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Par Bruno Rivet le 10 Novembre 2013 à 20:11
A Courcoury (17), le 30e jour d'avril 1686, Acte de Mariage de Charles CHAUVIN, Carabinier de Monsieur de St ? de la Paroisse de de Carignan (08) Diocèse de Trèves (Allemagne) et Damoiselle Marie de BEAUCORPS de Courcoury (17)
- Décryptage réalisé par Tatiana YVON Généalogie
Le 30eme avril 1686 furent conjointz par la benediction nuptialle dans l'église Saint
martin de Courcoury Charles Chauvin carabinier de Monsieur de st Silvestre de la
paroisse de Cavignan dioceze de treves en France et damoiselle Marie de beaucorps
de cette paroisse par le consentement de Monseigneur levesque de Saintes presant
soulz signés marie de beaucorps jean de Senemon elisabeth de beaucorps G. de B...
marie de bea
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Par Bruno Rivet le 7 Novembre 2013 à 10:21
« Idée de génie : mettre la pomme de Newton dans la brouette de Pascal. » (Roland Bacri)
J'aime beaucoup cette photo, d'une part parce que déjà, j'assume mon complexe de supériorité , mais surtout, nous formions une sacré équipe tous les trois et qu'aujourd'hui, mon Grand Frère (à droite), me manque énormément.
Bruno, Yannick et Joël RIVET, 1964 à Montreuil-Belfroy (49)- (*) La brouette vient du latin bi rota, qui veut dire deux roues
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Par Bruno Rivet le 5 Novembre 2013 à 11:11
Je partage ce cousinage avec, entre autre, mon ami Christophe Dit Tahiti MENU
Julien Gracq, de son vrai nom Louis Poirier, voit le jour le 27 juillet 1910 à Saint-Florent-le-Vieil (49) et mort le 22 décembre 2007 à Angers. (sa fiche dans ma généalogie)
Il prend donc le nom de Julien Gracq lors de la parution de son premier roman en 1937, Au château d’Argol. Julien parce qu’il a fait la découvert très jeune du roman de Stendhal, Le Rouge et le Noir. Passionné par ce roman il apprend des passages par cœur, et Julien Sorel devient pour lui une sorte de référence. Le nom de Gracq vient des Gracques. Pour son pseudonyme, il ne voulait donc pas dépasser plus de trois syllabes.
Prix Goncourt en 1951, pour son Roman "Le Rivage des Syrtes", il refusera le Prix, ce qui causera une polémique très médiatique.
"" Après avoir rendu publiques tant de "mauvaises pensées", plus question pour lui, l’année suivante (1951), d’accepter le prix Goncourt qu’on lui offrit pour son Rivage des Syrtes. Plus question, non plus, d’une élection à l’Académie française, non pas parce que l’illustre compagnie l’aurait rejeté, mais parce que Gracq ne s’imaginait pas portant l’habit, le bicorne, la cape et l’épée. D’ailleurs, dans ses Lettrines, il ne ménage pas cette assemblée de dignes Immortels.
L’Académie française ne sert à rien. Son dictionnaire est sans autorité, sa grammaire n’a jamais été faite. D’un autre côté, elle ne gêne réellement personne. Pourquoi s’en prendre à cette chère vieille chose, une des curiosités les plus folkloriques et les plus anglaises que nous ayons conservées ? Ces hommes — de beaucoup ou de peu de lettres — qui ceignent l’épée et battent le tambour, il n’y a aucune raison d’être contre. Il suffit d’être, bien entendu, dehors. On peut s’amuser de la parade de la relève à Buckingham Palace, sans vouloir pour autant s’engager dans les Horse Guards."" Source: http://www.bude-orleans.orgŒuvres principales
Il fait ses études au Lycée Georges-Clemenceau à Nantes puis au Lycée Henri-IV à Paris, à l'École normale supérieure (promotion 1930) et à l'École libre des sciences politiques. Choisissant d'étudier la géographie, il est élève d'Emmanuel de Martonne et d'Albert Demangeon[2] ; il est reçu à l'agrégation d'histoire et géographie en 1934. Durant sa carrière de professeur, il est successivement en poste aux lycées de Quimper, ville où il anime le cercle d'échecs, Nantes, et Amiens. Entre 1942 et 1946, il est en poste à l'Université de Caen, années dont il tirera Carnets du grand chemin en 1992[3]. Nommé au lycée Claude-Bernard de Paris en 1947 ? où il aura comme élèves Jean-René Huguenin et Renaud Matignon, puis l'écrivain Jean-Paul Goux ? il enseigne l'histoire et la géographie jusqu'à son départ en retraite en 1970.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, il est mobilisé dans l'infanterie. Fait prisonnier en juin 1940, il est rapatrié d'Allemagne à titre sanitaire.Louis POIRIER est un cousin au 8e degré d'un grand-parent de Bruno Michel Jacques RIVET.
