• A Courcoury (17), le 30e jour d'avril 1686, Acte de Mariage de Charles CHAUVIN, Carabinier de Monsieur de St ? de la Paroisse de de Carignan (08) Diocèse de Trèves (Allemagne) et Damoiselle Marie de BEAUCORPS de Courcoury (17)

    AD BMS 1612-1713 vue 217/306

     

                                 Le 30eme avril 1686 furent conjointz par la benediction nuptialle dans l'église Saint
                                 martin de Courcoury Charles Chauvin carabinier de Monsieur de st Silvestre de la
                                 paroisse de Cavignan dioceze de treves en France et damoiselle Marie de beaucorps
                                 de cette paroisse par le consentement de Monseigneur levesque de Saintes presant
                                 soulz signés marie de beaucorps jean de Senemon elisabeth de beaucorps G. de B...
                                 marie de bea


  • « Idée de génie : mettre la pomme de Newton dans la brouette de Pascal. » (Roland Bacri)

    J'aime beaucoup cette photo, d'une part parce que déjà, j'assume mon complexe de supériorité , mais surtout, nous formions une sacré équipe tous les trois et qu'aujourd'hui, mon Grand Frère (à droite), me manque énormément.


    Bruno, Yannick et Joël RIVET, 1964 à Montreuil-Belfroy (49)

     

    • (*) La brouette vient du latin bi rota, qui veut dire deux roues



  • Je partage ce cousinage avec, entre autre, mon ami  Christophe Dit Tahiti MENU

    Julien Gracq, de son vrai nom Louis Poirier, voit le jour le 27 juillet 1910 à Saint-Florent-le-Vieil (49) et mort le 22 décembre 2007 à Angers. (sa fiche dans ma généalogie)

    Il prend donc le nom de Julien Gracq lors de la parution de  son premier roman en 1937, Au château d’Argol. Julien parce qu’il a fait la découvert très jeune du roman de Stendhal, Le Rouge et le Noir. Passionné par ce roman il apprend des passages par cœur, et Julien Sorel devient pour lui une sorte de référence. Le nom de Gracq vient des Gracques. Pour son pseudonyme, il ne voulait donc pas dépasser plus de trois syllabes.

    Prix Goncourt en 1951, pour son Roman "Le Rivage des Syrtes", il refusera le Prix, ce qui causera une polémique très médiatique.

    "" Après avoir rendu publiques tant de "mauvaises pensées", plus question pour lui, l’année suivante (1951), d’accepter le prix Goncourt qu’on lui offrit pour son Rivage des Syrtes. Plus question, non plus, d’une élection à l’Académie française, non pas parce que l’illustre compagnie l’aurait rejeté, mais parce que Gracq ne s’imaginait pas portant l’habit, le bicorne, la cape et l’épée. D’ailleurs, dans ses Lettrines, il ne ménage pas cette assemblée de dignes Immortels.

    L’Académie française ne sert à rien. Son dictionnaire est sans autorité, sa grammaire n’a jamais été faite. D’un autre côté, elle ne gêne réellement personne. Pourquoi s’en prendre à cette chère vieille chose, une des curiosités les plus folkloriques et les plus anglaises que nous ayons conservées ? Ces hommes — de beaucoup ou de peu de lettres — qui ceignent l’épée et battent le tambour, il n’y a aucune raison d’être contre. Il suffit d’être, bien entendu, dehors. On peut s’amuser de la parade de la relève à Buckingham Palace, sans vouloir pour autant s’engager dans les Horse Guards."" Source: http://www.bude-orleans.org

    Œuvres principales

     

     Il fait ses études au Lycée Georges-Clemenceau à Nantes puis au Lycée Henri-IV à Paris, à l'École normale supérieure (promotion 1930) et à l'École libre des sciences politiques. Choisissant d'étudier la géographie, il est élève d'Emmanuel de Martonne et d'Albert Demangeon[2] ; il est reçu à l'agrégation d'histoire et géographie en 1934. Durant sa carrière de professeur, il est successivement en poste aux lycées de Quimper, ville où il anime le cercle d'échecs, Nantes, et Amiens. Entre 1942 et 1946, il est en poste à l'Université de Caen, années dont il tirera Carnets du grand chemin en 1992[3]. Nommé au lycée Claude-Bernard de Paris en 1947 ? où il aura comme élèves Jean-René Huguenin et Renaud Matignon, puis l'écrivain Jean-Paul Goux ? il enseigne l'histoire et la géographie jusqu'à son départ en retraite en 1970.

    Au cours de la Seconde Guerre mondiale, il est mobilisé dans l'infanterie. Fait prisonnier en juin 1940, il est rapatrié d'Allemagne à titre sanitaire.

    Louis POIRIER est un cousin au 8e degré d'un grand-parent de Bruno Michel Jacques RIVET.

