•  L'alcool n'a jamais été un médicament, ça se saurait he

    Eau de Vie - Eau de Mort


    Ce pauvre Claude COLOT, Savetier Ambulant, en a fait les frais, ce 26 mars 1760.
    La veille de sa mort, il déclarait avoir 59 ans, il était fluet et mesurait 5 pieds et demi, soit environ 1,67m.
    Pour soigner une mauvaise fièvre, qui le hantait depuis quatre mois, il c'est mis en tête (et dans le gosier), d'avaler une grosse quantité d'Eau-de-Vie, à tel point qu'il en perdit presque aussitôt la tête, la parole et les sentiments.
    Ses derniers mots ne furent que des plaintes et il s'éteignit très rapidement après.

     


    AD58/Parigny-la-Rose/BMS 1757-1792 vue 11/123

     


  • 1681 Absolutions d'Hérésie à la pelle
    La Foi terrassant l’hérésie et la haine, (Pierre Le Gros)

    Relevé sur les AD 79, à Coulonges-sur-l'Autize

    L'année 1681 sur le registre, est remplies uniquement d'Absolutions

    1681 Absolutions d'Hérésie à la pelle
    AD BMS 1681-1718 vue 3/467

    Une autre trouvée en 1682, très explicite:

                                                        Aujourd'hui dix huitième de janvier mil six cent
                                                        quatre vingt deux Je soussigné Ptre Ferrant prieur
                                                        de ce lieu de Coulonge ay donné l'absolution de
                                                        l'hérésie de Luther et Calvin ayant pour ce les
                                                        pouvoir nécessaires de Monseigneur l'Illustrissime
                                                        et Révérendissime Évêque de la Rochelle. ont
                                                        été présent les Soussigné

     

    1681 Absolutions d'Hérésie à la pelle
    AD BMS 1681-1718 vue 12/467

     

    Dans l’Antiquité, le mot hérésie désignait simplement une école de pensée : le jardin d’Épicure était une telle haíresis. Au fil des conciles qui définirent progressivement les dogmes chrétiens durant le premier millénaire de notre ère, la notion d'« hérésie » fut fréquemment opposée à celle d'« orthodoxie ». Elle acquit une valeur péjorative dans l'historiographie des églises trinitaires (catholique ou orthodoxe), et depuis lors, le mot hérésie désigne avant tout une opinion, doctrine ou dogme considéré comme sortant du cadre de ce qui est généralement admis ou tenu pour acquis dans les domaines de la pensée, de la connaissance, de la religion. Selon Michel Serres, on est toujours l'hérétique de quelqu'un : les trinitaires eux-mêmes sont des « hérétiques » aux yeux des chrétiens anté-chalcédoniens qui ont conservé les doctrines d'avant l'année 451.

    Dans un contexte chrétien, et par analogie dans d'autres contextes, l'hérésie qualifie une situation complexe de conflit et de rupture, qui superpose généralement l'hérésie proprement dite (doctrinale : déviance sur le contenu de la foi) et le schisme (disciplinaire : insoumission à l'autorité ecclésiastique légitime). L'hérésie naît d'une divergence entre écoles sur ce qu'est la vérité (formulée par le dogme). Elle se développe à la fois sur le plan intellectuel, par l'opposition irréductible des thèses, et sur le plan communautaire, par l'impossibilité pratique de « vivre en frères » avec les tenants de l'autre école. Enfin, elle s'achève par une situation de rupture sociale paradoxale : de part et d'autre, on reconnaît que la communion entre les parties antagonistes est impossible en pratique, mais resterait nécessaire.

    La foi étant nécessaire au salut, l'orthodoxie est capitale et l'hétérodoxie fait risquer les peines infernales. L'hérésie est le drame des frères ennemis, à la fois frères et ennemis, chacun revendiquant l'héritage authentique du Père. En ceci, elle se distingue radicalement des conflits inter-religieux. (Wikipédia)

    Au XVIIe siècle, cette Hérésie à pour nom le Jénénisme

    Dans un contexte chrétien, et par analogie dans d'autres contextes, l'hérésie qualifie une situation complexe de conflit et de rupture, qui superpose généralement l'hérésie proprement dite (doctrinale : déviance sur le contenu de la foi) et le schisme (disciplinaire : insoumission à l'autorité ecclésiastique légitime). L'hérésie naît d'une divergence entre écoles sur ce qu'est la vérité (formulée par le dogme). Elle se développe à la fois sur le plan intellectuel, par l'opposition irréductible des thèses, et sur le plan communautaire, par l'impossibilité pratique de « vivre en frères » avec les tenants de l'autre école. Enfin, elle s'achève par une situation de rupture sociale paradoxale : de part et d'autre, on reconnaît que la communion entre les parties antagonistes est impossible en pratique, mais resterait nécessaire.

