• Relevé dans les Affiches d'Angers de Pluviose 1805

     

     

    Jean-Jacques Dessalines (né le 20 septembre 1758 à Grande-Rivière-du-Nord – assassiné le 17 octobre 1806 à Pont-Rouge) est un dirigeant de la Révolution haïtienne et le premier Empereur d'Haïti (1804–1806) sous le nom de Jacques Ier. Son épouse fut Marie-Claire Heureuse Félicité, avec qui il se maria en 1801.

    Jacques 1er
    Jean-Jacques Dessalines

    D'origine africaine, il est d'abord esclave à Saint-Domingue. Puis, durant les troubles qui mènent à l'indépendance de l'île, il devient lieutenant de Toussaint Louverture et organise en octobre 1802 la mutinerie de l'armée saint-dominguoise contre l'expédition napoléonienne. Il combat le général mulâtre André Rigaud et le général français Charles Leclerc.

    Après la déportation de Toussaint, il se soumet à la France. S'étant insurgé peu après, il se retire au nord de l'île ; il réussit à repousser Donatien-Marie-Joseph de Rochambeau dans le sanglant combat de la Crête-à-Pierrot, de Petite-Rivière de l'Artibonite. Il réussit en automne 1803 à vaincre les Français à la bataille de Vertières, et le 1er janvier 1804 Dessalines proclame l'indépendance d'Haïti. Il se fait d'abord gouverneur général à vie, puis empereur (pour ne pas être devancé par son rival, Bonaparte) sous le nom de Jacques Ier (1804).

    Le 8 octobre 1804 il est couronné par l'archevêque Jean-Baptiste-Joseph Brelle.

    Il fait massacrer les Français « qui espéraient le retour de l'ordre ancien en Haïti » et poursuit une politique de « caporalisme agraire » (comme le désigne Michel-Rolph Trouillot) destinée à maintenir les profits de l'industrie sucrière par la force, sans esclavage proprement dit.

    Son gouvernement ayant décidé d'entreprendre une réforme agraire au profit des anciens esclaves sans terre, il est assassiné le 17 octobre 1806 à Pont-Rouge, au nord de Port-au-Prince, par ses collaborateurs, Alexandre Pétion, Jean-Pierre Boyer, André Rigaud et Bruno Blanchet qui servait d'intermédiaire entre tous sans oublier Henri Christophe qui se trouvait dans le nord.

     

    Source Wikipédia

     


  • Relevé dans les Affiches d'Angers de Thermidor 1803

    Paris le 5 Thermidor


    Paris le 9 Thermidor

     

     

    Ce fameux "Musée Napoléon", n'est autre que le Musée du Louvre.

    En 1803, dix ans après sa création, le musée du Louvre est rebaptisé musée Napoléon. Il demeure jusqu'en 1814 le plus prestigieux musée du monde par l'ampleur et la qualité de ses collections constituées, outre par les anciennes collections royales et les biens saisis à l'Eglise et aux émigrés, par les prises de guerre effectuées en Belgique, en Italie, en Prusse et en Autriche. En 1815, à la chute de l'Empire, près de 5000 oeuvres furent ainsi restituées à leurs pays. 

     

    Si le nom de Napoléon reste attaché à cette politique de spoliation des oeuvres d'art, il n'en est pourtant pas l'initiateur. C'est la Convention nationale qui propose dès 1794 cette solution aux vaincus pour payer leurs indemnités de guerre. Le Directoire poursuit cette politique et invite le jeune général Bonaparte lors de la campagne d'Italie à "enrichir la capitale de la liberté des chefs-d'oeuvre auxquels l'Italie doit sa réputation, afin d'ajouter à l'éclat de trophées militaires le charme des arts bienfaisants et consolateurs".