    • En effet,
      • Louis LE LARDEUX (1 lien de parenté)  
      • Francoise JOURNÉE (1 lien de parenté)  
      sont en même temps
      • des ancêtres à la 10e génération de Bruno Michel Jacques RIVET
      • des ancêtres à la 8e génération de Louis POIRIER

       

    Louis LE LARDEUX
    &1674 Francoise JOURNÉE †/1700
    |



    |   |
    Louis LE LARDEUX ca 1688-   Anne LE LARDEUX 1677-/1740
    |   |
    Anne LARDEUX 1716-1781/   Marie BURON 1704-1750
    |   |
    Anne ROUSSEAU 1749-1811   Louis Gabriel POIRIER 1747-1827
    |   |
    Joseph DUPRÉ 1776-1825   Pierre POIRIER 1780-1870
    |   |
    Marie Jeanne DUPRÉ 1814-1871   Pierre François POIRIER 1807-1873
    |   |
    Louis MARTIN 1854-1886   Emmanuel POIRIER 1838-1926
    |   |
    Mathilde MARTIN 1877-/1931   Emmanuel Olivier Joseph POIRIER 1868-
    Portrait
    |   |

     

    Alexandre Edouard Raymond Louis COGNARD 1911-1976

     
      Louis POIRIER 1910-2007
    Portrait

    |
    |

       
    Monique Jeanne Renée COGNARD    
    |    
    Bruno Michel Jacques RIVET

     

    Si Au château d'Argol, son premier roman, fortement influencé par le romantisme noir et par le surréalisme, avait attiré l'attention d'André Breton, c'est avec Le Rivage des Syrtes, et surtout le spectaculaire refus de son auteur de recevoir le prix Goncourt en 1951, que Julien Gracq s'est fait connaître du public. Reconnaissance paradoxale pour cet écrivain discret qui s'est effacé derrière une œuvre protéiforme et originale, en marge des courants dominants de la littérature de son époque (voire en opposition), qu'il s'agisse de l'existentialisme ou du nouveau roman. Après avoir abandonné l'écriture de fiction, Julien Gracq publie à partir de 1970 des livres qui mélangent bribes d'autobiographie, réflexions sur la littérature et méditations géographiques.

    Traduites dans vingt-six langues, étudiées dans des thèses et des colloques, proposées aux concours de l'agrégation, publiées de son vivant dans la Bibliothèque de la Pléiade, les œuvres de Julien Gracq ont valu à leur auteur une consécration critique presque sans équivalent à son époque.




    Carte de voeux de Julien Gracq. Autographe inédit.

    Source: Généastars, GénéInfos, Wikipédia, bude-orleans.org, littexpress.over-blog,


  • Et si ....?

    Relevé dans Le Petit Courrier d'Angers du 4 novembre 1914

     

     


    Source AD49/Presse/Le Petit Courrier/novembre 1914 vue 6/43

    Mon AGP aurait peut-être vu grandir ces enfants, lui qui a été blessé le 1er novembre 1914 à Zonnebeke, dans cette Bataille Ypres et qui est décédé le 21 novembre, des suites de ses blessures, à l'Hopital Provisoir N°14 à Saint-Méen-le-Grand (35)

    Sa fiche Militaire sur memorial-genweb.org

    Grade - Identité - Origine

    RIVET André Adolphe
    Soldat
    Origine : 49 Angers (Né le 3/11/1883)
    N° A-110543 

    Affectations    

    9°A Foch,
    9°CA Dubois,
    17°DI Guignabaudet,
    36°BI Eon,
    135e R.I.

    Date    14/11/1914

    Condition & lieu décès

    Blessé - Mort le 21/11/1914 à l'hôpital de Saint-Méen-le-Grand (35)
    >> Zonnebeke
    >>> Ypres
    >>>> Belgique (9131)


    Sa Sépulture - MPLF - dans le Carré Militaire
    Au Cimetière de Rennes Sud

     

     


  • La vie est vraiment faite de drôles de coïncidences, de destins croisés. Pour preuves, mes sosas 474 et 475


    Nés la même année, à 21 jours d'intervalle


    Anne Perrine MOYON née le 07/11/1771
    AD BMS 1771 vue 14/17

    Jean HALGAND né le 28/11/1771
    AD BMS 1771 vue 15/17


    Mariés bien sûr le même jour (c'est mieux ), le 20 juillet 1790


    AD BMS 1790 page 8/15

    Et décédé tous les deux à l'age de 40 ans, la même année donc, en 1811


    Jean HALGAND décédé le 09/09/1811
    AD D 1811 vue 6/11

    Anne Perrine MOYON décédée le 27/12/1811
    AD D 1811 vue 10/11

  • Ce n'est pas le 1er sosa que je trouve noyé en Brière, et ce ne sera certainement pas le dernier. (voir article précédant).

    La Brière ou Grande Brière est un marais situé géographiquement au nord de l'estuaire de la Loire débouchant sur l'océan Atlantique, à l'ouest du département de la Loire-Atlantique.
    Autrefois, on y récoltait la tourbe et on y navigue encore grâce à une barque appelée « chaland ».
    Ses habitants s'appellent les Brièrons.