    La foi étant nécessaire au salut, l'orthodoxie est capitale et l'hétérodoxie fait risquer les peines infernales. L'hérésie est le drame des frères ennemis, à la fois frères et ennemis, chacun revendiquant l'héritage authentique du Père. En ceci, elle se distingue radicalement des conflits inter-religieux. (infobretagne.com)


  • Elle reprend exactement les même codes que la Révolution Française.
    L'Assemblée de l'an XIII, l'Assemblée Générale Constitutive, l'abolition des titres de noblesse, l'Hymne National et le Bonnet Phrygien.

     Les 200 ans de la Révolution Argentine

    (Traduction littérale d'un article sur http://www.educ.ar)

    Officiellement adopté le 12 Mars 1813 par l'Assemblée de l'an XIII , la partie de protection du système de symboles nationaux associés à la construction de l'Etat moderne et de l'identité nationale . L'historien Javier Trimboli analyse son contexte de création , la relation avec d'autres symboles patriotiques , Argentine inscription sur l'école et sa place dans un monde marqué par le global et le local .

    31 Janvier 2013, le bicentenaire de l'Assemblée Générale Constitutive de l'année XIII a eu lieu .

    Pourquoi dois-je me souvenir ?
    Parce que cet organisme , avancée pour l'époque, prévoyait une série de mesures révolutionnaires et libertaires : naissance libre, l' interdiction de la torture et l'abolition des titres de noblesse . Et a également pris une série de mesures qui ont tenté de contribuer à la formation d'une «identité» collective insaisissable : y compris l'adoption d'un hymne national et un Emblème national .

    «C'était un moment très spécial .
    À l'époque , les jacobins révolution -groupes qui avaient été déplacés du centre politique ont repris les rênes . Cette situation a été marquée par la mise en place d'un nouveau triumvirat ( en Octobre 1812) , puis par la convocation et la tenue de cette assemblée , où la Logia Lautaro et la Société patriotique devenus les principales organisations dans le contrôle politique du moment » dit Trimboli .

    Quel usage peut être attribuée à l'écran ? Quel est le rapport avec d'autres symboles tels que le drapeau et l'emblème ? Qu'est-ce que composer les images signifient ? Comment pensez-vous de la tradition et le sens de «patrie» dans un monde marqué par le nationalisme extrême et les tensions entre le global et le local ?



    * Javier Trímboli est conseiller historiographique télévision publique. Maître d'école, enseigné à la présidence de l'Argentine et de l'Amérique latine pensée à la Faculté des arts de l'Université de Buenos Aires (UBA). En 2006, le ministère de l'Education nationale, a coordonné le programme "A 30 ans après le coup d'Etat."


    Escudo Nacional Argentino

    Source image: Laura Wiñar.


  • 50.000 visites

     

    Bilan 1er anniversaire an, 1 an déjà, De Bretagne en Saintonge souffle sa 1ere bougie, tout comme L'Univers de Céline, et d'autres Blogs, très certainement, ayant suivis la mouvance du Challenge AZ et il accueille par la même occasion, son 50.000e visiteur.

    Je me suis couché à 1h, ce matin, avec 49.975 visites sur le blog et ce matin, 1 an jour pour jour (à 1 jour près, c'était hier), le compteur affiche allégrement 50.032 visites, pour 110.048 pages lues.
    Soit vous lisez n'importe quoi, soit, le but que je me (on m'a imposé he) est atteint, et vous prenez plaisir à revenir, et pour ça, un grand merci à tous, de me suivre et de vous intéresser un tant soit peu, à mes récits, à mes histoires ou celles-des autres.

    Mon 1er message, il y a 1 an, est toujours classé dans mes Articles les plus commentés,  en 5e position. L'appel aux Boycott des AD16 en ligne tenant toujours la corde.

    Bilan 1er anniversaire

    Je vous donnes donc rendez-vous dans 1 an pour le 2e bilan intello


  • Je m'étonne de trouver une telle mention en marge d'un acte de Baptême en date du 19 mars 1728 ?
    Sans précision d'une éventuelle annotation à postériori.