     

     

    La Vénus de Médicis est une célèbre sculpture grecque en marbre représentant la déesse Aphrodite (Vénus pour les Romains). C'est une copie du premier siècle av. J.-C. d'une statue originale en bronze, du type de l'Aphrodite de Cnide, qui aurait été faite par un élève de Praxitèle. Elle est devenue un point de repère de l'évolution de la tradition classique occidentale. Elle se trouve à la Galerie des Offices à Florence.

     

    L'origine de la statue est mal documentée. « Sa réputation semble avoir grandi graduellement » remarquent Francis Haskell et Nicholas Penny. Elle fut décrite pour la première fois en 1638, dans la collection de la Villa Médicis de Rome, dans une anthologie de l'artiste François Perrier des plus nobles statues à Rome que les ravages du temps avaient épargnées. Elle était cependant déjà connue en 1559, car sa réduction en bronze apparaît dans une série de cette année commandée par Niccolò Orsini, comte de Pitigliano, comme cadeau à Philippe II d'Espagne. La série fut exécutée par un sculpteur Néerlandais, élève de Benvenuto Cellini, nommé Willem van Tetrode.

    La peinture de 1772 de John Zoffany : La Tribune des Offices (maintenant dans la Royal Collection),
    montrant la Vénus (à droite) exposée dans la tribune, entourée par des connaisseurs anglais et italiens.

    Bien que les visiteurs à Rome, tel John Evelyn, l'aient décrite comme « un miracle de l'art », elle fut envoyée à Florence en août 1677. Dans la tribune des Offices, elle était un des passages obligés du Grand Tour, et était universellement considérée comme l'une des meilleures statues antiques à avoir survécu. Luca Giordano en fit des centaines de croquis ; Samuel Rogers lui rendit visite quotidiennement ; Zoffany l'inclut dans sa peinture de 1778 de la Tribune des Offices ; Byron consacra cinq strophes de Childe Harold à sa description. Ce fut l'une des précieuses œuvres d'art envoyées à Palerme pour échapper à la rapacité française, mais en vain : une pression diplomatique telle fut exercée qu'elle fut transportée à Paris en 1803.
    Ce n'est qu'après la chute de Napoléon qu'elle revint à Florence le 27 décembre 1815.

    Source Wikipédia


  • Relevé dans les Affiches d'Angers de Messidor 1803

     


     

    Nicolas Thomas Baudin (17 février 1754 à Saint-Martin-de-Ré, Île de Ré - 16 septembre 1803 à l'Île Maurice, nommée « Île de France » à l'époque) est un marin, capitaine, cartographe et explorateur français.

    Premières traversées

    Il naît dans la famille d'un marchand rétais bien établi. Il s'engage à l'âge de quinze ans dans la marine marchande de son oncle et à vingt ans comme cadet à la Compagnie des Indes orientales. Il est sous-officier en 1776 au régiment de Pondichéry avec la fonction de fourrier. Deux ans plus tard, il sert aux Antilles pendant la guerre d'indépendance des États-Unis. Il donne sa démission de la marine, car le comte d'Hector commandant de la forteresse de Brest, lui retire le commandement d'une frégate d'escorte de convoi au profit d'un jeune officier de la noblesse. Ce favoritisme de naissance provoque donc son amertume et son entrée dans la marine marchande. Il est capitaine en 1785 de la Caroline qui transporte des colons français de Nantes à La Nouvelle-Orléans. Des négociants en bois de La Nouvelle-Orléans signent un contrat avec lui pour transporter une cargaison de bois, de viande salée, etc. à bord de la Joséphine qui appareille le 14 juillet 1786 à destination de l'Isle de France où il arrive le 27 mars 1787. Entre-temps, la Joséphine s'arrête à Cap Français en Haïti, où Baudin rencontre le botaniste autrichien Franz Josef Maerter qui l'informe qu'un autre botaniste autrichien, Franz Boos, attend au cap de Bonne-Espérance un bateau pour l'emmener à l'île de France. La Joséphine en arrivant au Cap le prend donc à bord et l'emmène à bon port. Boos après quelque temps à l'île de France charge Baudin de ses collections de spécimens de flore du Cap et de l'île de France qu'il lui confie pour les rapporter en Europe à son retour. Baudin prend la précieuse collection à bord et arrive au port de Trieste (à l'époque port autrichien), le 18 juin 1788. Baudin apprend ainsi la botanique et les techniques de maintien en vie des plantes et des animaux à bord.

    Le Voyage aux Antilles (1796-1798)

    Baudin est nommé commandant en chef de l'expédition à bord de la Belle-Angélique qui appareille du Havre le 30 septembre 1796 pour les Canaries, avec un botaniste, Ledru, un jardinier, Riedlé, et deux zoologistes, Maugé et son adjoint, Levillain.

    Cependant la Belle-Angélique est jugée incapable de poursuivre et un nouveau navire, la Fanny, la remplace en partant des Canaries. L'expédition atteint l'île de la Trinité en avril 1797. L'île vient juste d'être prise par les Britanniques qui en chassent les Espagnols et les nouvelles autorités interdisent à Baudin de charger la collection botanique qu'il avait laissée trois ans plus tôt. La Fanny appareille donc pour Saint-Thomas et Sainte-Croix, puis visite Porto Rico. Des collections de flore et de faune sont rassemblées. À Sainte-Croix, la Fanny est remplacée par un nouveau navire plus maniable qui est rebaptisé la Belle-Angélique. L'expédition continue vers les Antilles. Elle est de retour en France en juin 1798.

    Les collections d’objets d’histoire naturelle, surtout de plantes vivantes, réunies en 1797-1798 aux Antilles par le capitaine Nicolas Baudin étaient considérables. Les professeurs du Muséum, subjugués par la diversité et la vigueur des plantes ramenées, ne tarissaient pas d’éloges. Jussieu lui-même déclarait : « Le citoyen Baudin doit être proclamé l’un des voyageurs qui ont le plus mérité de l’histoire naturelle ». L’engouement des savants et du public était tel que l’on construisit en urgence une nouvelle serre chaude, la serre Baudin, pour accueillir au Jardin des Plantes la collection des Antilles. Pendant tout le voyage (de septembre 1796 à juillet 1798), Baudin tint un journal au quotidien. Au retour, il le confia à Jussieu, qui le déposa au Muséum de Paris. Depuis, le « Journal de La Belle Angélique », préservé dans les archives du Muséum, s'enfonça peu à peu dans l'oubli. Entièrement inédit jusqu'en 2009, il est rédigé de façon très vivante ; il est magnifiquement illustré d’aquarelles (surtout des végétaux) et de dessins à l’encre (principalement des profils de côtes). Nicolas Baudin est enfin reconnu capitaine de vaisseau par la république française, le 5 août 1798. Mais la marine du Directoire a peu de moyens et le nouveau capitaine doit attendre.

    Le Voyage aux Terres Australes (1800-1803)

    En octobre 1800, il est sélectionné, après avoir de nouveau sollicité les autorités et obtenu une audience en mars du Premier Consul, pour commander une expédition sur les côtes de l'Australie avec deux navires, Le Géographe et Le Naturaliste, pour vingt-deux savants, dessinateurs et jardiniers, dont neuf zoologistes et botanistes, y compris Jean-Baptiste Leschenault de La Tour. La moitié quitte l'expédition à l'escale de l'île de France, en mars-avril 1801. D'autres meurent de dysenterie au cours du voyage qui se poursuit, comme Maugé, Levillain, ou Riedlé, et d'autres enfin sont débarqués pour cause de maladie, comme Leschenault en juin 1803.

    Un grand nombre d'officiers sont jeunes et des coteries s'organisent. Baudin n'apprécie pas l'orgueil aristocratique de certains. Il débarquera plus tard son second (Le Bas de Sainte-Croix) à Timor après un duel.

