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Par Bruno Rivet le 17 Février 2014 à 13:38
Ah ces Curés qui notaient le strict minimum
J'épluche tous les Registres de Couesmes-Vaucé (53) pour remonter ma Lignée DOLLERY, DOLLERIS.
Et justement, le 11 février 1724, je trouve le décès de Marie DOLLERIS, mais voilà, laquelle est-ce ?
AD BMS 1711-1733 (janvier) vue 158/249J'ai deux Marie DOLLERIS vivantes à cette période ..
Marie DOLLERIS
Fille de Michel DOLLERY et Michelle BIGOT
Née le 26 juin 1699
Tante de la suivante, frappée d'infirmité, elle aurait 25 ans.Marie DOLLERIS
Fille de Michel DOLLERY et Catherine POTTIER
Née le 17 mars 1717
Nièce de la précédente, elle aurait 7 ans.Voilà, je ne suis pas plus avancé, tout au moins, jusqu'à ce que je trouve le décès de l'autre Marie.
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Par Bruno Rivet le 12 Février 2014 à 12:55
Une 1/2 page dans le Charente-Libre, ça vaut bien un petit mot sur mon blog
Ma Smala au quasi complet.Plus de 11% des enfants vivent dans des familles recomposées. Les beaux-parents qui contribuent à les élever réclament un statut. Une proposition de loi en ce sens devrait en partie exaucer leurs vœux.
De gauche à droite: Magali Méchain, maman des deux plus jeunes, Melvin (2 ans), Manathan (16 ans),
Ilyan (6 ans), Wayne (18 ans) et Bruno Rivet, le papa.
Manquent Cédric (27 ans) et Léna (11 ans) qui habitent à Angers (49).
Photo Renaud Joubert"On ne peut pas faire comme si ça n’existait pas. Il faut réfléchir sur la place des beaux-parents", martèle Marie-Noëlle Chaban, thérapeute familiale en Charente. Faut-il accorder un statut au beau-parent qui élève les enfants de son conjoint? C’est l’objet d’une proposition de loi qui devrait être présentée à l’Assemblée nationale après les municipales. Tout le monde s’accorde à reconnaître qu’il faut avancer sur ce dossier, dans l’intérêt de l’enfant.
La première chose que réclament les beaux-parents, c’est de ne plus buter sur des tracasseries administratives. Comme Magali Méchain qui, à Jarnac, élève aux côtés des siens deux des fils de son compagnon.
"La semaine passée, je vais chercher l’aîné, bientôt 18 ans, au lycée. Alors qu’à la rentrée on avait rempli des papiers en donnant mon nom, il a fallu que je signe une décharge et que le lycée appelle le papa pour vérifier qu’il était d’accord." Elle se souvient d’une autre fois où le garçon, âgé de 7 ou 8 ans, était sujet à des crises d’asthme. Elle l’avait emmené aux urgences. "Ils n’ont pas voulu que je reparte avec lui", enrage-t-elle.
Delphine, à Soyaux, aimerait pouvoir faire des choses toutes simples, comme "signer les mots de l’école, une autorisation de sortie scolaire". Jérôme Guérin, à Mouthiers, ne peut pas assurer la voiture de son beau-fils de 20 ans.
Marie-Noëlle Chaban souligne: "Une chose est sûre, il faut faire du cas par cas. Il y a tellement de configurations différentes."
Un outil pratique
À l’origine, le statut du beau-parent figurait dans le projet de loi global sur la famille dont l’examen a été reporté par le gouvernement. La partie consacrée à ce sujet devrait être reprise par les députés socialistes et présentée devant le Parlement après les municipales.
Il ne s’agit pas à proprement parler d’un statut, mais d’outils destinés à faciliter le quotidien des beaux-parents, de façon à ce qu’ils aient le droit d’emmener un enfant chez le médecin ou de le récupérer à la sortie de l’école.
Au-delà, il est question d’organiser un droit de visite en cas de séparation, et de leur permettre de léguer leurs biens à leurs beaux-enfants sans être taxés à 60%. Il ne s’agirait pas d’un outil rigide: chaque famille pourrait choisir ce qu’elle souhaite.