    Le 1er termidor 1728
    AD 53/Pré-en-Pail/ BMS 1720-1730 vue 145/177


  • Trouvé sur les AD 53 à Pré-en-Pail


    AD BMS 1720-1730 vue 67/177

    Remarque
    A La postérité


    Le vingt septiesme jour de janvier
    de cette presente annee mille sept cent vingt
    quatre, cette église à été incendiée deux
    fois en le même jour par le feu du ciel:
    la premiere à été le matin pendant la
    grande messe paroissialle, où il brûla
    le clocher: la segonde à eté pendant vêpres
    ou il augmenta beaucoup le dommage,
    blessa trois personnes et donna unne
    si grande êpouvante à toutte lassemblée
    que l'on à attribué la mort de plusieurs
    à cette frayeur.
    annotavit Jacobus Pierre dictæ ecclesiæ
    vulgó de Prés en Pail clericus 1724
    dicti incendii spectator
    Pierre


  • Trouvé sur les AD en ligne du 49, à Bouillé-Ménard en 1585

    Une page entière et une écriture qui fait rêver comme avis de décès de Dame Loyse de LAUNAY, décédée Bretagne en 1585 et enterrée près de son défunt Mari, en Anjou, dix ans plus tard, en octobre 1595.

    Le dimanche der 10e de mars l'an mil cinq cens quatre vingt et cinq, Dame Loyse de Launay, épouse et Vve de défunt Très Noble Mr Georges de Beuil, Sr de Bouillé, trépassa envir mydy au lieu du Guergelin près de la ville de Hennebont (56) en Bretagne.
    Nul doute que la Dame les valait bien.


    AD BMS 1580-1633 vue 31/144

    Sur le même Registre, trouvé son acte de Sépulture en 1587, mais daté de l'an mil cinq cent quatre vint quinze

     

                                                    Le jour de Monsieur Saint Martin dit de Vertou(*) que nous avons
                                                    au mois d'octobre que l'on disoit l'an mil cinq cent quatre
                                                    vingt quinze le corps de déffunte Haulte et Puyssante Dame
                                                    Dame Louyse de Launay vivante Dame de Bouillé fut ama..?
                                                    de Bretagne ou elle étoit décédée longt temps auparavant
                                                    Son Corps fut mis près de Déffunt hault et puyssant
                                                    Seigneur Mr Georges de Bueil Son mary vivant Chevallier
                                                    des ..? ordre du Roy, Conseiller au Conseil d’Éstat 
                                                    ..? Capitaine de cinquante hommes d'armes et de ses
                                                    Ordonnances, Lieutenant Général de Bretagne pour ..? ..?
                                                    Gouverneur de Saint Mallo et la ..? qui est ..?
                                                    .........................................?

    1 page pour 9 lignes, l'avis de décès de Dame de LAUNAY vaut bien ça
    AD BMS 1580-1633 vue 42/144

    (*) : Saint Martin dit « de Vertou » (527 à Nantes - 601 à Vertou) est un moine français.

    Il est fait archidiacre de l'église de Nantes par l'évêque saint Félix, et chargé de travailler à la conversion des habitants des environs de la ville. Vers 577, il se retire dans un désert de la rive droite de la Sèvre nantaise. Peu à peu, il y bâtit une église et agrandit son ermitage qui devient le monastère de Vertou.

    La légende raconte que saint Martin de Vertou planta son bâton de pèlerin au milieu de la cour de l'abbaye et que celui-ci prit racine, devenant un if qui apparaît sur le blason de la commune de Vertou.

    Fête le 24 octobre. (source Wikipédia)

    **********

    Georges de Bueil, Sieur de Bouillé (49)

    M. de Launay commandait en l'absence et au nom de Georges de Bueil, seigneur de Bouillé, capitaine de cinquante hommes d'armes, lieutenant général pour le roi en Bretagne, et gouverneur de Saint-Malo : celui-ci avait épousé Louise de Launay, nièce de son lieutenant.  (Source: infobretagne.com)

    Décès de Dame Louise de LAUNAY, Vve de Noble Georges de Beuil, Sr de Bouillé
    Extrait de:
    Racan (1589-1670)
    Histoire anecdotique et critique de sa vie et de ses Œuvres
    Page 55 et 56
    Auteur : Arnould, Louis, 1864-1949

     

     

     

    Source: AD49, Google Bookinfobretagne.com  

     


  • Autant, je prends souvent la peine de signaler des erreurs quand j'en trouves dans les arbres, autant des fois, l'erreur est tellement flagrante, le copié-collé sans vérifier, tellement évident, que je m'y abstiens.
    En voici un exemple frappant.

    Pour information, Charles PRODHOMME, mon sosa 2640 et Renée PELUAU (sa 1ere épouse), se sont mariés à Saint-Aubin-du-Pavoil le 29 novembre 1659

    Renée PELUAU serait alors Mère à 2 ans (qui dit mieux ?) he

    Pareil pour Renée, la Sœur de Mathurine (ici, tous les arbres, sans exception, ont la même source.

    L'art du copié-collé sans vérifier





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