- En effet,
- Louis LE LARDEUX (1 lien de parenté)
- Francoise JOURNÉE (1 lien de parenté)
- des ancêtres à la 10e génération de Bruno Michel Jacques RIVET
- des ancêtres à la 8e génération de Louis POIRIER
Louis LE LARDEUX
&1674 Francoise JOURNÉE †/1700| | | Louis LE LARDEUX ca 1688- Anne LE LARDEUX 1677-/1740 | | Anne LARDEUX 1716-1781/ Marie BURON 1704-1750 | | Anne ROUSSEAU 1749-1811 Louis Gabriel POIRIER 1747-1827 | | Joseph DUPRÉ 1776-1825 Pierre POIRIER 1780-1870 | | Marie Jeanne DUPRÉ 1814-1871 Pierre François POIRIER 1807-1873 | | Louis MARTIN 1854-1886 Emmanuel POIRIER 1838-1926 | | Mathilde MARTIN 1877-/1931 Emmanuel Olivier Joseph POIRIER 1868-
| | Alexandre Edouard Raymond Louis COGNARD 1911-1976
Louis POIRIER 1910-2007
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|Monique Jeanne Renée COGNARD | Bruno Michel Jacques RIVET Si Au château d'Argol, son premier roman, fortement influencé par le romantisme noir et par le surréalisme, avait attiré l'attention d'André Breton, c'est avec Le Rivage des Syrtes, et surtout le spectaculaire refus de son auteur de recevoir le prix Goncourt en 1951, que Julien Gracq s'est fait connaître du public. Reconnaissance paradoxale pour cet écrivain discret qui s'est effacé derrière une œuvre protéiforme et originale, en marge des courants dominants de la littérature de son époque (voire en opposition), qu'il s'agisse de l'existentialisme ou du nouveau roman. Après avoir abandonné l'écriture de fiction, Julien Gracq publie à partir de 1970 des livres qui mélangent bribes d'autobiographie, réflexions sur la littérature et méditations géographiques.
Traduites dans vingt-six langues, étudiées dans des thèses et des colloques, proposées aux concours de l'agrégation, publiées de son vivant dans la Bibliothèque de la Pléiade, les œuvres de Julien Gracq ont valu à leur auteur une consécration critique presque sans équivalent à son époque.
Carte de voeux de Julien Gracq. Autographe inédit.Source: Généastars, GénéInfos, Wikipédia, bude-orleans.org, littexpress.over-blog,
- En effet,
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Par Bruno Rivet le 3 Novembre 2013 à 12:30
Et si ....?
Relevé dans Le Petit Courrier d'Angers du 4 novembre 1914
Source AD49/Presse/Le Petit Courrier/novembre 1914 vue 6/43Mon AGP aurait peut-être vu grandir ces enfants, lui qui a été blessé le 1er novembre 1914 à Zonnebeke, dans cette Bataille Ypres et qui est décédé le 21 novembre, des suites de ses blessures, à l'Hopital Provisoir N°14 à Saint-Méen-le-Grand (35)
Sa fiche Militaire sur memorial-genweb.org
Grade - Identité - Origine
RIVET André Adolphe
Soldat
Origine : 49 Angers (Né le 3/11/1883)
N° A-110543
Affectations
9°A Foch,
9°CA Dubois,
17°DI Guignabaudet,
36°BI Eon,
135e R.I.