A lire en intégralité dans CL du jour.
Article de
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Par Bruno Rivet le 10 Février 2014 à 19:47
Jacques FERRÉ, mon sosa 704, se marie 3 fois.
- le 14 février 1752 à Azay-le-Rideau, avec Marie BOUDAULT
- le 7 mai 1763 à Cheillé, avec Marie BAUCE
- et il décède le 11 février 1787 à Cheillé, Veuf, en dernière Noce, de Marie DANIEL (Je n'ai pas encore trouvé ce Mariage)
Il aura (au moins) 5 enfants avec Marie BOUDAULT
- Jacques Aimable Ignace FERRÉ (sosa 352) 1753-1806
- Jean FERRÉ †
- Pierre FERRÉ 1754-†
- Marie Andrée FERRÉ 1757-†
- Claude FERRÉ 21/02/1763- †24/02/1763
AD (37) Cheillé BMS 1763 vue 4/14Marie BOUDAULT décèdera juste après la Naissance de Claude, le 25 février 1763
AD (37) Cheillé BMS 1763 vue 4/14- L'épine en question:
De son union avec Marie BAUCE, je viens de trouver, le 27 septembre 1765, la Sépulture d'Etienne FERRÉ, fils de Jacques FERRÉ et de Marie Bauce, âgé de 4 ans environ. Hors, 4 ans plutôt, soit en 1761, Jacques et Marie BAUCE n'étaient pas mariés, mieux, Marie BOUDAULT n'était pas décédée.
AD (37) Cheillé BMS 1765 vue 14/21J'ai cherché, mais pas encore trouvé ce Baptême. Jacques et Marie BAUCE se seraient-il appropriés un Fils de Marie BOUDAULT, que j'aurai zappé, mais que je cherche toujours ?
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Par Bruno Rivet le 7 Février 2014 à 01:26
Merci les AD 37
Depuis la mise en ligne des Registres d'Etat Civil, j'avance à pas de géant et de découvertes en découvertes.
Pour exemple, mon sosa 352, est passé de Jacques FERRÉ à Jacques Aimable Ignace FERRÉ, en deux coup d'cuillère à pot.
AD 37/Azay-le-Rideau /BMS 1752-1753 vue 18/34Prénom à rallonge qu'il doit à son Illustre Parrain, Aimable Ignace CHARPENTIER , Sieur de Champerron
Et pour Marraine, Dame Marie Marguerite Victoire CHARPENTIER , épouse de Messire Charles de ROCHEFORT, Seigneur de la Cour au Berruyer du Plessis-Allais.Est-ce son travail bien fait qui valait, à un simple Sabotier, autant d'honneurs ?
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Par Bruno Rivet le 30 Janvier 2014 à 21:27
Je ne connaissais pas ce vieux métier, Garde-Vente, pour cause, c'est le 1er que je rencontre dans ma généalogie.
Louis Le Fort, mon sosa 182, est Garde-Vente à Turpenay (37).
Turpenay est une Abbaye, sise à Saint-Benoit-la-Forêt.
Veüe de l'abbaye Nostre-Dame de Turpenay,
de l'ordre de St Benoist, congregation de St Maur,
a 7 lieües de Tours et a une de Chinon
1699 dessin: Louis Boudan
Source Gallica.fr
Saint-Benoit-la-Forêt, situé à quarante kilomètres au sud-ouest de Tours, forme une clairière dans la forêt de Chinon, en bordure des landes du Ruchard.Le site Vieux Métiers.org donne la définition suivante:
Garde-Vente: Garde forestier qui, dans une forêt, assure la garde et l'exploitation des coupes de bois pour un tiers.Sources: Gallica.fr, Wikipédia.fr, Vieux Métiers.org
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Par Bruno Rivet le 30 Janvier 2014 à 16:54
Tous les Registres d'Indre-et-Loire sont maintenant en ligne.
Pour moi, comme pour tous ceux qui attendaient, c'est une très bonne aubaine.
La bannière sur le Groupe Généalogie 37 sur FacebookJusqu'à aujourd'hui, et ce grâce au travail de Bénévoles (Valérie Letellier en tête), je n'avais que des photo de microfilms.
Dorénavant, j'ai des vrais actes, et je peux corriger mes petites erreurs, dues en partie à la mauvaise lecture de ces microfilms.
Mais attention, j'ai failli faire une autre erreur, avec Marie RAFFAULT, ma sosa 45.
Elle est née à Rivarennes (37) le 8 juin 1859 et y épouse Pierre FERRÉ mon sosa 44, le 4 juillet 1876Sans faire attention, je cherche son Décès à Rivarennes, à sur le feuillet en question, je tombe bien sur une Marie RAFFAULT, décédée à Rivarennes le 17 octobre 1944.
Dans ma précipitation, je commence à corriger la date jusqu'à ce que je me rende compte qu'il s'agit en faite, d'une homonyme.
La mienne étant décédée, non pas à Rivarennes, mais à Azay-le-Rideau, le 25 septembre 1944
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Par Bruno Rivet le 28 Janvier 2014 à 07:10
Un nouveau Cousinage célèbre côté Maternel, Jean POPEREN, ancien Ministre de François MITTERRAND.
Jean Poperen est un homme politique français.
Il fut membre successivement de plusieurs partis politiques et principalement du Parti socialiste.
Date de naissance : 9 janvier 1925
Date de décès : 23 août 1997Jean POPEREN est né à Angers le 9 janvier 1925, du Mariage de Maurice Poperen (instituteur anarcho-syndicaliste et historien du mouvement ouvrier) et de Marie Emerance GRAFFEUIL, ouvrière brodeuse à Angers, qui décèdera en 1937, alors que Jean n'a que 12 ans. Les Poperen auront un autre fils, Claude, né en 1931, qui sera militant et responsable communiste jusqu'en 1987.
Il suit ses études secondaires au Lycée David d'Angers jusqu'en juin 1940, lorsqu'il suit sa famille dans l'exode qui les conduit à Denée (Maine-et-Loire). En 1942, après l'obtention de son baccalauréat, il entre en classe préparatoire littéraire au Lycée de Rennes, puis, après sa fermeture à la rentrée suivante, au Lycée Louis-le-Grand de Paris. Après son échec au concours d'entrée à l'École Normale Supérieure, il poursuit ses études à la Sorbonne et décroche l'agrégation d'Histoire en 1947.
Nommé à la rentrée 1947 professeur au lycée de garçons d'Amiens, il y fait la rencontre d'un autre enseignant avec qui il se lie, Gilles Deleuze, qui y enseigne la philosophie. En 1950, il obtient un poste à Paris, au Lycée Janson de Sailly. Après une courte interruption de sa carrière, entre juin 1952 et aout 1953, il reprend son poste, puis sera maitre assistant d'Histoire à l'Université Paris I.
Malgré le scepticisme de son père, qui fut toute sa vie opposé à l'autoritarisme "stalinien", Jean fait ses premières armes militants au sein du Parti communiste français qu'il rejoint en pleine guerre, à 18 ans. Il participe à l'activité des jeunes communistes de la capitale, dans le cadre clandestin de la Résistance. À la Libération, il est secrétaire national des étudiants communistes. Puis, après son entrée dans la vie active, s'engage dans l'activité militante dans la Somme. Il y est membre du bureau de la fédération communiste départementale. Après son retour à Paris, il intègre la section des intellectuels dirigée par Laurent Casanova et Annie Kriegel.
Militant communiste "dans la ligne", parfois intransigeant, mais aussi brillant et travailleur acharné, il se voit proposer d'intégrer le Kominform. Il y est chargé, entre 1952 et 1953, de l'adaptation en français de textes communistes soviétiques. C'est de ce séjour à Bucarest que date ses interrogations sur le "communisme réel", et notamment sur l'antisémitisme d'État des pays de l'Est . Il renonce d'ailleurs rapidement à son poste au Kominform pour revenir en France, où il devient secrétaire de la cellule communiste du XVIe arrondissement de Paris.
