• Mon Saint arbre

    J'avais déjà une Sainte dans mon arbre, un cousinage avec Marie-Françoise Thérèse Martin, plus connue sous le nom de Sainte Thérèse de Lisieux ou Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus, canonisée le 17 mai 1925 à Rome par le Pape Pie XI, une cousine au 5e degré d'un de mes arrière-grands-parents.

     

    Thérèse de LISIEUX
    Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus

    Premier(s) ancêtre(s) commun(s) :
     
    • Julien GRUDÉ
    • Barbe GAUTIER

     

    Depuis aujourd'hui, dimanche 18 octobre 2015, j'en ai deux de plus.
    En effet, Louis Joseph Aloys Stanislas MARTIN et Marie Azélie GUÉRIN, ses Parents, ayant été à leur tour, canonisés par le Pape François.

    Louis Joseph Aloys Stanislas MARTIN

      Louis Joseph Aloys Stanislas MARTIN  

    • Né le 22 août 1823 - Bordeaux, 33000, Gironde, Aquitaine, France
    • Baptisé en octobre 1823 - Bordeaux, 33000, Gironde, Aquitaine, France
    • Décédé le 29 juillet 1894 - Asnières-sur-Iton, 27180, Eure, Haute-Normandie, France , à l’âge de 70 ans
    • Horloger Bijoutier
    Marie Azélie GUÉRIN

      Marie Azélie GUÉRIN  

    • Née le 23 décembre 1831 - Gandelain, 61420, Orne, Basse-Normandie, France
    • Baptisée le 24 décembre 1831 - Gandelain, 61420, Orne, Basse-Normandie, France
    • Décédée le 28 août 1877 - Alençon, 61000, Orne, Basse-Normandie, France , à l’âge de 45 ans
    • Brodeuse de point d'Alençon

     

     

     

     

    Source: Ma Généalogie sur Généanet

     

    Louis Martin, de son nom complet Louis-Joseph-Aloys-Stanislas Martin (Bordeaux, 1823 - Lisieux, Calvados, 1894), horloger, et son épouse Zélie Martin, née Azélie-Marie Guérin (Gandelain, près de Saint-Denis-sur-Sarthon, Orne, 1831 - Alençon, 1877) dentellière, appartiennent à la petite bourgeoisie d’Alençon. Ils ont été béatifiés le 19 octobre 2008 à Lisieux, pour l'exemplarité de leur vie de couple, et canonisés à Rome le 18 octobre 2015 par le pape François.

    Ils sont les parents de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte-Face et de ses quatre sœurs, toutes religieuses.

     

    Les saints époux Martin

    voir la légende ci-après   voir la légende ci-après
    Louis Martin.                          Zélie Martin.

    Louis Martin naît le 22 août 1823 à Bordeaux, fils de Pierre-François Martin (1777 - 1865) et de Fanie Boureau (1780 - 1883). Dernier d'une famille de trois filles et deux garçons, il est élevé au hasard des garnisons de son père, militaire de carrière. Après ses études, Louis apprend le métier d'horloger. Vers 22 ans, attiré par la vie monastique, il demande à entrer au monastère du Grand-Saint-Bernard ; mais sa candidature est refusée car il ignore le latin. Il séjourne alors trois ans à Paris, puis s'installe à Alençon chez ses parents qui occupent un magasin d'horlogerie-bijouterie, rue du Pont-Neuf.

    Pendant huit années, il mène une vie laborieuse, calme et méditative. Ses distractions consistent en de longues séances de pêche, quelques parties de chasses et les soirées avec ses amis au Cercle Catholique "Vital Romet". Sa foi demeure vive, c'est un chrétien fervent : messes le dimanche et en semaine, adoration du Saint-Sacrement, pèlerinages. Il achète à Alençon le Pavillon, une tour entourée d'un terrain, pour jardiner, lire et méditer. À 34 ans, il est encore célibataire, au grand désespoir de sa mère.

     

    Azélie-Marie Guérin – qu'on appellera toujours Zélie – naît le 23 décembre 1831 à Gandelain, village de l'Orne proche du bourg de Saint-Denis-sur-Sarthon. Son père Isidore Guérin (1777 - 1865), un ancien soldat de la Grande Armée qui s'est battu à Wagram, a suivi Masséna et Soult pendant la guerre d'Espagne, est désormais gendarme à Saint-Denis-sur-Sarthon. Sa mère, Louise-Jeanne Macé (1805 - 1859), est une paysanne assez rude. Zélie a une sœur aînée, Marie-Louise (1829 - 1877). Son frère Isidore (1841 - 1909) naît dix ans plus tard.

    En septembre 1844, ses parents s'installent à Alençon. Zélie et Marie-Louise reçoivent une formation soignée au pensionnat des religieuses des Sacrés-Cœurs de Picpus. Intelligente et travailleuse, Zélie garde de son éducation austère une tendance au scrupule, bien dans la spiritualité de l'époque. Les relations avec sa mère sont difficiles et elle ne conservera pas le souvenir d'une enfance heureuse, elle écrira même : « Mon enfance, ma jeunesse ont été tristes comme un linceul ». Elle ressent assez tôt un appel à la sainteté, que tempère pourtant son robuste bon sens : « Je veux devenir une sainte, ce ne sera pas facile (...) ». Elle songe alors à entrer à l'Hôtel-Dieu d'Alençon comme religieuse, mais la supérieure l'en dissuade.

    Déçue, elle devient dentellière et se révèle particulièrement douée pour la confection de dentelle au point d'Alençon, travail délicat et minutieux. En 1853, âgée seulement de 22 ans, elle ouvre une boutique avec Marie-Louise. Mais sa sœur la quitte pour entrer au couvent des Visitandines du Mans sous le nom de sœur Marie-Dosithée.

    Source: Wikipédia


    Voir aussi:

    « Remise de la Médaille de la FFG lors du XXIIIe Congrès national de GénéalogieYa qu'un ch'veu sur la tête à Mathieu, mais plusieurs fêtes ? »