    La Brière, ou Grande Brière est drainée par le dernier affluent de la Loire : le Brivet, qui se jette dans l'estuaire à la limite des communes de Saint-Nazaire et Montoir-de-Bretagne.
    Son territoire s'étend sur 490 km², dont 170 km² de zones humides, au cœur desquelles le marais de Grande Brière mottière couvre à lui seul 70 km², qui compte 21 communes.

    Ce territoire se caractérise aussi par son architecture avec près de 3 000 toits de chaume, appelés chaumières. (source: Wikipédia)

    Jean MOYON, sosa 914, fils de Jean MOYON et de Renée RIALLAND, né le 5 juin 1760 à Saint-Joachim (44) est décédé le 3 messidor an IV (21 juin 1796)

     La commune de Saint Joachim est crée en 1790 et portera à l’origine le nom « LES ILES » 
    Un chapelet composé de 7 îles composé de PENDILLE, FEDRUN, MAZIN, BAIS, AIGNAC, MENAC et LA LANDE. 
    Ces îles, dont le point culminant est BRECUN 9m, sont ceinturées de canaux circulaires appelés « CUREE ». 
    Entretenus par l’homme ils permettaient la circulation des hommes et des produits.

    AD D An IV vue 4/5

          aujourd'hui le trois messidor an quatre de la
         République française une et indivisible à sept heure
         du soir
         a comparu en la maison commune de St Joachim
         Canton de Moutoir par devant moi Jan Outin agent
         municipal de la dite commune demeurant en Aignac
         Destiné pour recevoir les actes de naissances mariages et
         décès des citoyens de la dite commune, Marie VAILLANT
         épouse demeurant à Fédrun en la même commune de
         St Joachim, agée de quarante trois ans épouse de
         Jan MOYON "coupeur de motte" fils de feu Jan MOYON et de Renée
         RIALLAND assistée de Julien MOYON fils ... agé de
         trente ans coupeur de motte demeurant audit Fédrun        
         et Jan LEDUC coupeur de motte agé de quarante huit
         ans demeurant en Aignac même commune, le
         premier neveut dudit Jan MOYON "au paternel" et le dernier oncle
         dudit Jan MOYON et aussi Julienne RIALLAND son
         épouse - lequels nous déclarés que le dit Jan MOYON
        
    époux de la dite Marie VAILLANT agé de trente sept ans se noyer avec
        
    son fils appellé Joseph agé de treize ans fils de la dite
        
    Marie Vaillant quittant tous les deux à Méan en tête
         en un bateau  ou .. ..... chargé pour aller à
         Paimbeuf ils s'étoient perdu corps bien en
         sortant de l'étier de Méan environ les deux heures
         du matin de ce jour et qu'ayant trouvé le fils qui
         a été enterré à Montoir et le père au Port Nazaire
        
    fait en la commune de St Joachim le même jour
        
    et en que devant  ou les dits Jan LEDUC  Julien MOYON
        
    ont déclarés ne savoir signer la dite Marie
        
    VAILLANT a aussi déclaré ne savoir signer Interlignes
        
    maison, agé de trente sept ans, approuvé deux mots
        
    rayés nuls, autre interligne coupeur de motte approuvé

                                                                         J AOUSTIN
                                                                        
    Agt municipal

    Localisez Saint-Joachim, Fedrun, Méan et Paimboeuf

    Agrandir le plan

    Merci à Yvon MOYON pour son aide sur le déchiffrage des lieux de la Brière


  • Il me complait de songer que peut-être ...


    Joachim du BELLAY
    1522-1560

    François BRICET, mon sosa 11194, est veuf de Mathurine GERNIGON (†10/12/1631) quand il se remarie avec Guillemine BELLAY, le 20 janvier 1636 à Gené (49). Guillemine est fille de Joachim BELLAY et de défunte Guillemine RUAU

    Acte de (re)mariage de François BRICET avec Guillemine BELLAY


    AD BMS 1574-1675 page 116/457

    A ce jour bien sùr, rien ne me lie à Joachim du BELLAY, mais la coïncidence des Patronymes m'a interpellée et amusée.
    D'autant que Joachim (le Poête) est né à Liré (49) vers 1522 et Guillemine vers 1590 au Lion-d'Angers (49), soit à 60kms à vol d'oiseau, ce qui n'est nullement improbable.


  • François DELESTRE, mon sosa 5596, est né en 1602 à Andigné (49), fils d'Etienne et de Jeanne MARION
    Vous remarquerez que cet acte est en Latin et donc pas si simple à déchiffrer, du coup, je ne lis pas la date.


    AD BMS 1600-1676 vue 5/244

    François épousera Jeanne BRISSET le 18 février 1642 au Lion-d'Angers (49)

    J'ai également des difficultés à tout déchiffrer sur cet Acte et j'apprécierai beaucoup un petit peu d'aide.


    AD MS 1614-1643 (16 février) vue 93/180

    François et Jeanne se sont Fiancés à Gené (49) le 25 janvier 1642.

    AD BMS 1574-1675 vue 124/457


    En recherchant cet acte, je découvre la Promesse de Mariage de René DELESTRE, son Frère, avec Jacquine LATAY, le 6 novembre 1640 à Gené.


    AD BMS 1574-1675 vue 122/457





    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique