• Pour celui qui trouve cela dans sa généalogie, c'est une aubaine:

    Généalogie d' Hercule de Charnacé

     

    Hercule de Charnacé (3 septembre 1588 au château de Charnacé, Champigné - 17 avril 1636, siège de Breda) est un conseiller d'État et diplomate français, gouverneur de Clermont-en-Argonne, baron de Charnacé, seigneur de Gastines et du Plessis.

     

    • Biographie

     

    Originaire d'une famille de l'Anjou, il fut emmené, dès l'âge de 12 ans à la cour d'Henri III par son parrain le duc de Montbazon. Il est le confident de Richelieu. Il est ambassadeur de Louis XIII près des rois de Pologne et de Suède et près des Provinces-Unies. Saint-Simon a laissé des anecdotes sur le marquis de Charnacé.

     

    Il fut chargé d'ambassades importantes, notamment auprès du roi Gustave-Adolphe de Suède. Il négocia l'alliance entre celui-ci et Louis XIII en 1631.

     

    • Bibliographie

    Henry Carnoy, Dictionnaire biographique international des écrivains, Paris : Imprimerie de l'armorial français, [1902]-1909.

     

     

    Souce AD 49 Champigné BMS 1596-1668 vue 84/428 et Wikipédia


  • Bonjour,

    En cherchant pour ma généalogie sur les AD du 49, je tombe sur ce texte qui attire mon attention, bien qu'à priori, il n'est aucun lien avec moi, mais juste par curiosité. Je crois y lire Ambassadeur du Roy, d'un voyage de France à Rome et du Chevalier de Guise

    J'ai bien dégrossi, du coup, ça devient plus clair

    C'est un article sur Hercule de Charnacé et sur le décès de Jacques, son père

    4 pages à lire sur les AD49 Champigné BMS 1596-1668 vues 82 à 85

     

    Le Sieur Hercule de Charnacé a esté ... à la Court de France à la suite
    de Monsieur de Monbason son parain
    depuis l'age de quatorze ans jusques a
    dix neuf ans auquel temps il alla en Ytallie
    et parti de France avec le Sieur de
    Trève qui alloit Embasadeur pour le Roy
    à Rome estant à Marseille
    le Sieur de Gatine s'embarqua avec
    le Chevallier de Guise et l' ......
    qui alloit en  ... après aoir eu  ...
    Il s'en alla à Rome après aoir esté à ...
    trois ans ou il ala à Tarente puis de Naples
    ou il fut  ... faisant toujours ses
    exercices estant de retour a toujours
    ... la Court du Roy de France  ...
    la faist gentilhomme de la Chambre et
    Chevallier de ses ordres en l'an mil six cens
    quinze durant les brouillements Il estoit
    Colonel d'un beau régiment en Bretagne
    pour monsieur de Vendome gouverneur de  ...
    ...... maintenant est Seigneur de
    Chanazé et de Gastine, du Plessis et de
    la  ...... des le dimanche Vingtième d'aout
    mil six cens dix sept. monsieur son père
    mourut le même matin et jour de dimanche
    le  ... fils estoit logé au bailleul de
    Jarzé puis du Maine.  ... revenant d'un voyage
    de novembre moy avec luy le dis Jacques à donc
    vescu  ...xixans il  ... depuis le xx ...
    qu'il mourut. Jusque au seizième octobre  ... ...

     

     




  • La carte Cassini est en fait un jeu de 182 cartes (échelle 1/86400) dressées au milieu de XVIIIe siècle par la famille Cassini (principalement par César-François Cassini), et issues de la collection David Rumsey. GeoGarage les a assemblé, puis utilisé les applications du service de cartographie en ligne de Google permettant la navigation, le zoom, etc...

    bravo

    France 1750 - David Rumsey Historical Map Collection

     



  • Bonjour à tous 

    Collectionnant tout ce qui représente Bonaparte 1er Consul, au Passage du Saint-Bernard (d'après David)

    je suis à la recherche de cette affiche.

