD 1793-1808 1808	NMD 1809-1818 1815
NMD 1819-1840 1819	NMD 1819-1840 1828	NMD 1841-1868 1848
NMD 1841-1868 1855	NMD 1841-1868 1863	NMD 1841-1868 1864
NMD 1869-1882 1869	NMD 1869-1900 1872	NMD 1869-1882 1874
NMD 1869-1900 1875	NMD 1869-1900 1897	NMD 1869-1900 1900
Source: AD 17/BMS et NMD de Courcoury,	Wikipédia

Relevé sur les AD17 à Courcoury, le sept juin mil sept cent quatre vingt sept, le Baptêmes de plusieurs enfants illégitimes exposés à l'Hôpital de Saintes et nourris sur cette Paroisse.
Je suis persuadé que bon nombres de ces Nourrices, Parrains et Marraines sont de mes sosas

On remarquera, outre l'application du curé à écrire en biais, un prénom peu commun, "Christologue"

• A Jeanne GUERIN, un nommé Jean de Dieu (plaque de collier n°28), dorénavant appelé François.

• A Louise NATIÉ, un mome nommé Pierre (plaque de collier n°67) garde le prénom de Pierre

• A Marie BESNARD, un nommé Louis (plaque de collier n°85) dorénavant appelé Guillaume

• A Marie PASLIERE, un nommé Christologue (plaque de collier n°88) dorénavant appelé Jacques

• A Marguerite MECHAIN, une nommée Catherine (plaque de collier n°119) dorénavant appelée Françoise,
  ainsi qu'un nommé Jean (plaque de collier n°88) qui garde le prénom de Jean

AD BMS 1777-1792 vue 56/90

Son système pileux n'y est pour rien, bien que beaucoup, dans l'enfer des tranchées, ne se souciaient guère de leur aspect physique. N'avaient-ils pas d'autres chats à fouetter ?

En 1659, Molière dans sa pièce "Les Précieuses Ridicules", parlait d'un "brave à trois poils".
A Austerlitz, les Grognards de Napoléon, s'appelaient déjà les Poilus.
Un poilu désignait alors, quelqu'un de brave, de viril, quelqu'un de courageux, avait du poil au ventre, le fourbe et le fénéant l'avaient eux, dans la main.

En 1914, nos Aïeux héritairent tout naturellement de ce surnom. Ils s'en accommodèrent fort bien, même si entre eux, ils se nommaient eux-même, Les Hommes.
Ils inventèrent un langage à eux, un Dictionnaire y est même consacré.