    Nicolas Baudin atteint la Nouvelle-Hollande (Australie) en mai 1801. Si la moisson de plantes est abondante, les kangourous capturés meurent et des marins ont le scorbut. En avril 1802, il rencontre Matthew Flinders près de l’île Kangaroo, dessinant également la zone maritime, à la baie de la rencontre Encounter Bay. Il fait escale à la colonie britannique de Port Jackson le 27 juin 1802 jusqu'en novembre, pour son ravitaillement. La Casuariana commandée par Louis de Freycinet les rejoint. Puis, l'expédition de Baudin reste un mois en Tasmanie (appelée alors Terre de Diémen) avant d'aller vers le nord à Timor.


    Le Géographe et Le Naturaliste

    L'expédition devait donner forme à une grande partie de cette terre demeurée jusque-là méconnue. Aujourd'hui encore, beaucoup d'endroits, sur les côtes australiennes, portent le nom dont Baudin et son intrépide équipage les avaient baptisés. L'expédition s'est révélée être également l'un des plus grands voyages scientifiques de tous les temps : le Naturaliste rentre au Havre en juin 1803 et le Géographe à Lorient le 21 mars 1804, rapportant des dizaines de milliers de spécimens de plantes inconnues, 2 500 échantillons de minéraux, 12 cartons de notes, observations et carnets de voyages, 1 500 esquisses et peintures. Ces descriptions importantes pour les naturalistes et les ethnologues s'accompagnent de cartes géographiques de presque toute la partie sud et ouest de l'Australie ainsi que de la Tasmanie.

    Pourtant, le capitaine Baudin avait adopté des pratiques curieuses comme de vendre, pour son propre compte, ce qu'il pouvait lors des escales comme des provisions, du matériel médical, des équipement scientifiques et des produits chimiques.

    L'expédition, dont l'aspect sanitaire avait été préparé à Paris par Keraudren, premier médecin de la Marine, coûta la vie à de nombreux explorateurs, ainsi Nicolas Baudin lui-même qui mourut de tuberculose le 16 septembre 1803 à l'île de France (Île Maurice) sur le chemin du retour. Le Géographe était arrivé le 19 thermidor (7 août) à l'île de France. Il rend l'âme dans la maison de Mme Kérivel où il était soigné et fut enterré le lendemain avec les honneurs dus à son rang. Il meurt peu regretté de ses officiers d'état-major.


    Île Kangaroo, baie de Penneshaw :
    inscription gravée en 1803 par un des marins
    de la corvette Le Géographe rendant hommage
    à Nicolas Baudin


    Source Wikipédia


  • Astérix chez les Pictes pour son 35e album.
    Vous savez où c'est?

     

     

    Le Gaulois Astérix ira chez les Pictes, un peuple originaire du nord et de l'est de ce qui est devenu l'Ecosse, pour le 35e album de la série qui sortira le 24 octobre, ont annoncé ce mardi les éditions Albert René.

    "Astérix chez les Pictes", réalisé par Jean-Yves Ferri et Didier Conrad, se passera dans "un pays riche de traditions", une "terre pas si lointaine dont les habitants si fiers et attachés à leurs traditions nous offrent une belle promesse d'histoire savoureuse", indique la maison d'édition dans un communiqué.

    C'est la première fois qu'Albert Uderzo, 85 ans, cocréateur avec René Goscinny des aventures de l'irréductible Gaulois, confie ses crayons à un autre desssinateur.

    Le scénariste du nouvel album, Jean-Yves Ferri, est notamment l'auteur de "De Gaulle à la plage". Il a aussi été le scénariste de "Retour à la terre". Didier Conrad est le dessinateur de "Raj" et des "Marsukids".

    Début février, au festival d'Angoulême, Albert Uderzo s'était dit "plein d'espoir pour le nouvel album d'Astérix" à paraître le 24 octobre.