Date 14/11/1914
Condition & lieu décès
Blessé - Mort le 21/11/1914 à l'hôpital de Saint-Méen-le-Grand (35)
>> Zonnebeke
>>> Ypres
>>>> Belgique (9131)
Sa Sépulture - MPLF - dans le Carré Militaire
Au Cimetière de Rennes Sud
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Par Bruno Rivet le 2 Novembre 2013 à 13:55
La vie est vraiment faite de drôles de coïncidences, de destins croisés. Pour preuves, mes sosas 474 et 475
Nés la même année, à 21 jours d'intervalle
Anne Perrine MOYON née le 07/11/1771
AD BMS 1771 vue 14/17
Jean HALGAND né le 28/11/1771
AD BMS 1771 vue 15/17
Mariés bien sûr le même jour (c'est mieux ), le 20 juillet 1790Et décédé tous les deux à l'age de 40 ans, la même année donc, en 1811
Jean HALGAND décédé le 09/09/1811
AD D 1811 vue 6/11
Anne Perrine MOYON décédée le 27/12/1811
AD D 1811 vue 10/11
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Par Bruno Rivet le 29 Octobre 2013 à 19:14
Ce n'est pas le 1er sosa que je trouve noyé en Brière, et ce ne sera certainement pas le dernier. (voir article précédant).
La Brière ou Grande Brière est un marais situé géographiquement au nord de l'estuaire de la Loire débouchant sur l'océan Atlantique, à l'ouest du département de la Loire-Atlantique.
Autrefois, on y récoltait la tourbe et on y navigue encore grâce à une barque appelée « chaland ».
Ses habitants s'appellent les Brièrons.La Brière, ou Grande Brière est drainée par le dernier affluent de la Loire : le Brivet, qui se jette dans l'estuaire à la limite des communes de Saint-Nazaire et Montoir-de-Bretagne.
Son territoire s'étend sur 490 km², dont 170 km² de zones humides, au cœur desquelles le marais de Grande Brière mottière couvre à lui seul 70 km², qui compte 21 communes.Ce territoire se caractérise aussi par son architecture avec près de 3 000 toits de chaume, appelés chaumières. (source: Wikipédia)
Jean MOYON, sosa 914, fils de Jean MOYON et de Renée RIALLAND, né le 5 juin 1760 à Saint-Joachim (44) est décédé le 3 messidor an IV (21 juin 1796)
La commune de Saint Joachim est crée en 1790 et portera à l’origine le nom « LES ILES »
Un chapelet composé de 7 îles composé de PENDILLE, FEDRUN, MAZIN, BAIS, AIGNAC, MENAC et LA LANDE.
Ces îles, dont le point culminant est BRECUN 9m, sont ceinturées de canaux circulaires appelés « CUREE ».
Entretenus par l’homme ils permettaient la circulation des hommes et des produits.Localisez Saint-Joachim, Fedrun, Méan et Paimboeuf
Agrandir le planMerci à Yvon MOYON pour son aide sur le déchiffrage des lieux de la Brière
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Par Bruno Rivet le 28 Octobre 2013 à 09:56
Il me complait de songer que peut-être ...
Joachim du BELLAY
1522-1560François BRICET, mon sosa 11194, est veuf de Mathurine GERNIGON (†10/12/1631) quand il se remarie avec Guillemine BELLAY, le 20 janvier 1636 à Gené (49). Guillemine est fille de Joachim BELLAY et de défunte Guillemine RUAU
Acte de (re)mariage de François BRICET avec Guillemine BELLAY
A ce jour bien sùr, rien ne me lie à Joachim du BELLAY, mais la coïncidence des Patronymes m'a interpellée et amusée.
D'autant que Joachim (le Poête) est né à Liré (49) vers 1522 et Guillemine vers 1590 au Lion-d'Angers (49), soit à 60kms à vol d'oiseau, ce qui n'est nullement improbable.
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Par Bruno Rivet le 27 Octobre 2013 à 11:39
François DELESTRE, mon sosa 5596, est né en 1602 à Andigné (49), fils d'Etienne et de Jeanne MARION
Vous remarquerez que cet acte est en Latin et donc pas si simple à déchiffrer, du coup, je ne lis pas la date.François épousera Jeanne BRISSET le 18 février 1642 au Lion-d'Angers (49)
J'ai également des difficultés à tout déchiffrer sur cet Acte et j'apprécierai beaucoup un petit peu d'aide.
AD MS 1614-1643 (16 février) vue 93/180François et Jeanne se sont Fiancés à Gené (49) le 25 janvier 1642.
En recherchant cet acte, je découvre la Promesse de Mariage de René DELESTRE, son Frère, avec Jacquine LATAY, le 6 novembre 1640 à Gené.
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