    J'ai appelé la Mairie, qui m'a répondue que ce n'était pas une Expo organisée par la Ville, mais par le Palait des Congrès.
    J'ai essayé de les joindre, mais en vain...
    Si quelqu'un pouvait m'aider, ce serait super.

    Par avance, merci  ;)


  • comme Prêtre Poète

    1533 - Acte de baptême en vers

    Jusqu'en 1790, la ville d'Angers était partagée en seize paroisses : Saint-Pierre (l'une des plus anciennes), Saint-Maurille, Saint-Michel-du-Tertre, Saint-Denis, Saint-Julien, Saint-Martin, Saint-Michel-la-Palud, Sainte-Croix, Saint-Évroul, Saint-Aignan, Saint-Maurice, Saint-Laud, Lesvière, la Trinité, Saint-Jacques et Saint-Nicolas. Celles de Saint-Samson, Saint-Léonard et Saint-Augustin - rattachées à la ville pendant la Révolution - n'étaient alors que paroisses rurales.

     

     Les plus anciens registres paroissiaux conservés en Anjou sont ceux de la paroisse Saint-Pierre (janvier 1489). Bien avant l'édit de Villers-Cotterêts de 1539, certains évêques (surtout dans l'ouest du royaume et en Bretagne) avaient prescrit à leurs curés la tenue de registres de baptêmes. Les premiers statuts synodaux du diocèse d'Angers faisant mention de cette obligation remontent à 1504. L'édit de Villers-Cotterêts (paragraphe I, articles 50-53) l'impose à toute la France. En 1579, l'ordonnance de Blois ordonne la tenue de registres de mariages et de sépultures.

     

     Le premier registre de Saint-Pierre est déjà tenu en français. A l'image des notaires qui commençaient souvent par la formule, s'ensuyt les…, le curé a inscrit en tête du registre : S'ensuyt le papier des noms des petiz enfans baptizez depuis le premier jour de janvier en l'eglise de monsieur Sainct-Pierres d'Angiers, l'an mil IIIIC IIIIXX huyt (c'est-à-dire 1489 car nous changeons de millésime au premier janvier ; jusqu'en 1565, l'année commençait à Pâques). L'acte de baptême présenté ici est particulièrement original, puisqu'il est le seul à être rédigé en vers, sans doute par l'un des parrains des nouveaux-nés, Eustache Georget, licencié en loi. On y observe également la coutume, contractée au XIIIe siècle et interdite par le concile de Trente, du double parrainage : deux parrains et une marraine pour un garçon, l'inverse pour une fille.

     

    Le mercredy de may vingt et huytiesme
    L'an mil cinq cens trois avec le trentiesme,
    Eustache et Jehan, deux freres et sacher
    Jumeaux et filx de Ymbert maistre boucher,
    Dict Dorleans, et Perrine Bruneau,
    Sa femme espouse, en honneur bien et beau
    Ces deux enfans ensemble procreerent.
    Quatre parains pour les deux accepterent
    Et avec eulx deux notables maraines,
    Solempnizant les choses souveraines.
    Le premier fut Eustache ainsi nommé
    Par deux parains de nom bien renommé,
    Et la maraine aussi estoit de mesme,
    Faisant l'honneur qui appartient au baptesme.
    L'un estoit dict maistre Eustache Georget,
    Licencyé aux sainctes loix subgect,
    Jehan Daniel et Jehanne Barbetorte.
    Jehan Le Hayez, homme d'honneste sorte,
    Acompaigné de Pierre Fenouzet,
    Maistre boucher, compaignon de bon het,
    Avecques eulx Benoiste Bruneau dicte
    Nommerent Jehan selon la loy escripte.
    Maistre Symon Goyslard les baptisa,
    Qui justement tout le cas divisa.
    Eustache et Jehan sont les enfans nommez,
    Jhesus leur doint leur cours bien consommez.

