• Comme cela n'arrive au grand maximum que deux fois par an, distance et travail obligent, laissez moi vous présenter mes descendants. Cédric et Léna habitent tous les deux à Angers, mais chez deux Mamans différentes. Malheureusement, ils ne se croisent que chez moi à Jarnac (280kms).

    De mémoire (je suis très fort en mémoire ) je dirais que cette photo à 5 mois.


  • Pierre LORCY (père de Claude LORCY) et Joseph CORBEL (son Gendre), hormi partager la même Famille, ont partagés le même sort et la même fin, dans les Geoles de la Tour de Vannes (56).
    Nul doute qu'ils appartenaient aussi à la Chouannerie Bretonne et que c'est pour cette raison qu'ils y ont été enfermés.

    Nul doute également qu'avec plus d'une 20e de Patronymes dans cette liste de Chefs Chouans, je ne suis pas au bout de mes surprises.

    La Porte-Prison ou porte Saint-Patern est la principale entrée dans la ville close dressée au débouché du gué primitif sur la rivière la Marle. Sous la porte, on distingue les jonctions entre l'ancienne construction et l'édifice actuel, reconstruit aux XIVe et XVe siècles. Il ne reste aujourd'hui que le corps central, la tour nord et quelques vestiges de la tour sud, détruite en 1886 par un particulier qui avait acheté ce monument en 1825, après la construction de la nouvelle prison. En 1911, après la rumeur d'une démolition possible pour élargir la rue, des Vannetais, attachés à leur patrimoine, se groupent pour fonder « Les Amis de Vannes ». Leur action permet l'achat de la porte par la ville et sa sauvegarde. La réfection de ses toitures date de 1973. Le nom ancien de porte Saint-Patern change quand les salles du premier étage sont utilisées comme prison. Lors de la Révolution, on y enferme les suspects et les condamnés, les religieux et prêtres réfractaires, dont le père Rogue, et les royalistes : l'état-major des émigrés fait prisonnier à Quiberon. Sont encore visibles : sous la voûte, l'emplacement de la herse, et, sur les côtés, les trous dans la pierre où venaient s'emboîter les poutres qui fermaient la porte ; au-dessus des arcades de la porte cochère et de la poterne, les emplacements verticaux où s'encastraient les flèches des ponts-levis lors de leur fermeture ; sous la fenêtre du guetteur, dans une arcade gothique, des restes du blason de Bretagne.

     

    • Un symbole du patrimoine encore mystérieux
    Porte Prison est le nom «récent» de la porte Saint-Patern. Le bâtiment que l'on admire aujourd'hui est un exemple d'architecture du XVesiècle. Mais il est le fruit de multiples constructions, transformations, dont l'histoire se noue aux premiers siècles de Darioritum (nom gallo-romain de Vannes). À la fin du IIIe, un castrum est construit sur la colline du Mené. Traversée par la voie romaine, son entrée vers Nantes se faisait, sans doute, par la porte Saint-Patern. La porte médiévale sort de terre au XIIIesiècle. Un siècle plus tard, on lui ajoute un pont-levis à bascule et une poterne pour le passage des piétons. Puis, au XVesiècle, elle est adaptée aux évolutions de l'artillerie: les parties hautes sont rehaussées de mâchicoulis, la porte est renforcée d'une barbacane et des archères-canonnières sont mises en place.

    • Conservée comme prison

    À partir de la seconde moitié du XVIIesiècle, la porte Saint-Patern devient une prison pour hommes et prend son nom actuel. C'est grâce à ce rôle, qu'elle tient jusqu'en 1825, qu'elle reste en parfait état. Puis, elle devient propriété privée. S'en suit une longue dégradation. Une décrépitude telle qu'en 1886, la tour sud est en partie détruite. En 1911, la toute nouvelle association des Amis de Vannes lance une souscription pour sauver la porte Prison de la destruction totale. Un an plus tard, grâce àcet apport, la Ville achète le bâtiment.

    • Égoût mis à jour et sculpture fantôme

    Depuis, les restaurations se suivent. Grâce aux travaux effectués en 2011 sur les fondations, àenviron 50cm de profondeur, l'égout médiéval a été mis au jour: une grande canalisation couverte, aux pierres soigneusement taillées. Mais pas de traces de la porte gallo-romaine. Ce passé est sans doute plus profondément enfoui.