En 1956, c'est la rupture. Le « rapport Krouchtchev », et surtout son occultation par la direction du PCF, ainsi que l'intervention soviétique consécutive à l’insurrection de Budapest finissent de le convaincre de l'impasse stalinienne. En 1958, il participe à la création du "comité provisoire de liaison pour la réunification du mouvement ouvrier", plus connu sous le nom de la revue qu'il publie, Tribune du communisme.
En 1959, il est exclu du parti, sans que cela ne soit ni un déchirement, ni une surprise.
Pendant toutes les années 1960, Jean Poperen va être à la recherche de l'unité de la gauche française. Dès 1960, il prend contact avec les dirigeants du Parti Socialiste Autonome et participe activement à la création du PSU dont il devient l’un des dirigeants. Au sein de ce parti, souvent divisé, Poperen anime un courant qui se veut "unitaire", favorable à l'unité de toute la gauche, voire d'un rapprochement organique revenant sur la scission du congrès de Tours. Mais, surtout, il s'oppose au nom de la lutte des classes, contre la branche "moderniste" du parti, incarnée par Gilles Martinet et Michel Rocard. La cristallisation de cette opposition naît en 1963, au congrès dit de "la Grange aux Belles" : Poperen devient le chef de file de la minorité du PSU et conspue la fascination pour la "nouvelle bourgeoisie technicienne" de la majorité.
Après le congrès de 1967, qui voit l'orientation "moderniste" du PSU confirmée et, surtout, le refus de la majorité d'intégrer la FGDS en cours de constitution dans la foulée de la candidature de François Mitterrand à l'élection présidentielle de 1965, il compare publiquement la direction du parti à une "secte", ce qui lui vaut une exclusion à laquelle il s'attendait.
Il constitue alors avec d'autres l’Union des groupes et clubs socialistes (UGCS).. En avril 1968, l’UGCS rejoint la FGDS, et Jean Poperen devient membre du bureau politique de cette fédération. Après l'échec du Congrès d'Alfortville, dont elle s'est finalement retirée, l'UGCS est partie prenante de la refondation du Parti Socialiste (PS) au Congrès d'Issy-les-Moulineaux.
Lors du Congrès d'Epinay, en 1971, qui voit l'unité des socialistes se réaliser, il dépose une motion qui obtient 12 % des mandats. Il soutient alors Alain Savary contre François Mitterrand. Poperen défend l'union de la gauche, certes, mais il refuse de se coaliser avec ce qui, au sein de la SFIO, ont toujours défendu l'alliance au centre, et qui viennent, derrière Gaston Defferre, dont la motion a obtenu 29 %, de se rallier à Mitterrand. Il doute de leur sincérité et s'oppose à cette combinaison d'appareil qui lui semble surtout viser à se débarrasser définitivement de Guy Mollet.
Même s'il ne se compte pas forcément à tous les congrès, le courant animé par Jean Poperen, d'abord appelé "Rassembler à Gauche", puis "Nouveau Monde 92", va être un de ceux qui vont structurer le parti jusqu'au début des années 1990. Rallié à la majorité mitterrandienne dès 1973, après que sa motion n'ait obtenu que de justesse 5 % des mandats, ce courant se retrouve surtout autour de sa publication bimensuelle, Synthèses flash, animée par Colette Audry, qui sera publiée de 1969 à 1997.
Jean Poperen est nommé, en 1973, délégué national du Parti Socialiste aux questions industrielles. Peu enthousiaste à l'accueil des rocardiens au sein du Parti Socialiste, il rejoint la motion mitterandiste lors du congrès de Pau en 1975 et devient secrétaire national à la propagande, puis secrétaire national à la coordination après le congrès de Metz (1979). Bien qu'officiellement chargé de l'organisation de la campagne présidentielle de 1981, il est cependant écarté du cercle des proches du candidat, qui sont réellement à la manœuvre.