     

    (en marge : )  Eustache, primus.
      Johannes, secundus.

    Paroisse Saint-Pierre d'Angers.
    Acte de baptême versifié d'Eustache et de Jehan Dorléans, fils du maître boucher Hymbert et de Perrine Bruneau. 28 mai 1533.
    AD49 B 1528 (7 novembre)-1584 -5 mai) vue 39/711

    Source: archives49.fr


  • Relevé dans le Petit Courrier d'Angers de Mars 1917

     

    • L’heure d’été est un système utilisé par un grand nombre de pays consistant à ajuster l’heure officielle, en ajoutant généralement une heure par rapport à l'heure du fuseau horaire (heure locale) pour une période allant du printemps jusqu'à la fin de l'été ou le début de l’automne, ce qui a pour effet de retarder l'heure à laquelle on voit le soleil se lever et se coucher.

    L’intérêt de l’heure d’été réside, selon ses promoteurs, dans les économies d’énergie qu’elle est censée permettre afin de profiter plus tard de la lumière solaire pendant la période estivale ; cette approche est cependant rejetée par ses détracteurs et mise en doute par la Commission européenne qui parle d’économies relativement limitées. D’après cette dernière, le maintien de l’heure d’été en Europe devrait être essentiellement motivé par le confort des loisirs en soirées estivales.

    L'heure d'été est principalement utilisée dans les régions tempérées, où les variations saisonnières de luminosité rendent cette mesure pertinente. Pour l’Europe, la période s’étend du dernier dimanche de mars au dernier dimanche d’octobre. Pour l’Amérique du Nord, et depuis 2007, cette période estivale débute dans la nuit du deuxième dimanche de mars, tandis que le retour à l’heure normale se fait le premier dimanche de novembre.

    Lors du passage à l’heure d’été, les horloges sont avancées de soixante minutes, entre minuit et 4 h du matin selon les pays, de sorte qu’il est couramment dit qu’« une heure de sommeil est perdue ». Lors du passage à l’heure d’hiver, les horloges sont retardées de soixante minutes et « une heure de sommeil est gagnée ».

    • Histoire

    Le 16 avril 1784, Benjamin Franklin évoque pour la première fois dans le quotidien français Le Journal de Paris la possibilité de décaler les horaires afin d’économiser l’énergie. L’idée reste cependant sans suite et n’est reprise qu’à partir de 1907 par le Britannique William Willet qui démarre une campagne contre « le gaspillage de la lumière ». L’Allemagne est la première à instaurer ce changement d’heure le 30 avril 1916 et est rapidement suivie par les Anglais le 21 mai 1916 : le Parlement met en place le British Standard Time, en avance d’une heure sur l’heure du méridien de Greenwich. L’idée est reprise par l’Irlande et l’Italie en 1966, ainsi que par la plupart des pays européens au début des années 1980. En Allemagne, entre 1947 et 1949, on instaure même un Hochsommerzeit où les horloges sont décalées d’une deuxième heure entre le 11 mai et le 29 juin.

    Première page de la lettre de Benjamin Franklin au Journal de Paris (publiée en traduction française) mentionnant pour la première fois la possibilité de décaler les horaires.

    • En France, l’heure d'été est proposée par le député André Honnorat, en 1916, puis instituée par une loi votée le 19 mars 1917 (par 291 voix contre 177).