     

    Mais la porte garde aussi des mystères plus récents: son écu, sculpté sous François II ou Anne de Bretagne. Il a été entièrement martelé à la Révolution et aucun document n'a permis de le reconstituer. Cette porte des entrées princières et des processions était-elle marquée aux armes de Bretagne? La restauration comprend néanmoins un budget sculpture. «Mais nous attendrons d'avoir une certitude», précise Gabriel Sauvet, adjoint à la culture. Avis aux chercheurs.
    • Un symbole du patrimoine encore mystérieux

    Porte Prison est le nom «récent» de la porte Saint-Patern. Le bâtiment que l'on admire aujourd'hui est un exemple d'architecture du XVesiècle. Mais il est le fruit de multiples constructions, transformations, dont l'histoire se noue aux premiers siècles de Darioritum (nom gallo-romain de Vannes). À la fin du IIIe, un castrum est construit sur la colline du Mené. Traversée par la voie romaine, son entrée vers Nantes se faisait, sans doute, par la porte Saint-Patern. La porte médiévale sort de terre au XIIIesiècle. Un siècle plus tard, on lui ajoute un pont-levis à bascule et une poterne pour le passage des piétons. Puis, au XVesiècle, elle est adaptée aux évolutions de l'artillerie: les parties hautes sont rehaussées de mâchicoulis, la porte est renforcée d'une barbacane et des archères-canonnières sont mises en place.

    • Conservée comme prison

    À partir de la seconde moitié du XVIIesiècle, la porte Saint-Patern devient une prison pour hommes et prend son nom actuel. C'est grâce à ce rôle, qu'elle tient jusqu'en 1825, qu'elle reste en parfait état. Puis, elle devient propriété privée. S'en suit une longue dégradation. Une décrépitude telle qu'en 1886, la tour sud est en partie détruite. En 1911, la toute nouvelle association des Amis de Vannes lance une souscription pour sauver la porte Prison de la destruction totale. Un an plus tard, grâce àcet apport, la Ville achète le bâtiment.

    • Égoût mis à jour et sculpture fantôme

    Depuis, les restaurations se suivent. Grâce aux travaux effectués en 2011 sur les fondations, àenviron 50cm de profondeur, l'égout médiéval a été mis au jour: une grande canalisation couverte, aux pierres soigneusement taillées. Mais pas de traces de la porte gallo-romaine. Ce passé est sans doute plus profondément enfoui.

     
    Mais la porte garde aussi des mystères plus récents: son écu, sculpté sous François II ou Anne de Bretagne. Il a été entièrement martelé à la Révolution et aucun document n'a permis de le reconstituer. Cette porte des entrées princières et des processions était-elle marquée aux armes de Bretagne? La restauration comprend néanmoins un budget sculpture. «Mais nous attendrons d'avoir une certitude», précise Gabriel Sauvet, adjoint à la culture. Avis aux chercheurs.
     



  • Si je n'ai à ce jour, aucun ancêtre dans le Finistère, voici à plus de 95% la Terre de mes Racines.
    Je laisse aux "irréductibles Contestataires, Séparatistes et autres Indépendantistes" le choix de garder où non la Loire Atlantique en Bretagne ou en Pays de Loire.

    Pour information:
     La question du rattachement de Loire-Atlantique à la région Bretagne est un débat qui fait suite à la séparation de ce département des départements de la région Bretagne et son rattachement à la région des Pays de la Loire lors de la création des régions administratives françaises en 1956, alors que le territoire de la Loire-Atlantique faisait partie depuis l'an 850 du Duché de Bretagne, devenu province de Bretagne jusqu'en 1790. 

    Ce démembrement reste un sujet polémique dans ce département, ainsi que dans le reste de la Bretagne. Des élus de Loire-Atlantique et des autres départements bretons, des mouvements politiques et des associations régionales demandent la réunification administrative des cinq départements dont la Loire-Atlantique en une seule région Bretagne.

     
     
    Mes cinq enfants...
     


    Partons de Nantes à Brest pour une aventure entre armor et argoat..