Après la victoire de François Mitterrand à l'élection présidentielle, et l'arrivée de Lionel Jospin au poste de premier secrétaire, Jean Poperen va devenir, tout en restant secrétaire national à la coordination, le no 2 du Parti Socialiste.
Candidat « de témoignage », investi par le PSU, lors d'une législative partielle à Paris en 1965, Poperen avait obtenu 7 % des voix, pas assez pour se maintenir au second tour.
Ce n'est qu'en 1973 qu'il se réengage dans la bataille électorale, dans le Rhône. Bien que son « parachutage » n'ait pas été très bien accepté, il est élu député, et constamment réélu ensuite jusqu'en 1993, année où il ne se représente pas. En 1977, il est élu maire de Meyzieu, une ville d'une vingtaine de milliers d'habitants, dans la banlieue lyonnaise, qui le conservera comme premier magistrat jusqu'à sa mort.
En 1988, il est nommé Ministre chargé des relations avec le Parlement dans le gouvernement Rocard I. Il conserve ses fonctions dans le second Cabinet Rocard, en juin 1988. Il est reconduit dans le gouvernement d'Édith Cresson, en 1991.
- Maire, député et ministre
Candidat « de témoignage », investi par le PSU, lors d'une législative partielle à Paris en 1965, Jean Poperen avait obtenu 7 % des voix, pas assez pour se maintenir au second tour.
Ce n'est qu'en 1973 qu'il se réengage dans la bataille électorale, dans le Rhône. Bien que son « parachutage » n'ait pas été très bien accepté, il est élu député, et constamment réélu ensuite jusqu'en 1993, année où il ne se représente pas. En 1977, il est élu maire de Meyzieu, une ville d'une vingtaine de milliers d'habitants, dans la banlieue lyonnaise, qui le conservera comme premier magistrat jusqu'à sa mort.
En 1988, il est nommé Ministre chargé des relations avec le Parlement dans le gouvernement Rocard I. Il conserve ses fonctions dans le second Cabinet Rocard, en juin 1988. Il est reconduit dans le gouvernement d'Édith Cresson, en 1991.
- Mandat de Député
Député PS du Rhône de 1973 à 1988.
- Mandat local
Maire de Meyzieu de 1977 à sa mort en 1997.
- Fonctions gouvernementales
- Ministre sans portefeuille chargé des Relations avec le Parlement des premier et second gouvernements de Michel Rocard de 1988 à 1991
- Ministre sans portefeuille chargé des Relations avec le Parlement (Gouvernement Édith Cresson) de 1991 à 1992
Source Wikipédia, Tous mes cousinages Célèbres
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Par Bruno Rivet le 21 Janvier 2014 à 09:07
Je reprends l'expression de mon amie Selma Cayol , cette femme est une Mangeuse d'Hommes.
Elle parlait de Louise RUAULT, ma sosa 1999, mariée trois fois.Le premier Mariage, avec Joseph RABANY, ayant très certainement eu lieu à Saint-Germain-de-Longue-Chaume, aucun Registre n'a survécu à la Révolution Française et rien n'est consultable avant 1803.
Le 18 juin 1754 à Andilly
avec Mathurin GABILLON
Union 2: AD BMS 1748-1763 page 49/109Le 26 septembre 1757 à Adilly
avec Mathurin BOSSAY, mon sosa 1998
Union 3: AD BMS 1748-1763 page 71/109*
Il en est exactement de même pour Marie RABANY, sa Fille, née de son premier Mariage, avec Joseph RABANY, mariée également trois fois.
Comme pour sa mère, le premier Mariage, avec René MASSÉ, a très certainement eu lieu à Saint-Germain-de-Longue-Chaume.
Le 22 août 1774 à Gourgé
avec François TUQUET
Union 2: AD BMS 1771-1780 page 39/114Le 5 février 1782 à Aubigny
avec Pierre FRÈRE
Union 3: AD BMS 1730-1782 page 160/164
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