    En 1940, sous l’Occupation, la France pratique l'heure d'été avec une certaine confusion entre zone libre et occupée : la zone occupée se met à l'heure allemande. Il faut à l'époque rajouter deux heures en été par rapport à celle de Greenwich et une seule en hiver
    A la Libération, l'heure d'été est abandonnée par le Gouvernement provisoire de la République française, le 14 août 1945.
    Le 28 mars 1976, suite au choc pétrolier de 1973, l’heure d’été est rétablie  : Il s'agit d’effectuer des économies d’énergie en réduisant les besoins d’éclairage en soirée. Le passage à l’heure d’été se fait le dernier dimanche de mars à 2 h du matin. Jusqu’en 1995, le passage de retour à l’heure d’hiver se fait le dernier dimanche de septembre à 3 h. Mais depuis 1996, il s’effectue le dernier dimanche d’octobre (à la même heure), ce qui prolonge la période d'heure d'été durant une partie de l’automne.

    Le changement d’heure estival est introduit dans l’ensemble des pays de l’Union européenne au début des années 1980. Pour faciliter les transports, les communications et les échanges au sein de l’UE, il a été décidé d’harmoniser les dates de changement d’heure en 1998, par la directive 2000/84/CE du Parlement européen et du Conseil.

    Avec l'abandon des changements d'heure en Chine depuis 1992 et en Russie depuis 2011, la majorité de la population mondiale garde son heure légale constante toute l'année.

     

    Source Wikipédia


  •  

    Je suis à jour, je viens de terminer mon mois d'Avril à l'instant

     


  • Relevé dans le Petit Courrier d'Angers le 18 Avril 1913

     

    17 Avril 1913 L'accident du ballon "Zodiac XIV " :

    Depuis près de 2 mois, les aviateurs militaires effectuent des exercices de reconnaissances aériennes, à bord de ballons sphériques pilotés par des officiers aérostiers. Les départs de ces ballons ont lieu dans l'enceinte du parc aérostatique de l'Aéroclub, à Saint-Cloud.
    Le 17 avril, cinq départs sont prévus. La météo n'est pas très bonne avec un vent assez violent et la pluie qui tombe en rafales.

    Pour la 4ème mission, le ballon sphérique de type "Zodiac XIV" de 1.600 m3 s'élève et prend rapidement de l'altitude. Son équipage se compose de :

    • M. Jacques Aumont-Thiéville, pilote de la mission, aérotier civil de l'Aéroclub de France et auteur d'une traversée nocturne de la Manche, seul à bord du ballon "la Tulipe", le 28 septembre 1912.
    • Capitaine Pierre Clavenad, aviateur militaire, brevet de pilote militaire n° 9 obtenu le 6 mai 1911, issu des chasseurs à pied,
    • Capitaine Henri de Noue, aérostier militaire du parc aérostatique militaire de la Maison-Blanche de Vincennes, issu du 3ème régiment de Dragons de Nantes,
    • Lieutenant de vaisseau Hilaire de Vasselot de Regne, aviateur militaire, issu du régiment de génie de Versailles,
    • Sergent Henri Richy, élève pilote militaire du centre d'aviation de Douai.

    Cne Pierre Clavenad - Pilote militaire - Issu des chasseurs à pied - Brevet de pilote militaire n° 9 obtenu le 6 mai 1911 - Tué au cours de l'accident du Zodiac XIV, le 17 avril 1913 - Photo "Le Petit Journal" mis en ligne par le site "Gallica" de la Grande Bibliothèque de France.

    Cne Henri de Noue - Issu du 3ème régiment de Dragons de Nantes - Aérostier militaire du parc aérostatique militaire de la Maison-Blanche de Vincennes - Tué au cours de l'accident du Zodiac XIV, le 17 avril 1913 - Photo "Le Petit Journal" mis en ligne par le site "Gallica" de la Grande Bibliothèque de France.

    LV Hilaire de Vasselot de Regne - Issu du régiment de génie de Versailles - Aviateur militaire - Tué au cours de l'accident du Zodiac XIV, le 17 avril 1913 - Photo "Le Petit Journal" mis en ligne par le site "Gallica" de la Grande Bibliothèque de France.