    Le premier de mes cinq enfants s'appelle le Morbihan "c'est mon préféré car étant le plus petit des enfants (Bihan)"..qui doit son nom à son fameux et très recherché "Golfe de la petite mer", il se partage avec Mor Braz "La grande mer" de son Houat, Hoëdic, Belle-Île-en-Mer et Groix. C'est une grande famille avec ses nombreux îlots. C'est le plus bretonnant de tous car il est le seul à avoir préservé son nom en Breton, c'est un petit joueur çui la, il aime se cacher dans les Landes de Lanvaux. Son défaut serait peut être de ne pas tenir la marée...parfois!

    Mon deuxième enfant s'appelle Penn ar Bed, le Finistere, le plus croyant de la famille, scrutant l'horizon d'un air tempéré ce tenant toujours prêt pour une aventure au bout du monde, oui je sais que ce n'est pas une fin en soi de vouloir découvrir la fin de la terre!!. Parfois la mer d'Iroise le rappelle à ses origines pour un retour sur l'archipel de Molène qui ménage ses peines pour lui éviter la pointe du raz, alors il marche sur la terre des montagnes noires du Menez-hom se ressourcer dans la chapelle au Mont Saint Michel de Brasparts au plus profond de sa croyance..

    Mon troisième s'appelle les Côtes-d'Armor, Aodoù an Arvor en breton. Ce Costarmoricain, c'est le plus frileux des cinq!!, normal nous sommes dans le Nordddd!! Je l'aime bien avec sa cote de granit rose qui lui donne une belle couleur très appréciable surtout lorsqu'il porte une ceinture dorée. Je le surnomme mon émeraude tellement il me fascine avec sa Manche qui lui apporte une belle façade entres collines et falaises, il est loin d’être un manchot çui la

    Mon quatrième s'appelle l'Ile-et-Vilaine, il est timide et se cache souvent dans le massif armoricain pour se préserver de la vilaine qui tourne parfois ses effluves autour de Rennes!, mais il aime parfois se baigner dans la Manche pour découvrir et partager l'émeraude avec son frère des cotes d’Armor, sa superstition l'envoie parfois du coté de la foret de Paimpont pour y découvrir des mystères!! lesquels? aller donc savoir!!

    Mon cinquième s'appelle la Loire Atlantique, elle à pour marraine Anne de Bretagne, elle le suit dans son sillon depuis la Bretagne, c'est la fleur bleu de la famille et des que l'occasion s'offre, elle s'en va rejoindre la Cote d'Amour au gallo de sa langue traditionnelle en espérant son rattachement tant attendu!!
     
     
     

  • Le siège de Savannah est une bataille de la guerre d'indépendance des États-Unis en 1779. Une année auparavant, la ville de Savannah, capitale de la colonie britannique de Géorgie, avait été capturée par le corps expéditionnaire britannique du lieutenant-colonel Archibald Campbell. Le siège en lui-même consiste en une tentative franco-américaine de reprise de Savannah allant du 16 septembre 1779 au 18 octobre 1779. Le 9 octobre 1779, un assaut majeur contre les Britanniques échoue. Pendant l'attaque, le comte polonais Kazimierz Pułaski, combattant pour les États-Unis tombe mortellement blessé. Avec l'échec de l'attaque, le siège échoue, et les Britanniques conservent le contrôle de la Géorgie jusqu'en 1782.

     

    Cette bataille est connue dans l'histoire d'Haïti car une légion de plus de 500 gens de couleur de Saint-Domingue combattirent du côté français. Il est probable qu'Henri Christophe, futur roi de Haïti indépendant ait fait partie de ces troupes. Parmi les combattants, plusieurs officiers blancs devinrent ensuite des figures des réfugiés français de Saint-Domingue en Amérique. (Wikipédia)

    Jean FOURÉ (sosa 956), Menuisier de Marine, né à Saint-Joachim (44) le 9 juillet 1741, fils de Jean FOURÉ et de Madeleine MAHÉ,
    Embarqué sur le
     
    Dauphin Royal, il part combattre au côté des Américains, et tenter de reconquérir Savannah aux mains des Britanniques. Il y laissera la vie en 1779, à l'age de 38 ans, laissant sa femme, Marie AOUSTIN, épousée le 27 novembre 1764 à Saint-Joachim, seule avec leurs 6 enfants.