    Source: Charente Libre.fr

    Les Pictes étaient une confédération de tribus britaniques vivant dans ce qui est devenu l'Écosse du nord et de l'est, présents avant la conquête de l'île de Bretagne par les Romains et jusqu'au Xe siècle lorsqu'ils se réunirent avec les Gaëls. Ils vivaient au nord des fleuves Forth et Clyde, et parlaient le picte, une langue éteinte suggérée comme étant liée aux langues britaniques parlées par leurs voisins du sud, les Bretons insulaires. Les Pictes sont d'ailleurs désignés comme Brithwr par les Gallois. Les Pictes sont considérés comme étant les descendants des Caledonii et autres tribus identifiées par les Romains ou figurants sur la carte du monde de Ptolémée. Le territoire des Pictes, connu sous le nom de Pictavia, ou Pictland en anglais, se fondit progressivement avec le royaume gaélique de Dál Riata et forma le royaume d'Alba. Alba s'étendit, absorbant les royaumes brittoniques du Strathclyde et de Bernicie. Au XIe siècle, l'identité des Pictes avait disparu au profit d'un amalgame de peuples identifiés comme « Scots ».

    L'archéologie permet d'avoir des éléments quant à la société des Pictes. Bien que très peu d'écrits des Pictes nous soient parvenus, leur histoire depuis la fin du VIe siècle est connue par des sources variées telles que des annales irlandaises, l'Histoire ecclésiastique du peuple anglais de Bède le Vénérable, ou des hagiographies à l'instar de celle de Colomba d'Iona réalisée par Adomnan d'Iona. Bien que l'idée des Pictes dans l'imaginaire populaire puisse être celle d'un peuple mystérieux et obscur, ceci est loin de la réalité. Comparativement au cas de l'Europe centrale, du nord et de l'est lors de l'Antiquité tardive ou de la période médiévale du Ve siècle au début du XIe siècle, des témoignages de l'histoire et de la société pictes sont bien présents.

    Source Wikipédia


  • Qu'est-ce qu'une dispense de mariage ?

     

    Mariage illus.jpg


    On connait la plupart du temps les dispenses de parenté, ou de consanguinité ; voire aussi les dispenses de bans. Mais saviez-vous qu'il pouvait en exister d'autres types ?

    Lorsqu'il y a parenté entre les futurs époux, une dispense doit leur être accordée par l'évêché afin qu'ils puissent convoler.

    D'autres raisons peuvent aussi pousser à demander une dispense :

     

    • une dispense de 1 ou 2 bans. Le temps presse, le mariage doit se faire dans les plus brefs délais : un bébé sur le point d'arriver, l'imminence du temps prohibé (carême et avent),...
    • régularisation de mariage clandestin
    • extrait baptistaire impossible à fournir (registre détruit, baptême non inscrit dans le registre,...)

     


    D'une manière générale, les dispenses se trouvent dans la série G des Archives Départementales. On a donc tout intérêt à rechercher ces dispenses qui apportent de nombreux renseignements.

     

    Les différents types de dispenses

     

    L'âge

     

    L’homme ne peut contracter validement mariage avant quatorze ans accomplis, et la femme avant douze ans accomplis (puis 16 et 14 ans au XIXe siècle).

     

    La consanguinité

     

    La consanguinité simple nécessite des dispenses jusqu'au quatrième degré inclus.

     

    L'affinité

     

    Il y a deux sortes de parents d'affinité :

    - les parents d'affinités qui viennent du mariage, sont ceux qui étaient parents de consanguinité, de celui ou de celle avec qui l'on a été marié. (pour bien connaître les parents d'affinités qui procèdent au mariage, il faut compter le père ou la mère de celui ou de celle avec qui l'on a été marié, comme s'ils étaient ses propres père et mère). Nécessite des dispenses jusqu'au quatrième degré inclus.

    - les parents d'affinité, qui viennent de la copule illicite, sont ceux qui ont eu de mauvais commerces avec les père ou mère, frère ou sœur, cousin ou cousine germains de celui ou celle que l'on veut épouser (pour bien connaître ceux qui procèdent de la copule illicite, il faut considérer les père ou mère de celui ou de celle avec qui on l'a commise, comme s'ils étaient ses propres père et mère). Nécessite des dispenses jusqu'au deuxième degré inclus.