    Sgt Henri Richy - Elève pilote du centre d'aviation de Douai - Brevet de pilote militaire n° 241 obtenu le 2 avril 1913 - Tué au cours de l'accident du Zodiac XIV, le 17 avril 1913 - Photo "Le Petit Journal" mis en ligne par le site "Gallica" de la Grande Bibliothèque de France.

     

    Après avoir survolé Paris à une grande altitude, le ballon, qui donnait des signes de défaillance depuis Vincennes, était brusquement descendu et avait en partie arraché les fils télégraphiques et les signaux de la voie ferrée près de Rosny-sous-Bois. Poussé par un vent violent d'Ouest, le ballon frôle la cime des arbres près de Nogent. A Fontenay-sous-Bois, l'équipage largue du lest pour regagner de l'altitude. En vain ! La bourrasque le plaque au sol. Au passage, le ballon emporte une cheminée. Après un nouveau lancé de lest et le largage de l'ancre, le ballon reprend un peu de la hauteur. Arrivé à 250 m d'altitude, entre la Malhoue et Noisy-le-Grand, le Zodiac se dégonfle brusquement, se replie sur lui-même et s'écrase au sol dans un champ labouré appartenant au comte de Cahen d'Anvers, entre Noisy-le-Grand et Villiers-sur-Marne.
    Les témoins, arrivés sur place, découvrent une scéne tragique. Les cinq occupants de la nacelle gisent au sol, enchevétrès les uns sur les autres. Le Cne Clavenad, le Sgt Richy et M. Aumont-Thiéville avaient été tués sur le coup. Les deux derniers occupants, qui avaient tenté de monter dans les cordages pour se protéger de la chute, étaient encore en vie. Les deux officiers, grièvement blessés, sont chargés dans une automobile arrivée sur place. Déposés dans une salle de billard d'un café voisin de la gare de Villiers-sur-Marne, ils reçoivent les premiers soins de deux médecins. Ils constatèrent très vite que l'état de santé du Cne de Noue était critique car il souffrait d'une fracture de la colone vertèbrale. Il décédera des suites de ses blessures. Le dernier blessé, le Ltt de Vasselot semble moins atteint car il était toujours conscient. Il est transporté, par ambulance militaire, à l'hôpital Bégin, où il décédera des suites de ses blessures internes, quelques heures plus tard.

    L'enquête va montrer que la corde de déchirure avait été volontairement tirée, ouvrant normalement sur plus de 30 cm le panneau de déchirure situé au sommet de l'enveloppe. Cette manoeuvre se fait normalement à un mètre de sol, juste avant l'atterrissage. La corde de déchirure est enveloppée d'une large bande d'étoffe rouge qui la distingue nettement de toutes les autres commandes. La traction de cette corde en altitude provoque la chute certaine du ballon.

    Les hypothèses avancées auront été que le pilote a dû demander de l'aide à ses passagers pour maitriser son engin à travers les rafales de vent. Non expérimentés, l'un d'eux a dû commettre une fausse manoeuvre dans le maniement des cordes de commandes, provoquant la chute fatale de l'aérostat.

     

    Source: albindenis.free.fr

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    Département  93 Seine-Saint-Denis   Commune  : Noisy-le-Grand Accessible au public. Coordonnées : 48° 49' 58.08" N  2° 34' 54.24" E. 48.83280 2.58173. 48°49.968 N 2°34.904 E
    Au carrefour de la rue du ballon et de l'impasse Neil Armstrong.

    A la mémoire de Jacques Aumont Thieville, capitaine Clavenad, capitaine de Noue, lieutenant de vaisseau Vasselot de Regne, sergent Richy, victimes de la catastrophe du ballon ZODIAC XIV le 17 avril 1913.
    Au cours d’une ascension militaire le ballon sphérique qu’ils montaient s'était élevé au parc de l'aéroclub de Saint Cloud.
    Après un atterrissage tragique sur Fontenay-sous-bois il s'abattit définitivement dans la partie de la plaine visible à droite de ce monument.
     

     

     

    Source: aerosteles.net