    Je cherche aujourd'hui des traces de son décès, n'ayant que cette année, 1779, pour référence...

    Le Dauphin RoyalDessin du décor du " dauphin royal " attribué à Pierre Puget

    Le Dauphin Royal est un vaisseau de ligne de la Marine royale française en service de 1738 à 1783. Vaisseau de 2e puis de 3e rang portant successivement 74 puis 70 canons qui précède de quelques années la célèbre classe des « 74 canons ».

    Il participe avec succès aux nombreuses missions d'escorte vers l'Amérique lors de la guerre de Succession d'Autriche. Refondu de 1749 à 1751 à Brest par Jacques-Luc Coulomb, il est réduit à 70 canons, ce qui améliore ses qualités de nautiques et fait de lui un excellent marcheur.

    Au début de la guerre de Sept Ans, le Dauphin Royal effectue plusieurs voyages à destination de Louisbourg, sur l'île Royale, en 1755 et 1757. Il était commandé par le capitaine du Tertre de Montalais dans la flotte de vingt bâtiments de Dubois de La Motte chargée d'escorter en mai 1755 d'importants renforts pour le Canada. Le Dauphin Royal faisait partie des trois vaisseaux de l'escadre ayant gardé toute leur artillerie pour accompagner les dix-sept autres armés en flûte et servant de transport pour les 3 000 hommes de troupes. Le 10 juin 1755, alors qu'il a été séparé de l'escadre par le brouillard en compagnie de deux flûtes, il est attaqué au large de Terre-neuve par les forces de l'amiral Boscawen chargées d'intercepter le convoi. Navire bon marcheur, il échappe cependant à la capture, contrairement aux deux flûtes, l’Alcide et le Lys. En 1758, malgré sa taille, il est déclassé en vaisseau de 3e rang. Il participe ensuite à la bataille des Cardinaux, le 20 novembre 1759, sous les ordres du Chevalier d'Uturbie Fragosse. Fuyant le champ de bataille après l'engagement qui a vu la destruction de l'arrière garde, il parvient à se réfugier à Rochefort.

    Il est refondu à nouveau de 1768 à 1769 à Rochefort par Guillaume Clairain-Deslaurier. Son artillerie se compose alors de 26 canons de 36 livres ; 28 de 18 livres et 16 de 8, soit 70 pièces (l'artillerie des gaillards a été réduite). Pendant la guerre d'indépendance américaine, il est engagé à la bataille d'Ouessant, le 27 juillet 1778. Commandé par le marquis de Nieuil, il fait partie de l'escadre commandée par le comte du Chaffault. En juillet 1779, il participe à la bataille de la Grenade dans les vingt-cinq vaisseaux de l'escadre du comte d'Estaing contre celle de Byron. En décembre de cette même année, il fait partie des sept vaisseaux qui stationnent à la Martinique sous le commandement de La Motte-Picquet. Il ne participe pas au combat devant l'île que soutient La Motte-Picquet contre Hyde-Parker car il est provisoirement désarmé à ce moment-là.

    Il est finalement condamné en 1783, après 43 ans de services et après avoir traversé avec succès les trois grands conflits maritimes du XVIIIe siècle. (wikipédia)

     

    • Franklin et la route vers une guerre généralisée (1778-1779)

     

     

     

     

    Contrairement à la prise de Philadelphie, la défaite des Britanniques lors de la campagne de Saratoga transforma radicalement la guerre. Réalisant que cette défaite anéantit les espoirs de victoire des Britanniques, le premier ministre Lord North dépêcha en Amérique, en février 1778, une nouvelle commission de paix afin de négocier avec le Congrès. Par contre, la Commission Carlisle ne disposa pas du pouvoir de reconnaître l’indépendance américaine, ce qui fit qu’elle fut largement ignorée par le Congrès.

    Entre temps, un autre Américain du nom de Benjamin Franklin, qui vivait à Paris depuis 1776, utilisa la victoire de Saratoga et la possibilité d’un rapprochement anglo-américain dans le but de persuader la France de signer des traités avec les États-Unis. Ce faisant, l’Amérique allait recevoir des fournitures militaires en plus de voir la France s’engager à envoyer des troupes de l’autre côté de l’océan. En 1779, l’Espagne entra également dans le conflit aux côtés de la France et lorsque l’Angleterre déclara la guerre à la Hollande (pour avoir entretenu des relations commerciales avec les États-Unis et la France), la révolution américaine se transforma en un conflit généralisé.


    Peinture de Rob Chapman montrant un soldat britannique blessé à la bataille de Guildford Courthouse (1781).

     

    Les premiers mois de 1778, qui virent d’intenses négociations entre les États-Unis et la France sous l’égide de Franklin, correspondent aussi avec une réorientation de la stratégie britannique, à la lumière de l’expansion mondiale du conflit. Le besoin d’écraser la rébellion devint subordonné à une stratégie visant la protection des possessions britanniques aux Indes et en Méditerranée. Par ailleurs, l’échec du général Howe à vaincre l’armée affaiblie de Washington localisée à Valley Forge (Pennsylvanie) entraîna son rappel puis son remplacement par Sir Henry Clinton. Ce dernier reçut l’ordre d’évacuer Philadelphie et de regrouper ses forces à New York et à Newport (Rhode Island).

     

    Ayant ainsi débuté l’évacuation de Philadelphie en juin 1778, l’armée de Clinton fut prise d’assaut par Washington, dont les troupes beaucoup mieux entraînées et disciplinées émergèrent de Valley Forge pour livrer bataille à Monmouth (28 juin). Celles-ci furent entraînées par un habile général attiré par la cause américaine, le Prussien Friedrich, baron von Steuben. Ce dernier transforma l’Armée Continentale et en fit un instrument de guerre capable d’affronter les réguliers britanniques. Ce furent donc deux armées relativement égales qui s’affrontèrent à Monmouth, malgré que cette bataille ne fut pas concluante, sauf que ce fut au final la cause américaine qui en sortit à nouveau vainqueur. Par exemple, l’échec d’une force franco-américaine visant à prendre Newport en août, une campagne dans laquelle un nouveau régiment d’Afro-Américains du Rhode Island sous les ordres du colonel Christopher Green se distingua, puis un autre revers subi par un contingent franco-américain devant Savannah (Georgie) en octobre, démontra que cette alliance constitua malgré tout un obstacle de taille à la victoire britannique.

    Source: le Blog de Carl Pépin (Historien)

    Quelques pistes pour mes recherches:

     


  • Reçu ce jour

    Du coup, ça va devenir beaucoup plus simple pour combler les vides

     

    Arbre d'Ascendance d'Ilyan et Melvin sur 12 Générations

    1,80m x 1,10m


  • En ce 11 mai 1941, on nous annonce la sortie d'un nouveau Timbre de l'Administration des Poste, à l'éffigie de la Ville d'Angers.

    Source: Le Petit Courrier d'Angers

    Le 17 mai

     

     Je me suis donc mis en quête aujourd'hui de retrouver ce timbre, et voici mon achat du jour

    10Fr Ville d'Angers de 1941

    Les 3 autres Timbres de 1941

    La Cité de Carcassonne Le Paquebot Le Pasteur L'Hôtel Dieu de Beaune

     

    La Philatélie est à l'honneur en 1941, voici quelques artciles trouvés également dans le Petit Courrier

    Le 21 mai


  • Il y a 408 ans aujourd'hui, à la Himbaudière, au Lion d'Angers (49), naissait Catherine GODES, ma sosa 11213.

    Le 3 novembre 1626, au Lion-d'Angers, Catherine épouse Robert MÉNARD, Métayer

     


    De leur union naitrons 8 enfants

    • F Renée MENARD 1628-
    • H Pierre MENARD 1629-1717
    • H Jehan MENARD 1631-
    • H Jean MENARD 1632-
    • H René MENARD 1634-1702/
    • H Guillaume MENARD 1635-
    • H Mathieu MENARD 1637-
    • F Mathurine MENARD 1640-1679

    Catherine Godes veuve de Robert Menard, et Sébastien Menard son beau-frère, vendent une pièce de terre, Le Lion d’Angers 1641 (sur le site de Odile HALBERT)

    Catherine s'éteindra le 10 août 1679 au Lion-d'Angers


  • La une du Charente-Libre du jour

     

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