     

    L'affinité spirituelle

     

    L'affinité spirituelle procède du baptême, parce que celui ou celle qui a tenu un enfant sur les fonds baptismaux, contracte avec lui une affinité qui le rend comme son père ou sa mère, il contracte en outre une autre affinité avec les père et mère de l'enfant (compaternité).

     

    L'affinité survenante

     

    L'affinité survenante est un crime qui se commet par des gens mariés ; à savoir, le mari ayant de mauvais commerces avec la sœur, la nièce ou cousine germaine de sa femme, et la femme avec les frères, neveux ou cousins germains de son mari.

     

    Honnêteté publique

     

    - Mariage non consommé :
    si l'homme veut épouser une des parentes de celle avec qui il a été marié mais que la mort a dissous ce mariage avant la consommation (dispense nécessaire jusque au quatrième degré).

    - Fiançailles :
    Parce que celui qui a été fiancé a contracté une affinité telle, qu'il ne peut épouser la sœur de celle avec qui il l'a été sans dispense (cette affinité ne passe pas le premier degré).

    Source GénéaWiki.com

    Voir aussi  Les dispenses civiles au mariage en France depuis 1800


    Relevé dans les Affiches d'Angers de Messidor 1803

     


  • Depuis 5 ou 6 ans, je collectionne toutes représentations de Napoléon au Passage du Saint-Bernard (David)
    et uniquement cette représentation.

     

    Quelle ne fut pas ma surprise de trouver cet article dans les Affiches d'Angers de Prairial de l'An XI

     

    Quelques pièces de ma collection personnelle:

     

     

    Statue en régule 26 cmStatue en régule (26 cm) Bouteille de CognacBouteille de Cognac en biscuit Cadre toileToile encadrée (45 cm)

    Cartes postales, timbres poste, sous bock
    t-shirt et bouteilles de cognac
    T-shirt de Versaille, deux bouteilles de Brandy
    Assiète, timbre, étiquette cognac, coque d'I Phone
    Médailles Russes (commémoration de la Bataille de Borodino), fève, coque I Phone, Assiète en porcelaine, étiquettes de Cognac, statuette, timbre, puzzle
     

    Bibliothèque

    Bibliothèque

     

     

    Si vous avez des choses qui peuvent m'interresser, surtout, pensez à moi


  • Relevé dans les Affiches d'Angers de Floréal 1803

     

     

    Généalogie de Jean Henry MOULTSON, Chevalier de l'empire sur l'arbre Généanet de GENEALOGIE MOULTSON/COSS

    et également sur celui de Viviane PESTRIMAUX


  • Relevé dans les Affiches d'Angers de Floréal 1803

    Un autre fait historique méconnu, un accident de Bonaparte, 1er Consul (l’immortel Empereur)

    - Le premier consul a couru hier un dangers qui aurait pu avoir des suites graves, mais auquel il a heureusement échappé par sa présence d'esprit. Il était sorti du château de St-Cloud vers les trois heures de l'après midi, pour aller se promener en calèche dans les jardins, avec madame Bonaparte, le consul Cambacérès et d'autres personnes; la calèche était attelée de quatre chevaux que Bonaparte menait lui-même: les chevaux, jeunes et ardens, se sont emportés; ils ont arraché une barrière qui se trouvait sur leur passage, et se ont abatus. Le premier consul, pour éviter de tomber en avant, s'est élancé sur le côté, et est allé tomber à une assez grande distance de la voiture. La chûte a été violente; mais il est heureusement tombé sur l'herbe, et n'a éprouvé d'autre mal qu'une légère foulure à la main. Il a fort bien dormi dans la nuit, et ce matin il est allé se promener à la malmaison.

     

     

     

    A voir aussi: