•  Des reliques de sainte Thérèse de Lisieux en Charente

     
    Elles seront montrées dans une châsse dorée, vitrée et blindée. Les fidèles ont rendez-vous à Roullet, Bassac, Cognac, Angoulême et Montbron
     
    Une occasion pour moi, de rencontrer ma "Cousine" en os et en os, à l'Abbaye de Bassac, jeudi prochain, 116 ans après sa mort.

      Marie Françoise Thérèse MARTIN est une cousine au 5e degré d'un arrière-grand-parent de Bruno Michel Jacques RIVET.

    • En effet,
      • Julien GRUDÉ (1 lien de parenté)  
      • Barbe GAUTIER (1 lien de parenté)  
      sont en même temps
      • des ancêtres à la 8e génération de Bruno Michel Jacques RIVET
      • des ancêtres à la 5e génération de Marie Françoise Thérèse MARTIN
    Julien GRUDÉ ca 1713-1777
    &1733 Barbe GAUTIER 1712-1780/
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    Julien GRUDÉ ca 1740-1804   Anne Barbe GRUDÉ 1745-
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    Louise Marie Anne GRUDÉ 1771-1851   Louis MACÉ 1778-1810
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    Hyppolite BABIN 1811-1872   Louise Jeanne MACÉ 1805-1859
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    Ernest Ange BABIN 1853-   Marie Azélie GUÉRIN 1831-1877
    Portrait
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    Gabrielle Marie Julia BABIN 1885-1937   Marie Françoise Thérèse MARTIN 1873-1897
    Portrait
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    André Adolphe RIVET    
    |    
    André Pierre RIVET    
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    Bruno Michel Jacques RIVET

     


    Le reliquaire contenant des reliques de Sainte Thérèse (Photo Gabriel Sempere ) 

    L'information va sans doute faire sourire les mécréants. Mais pour les membres de la communauté chrétienne, la venue des reliques de sainte Thérèse de Lisieux (1873-1897) en Charente constitue un petit événement...

     

    Rencontrer ma cousine 116 ans après sa mort
    Charente-Libre 12-10-2013

    "Thérèse de Lisieux ne laisse pas indifférents ceux qui ont besoin d’espérance pour vivre", dit Mgr Claude Dagens, l'évêque d'Angoulême.

     

    Ces reliques seront montrées les 8 et 9 octobre à Roullet-Saint-Estèphe (messe ce soir à 19 heures, "vénération" jusqu'à 23 heures, laudes mercredi à 9 heures, et nouvelle messe mercredi à 12h30).

     

    "En vénérant les reliques, le pèlerin ne vient pas seulement « se rappeler », il vient rencontrer Thérèse elle-même", peut-on lire sur le site du sanctuaire de Lisieux. Les os de la sainte sont conservés dans un reliquaire : une châsse dorée, vitrée et blindée de plus de 130 kg. Dans la région, les reliques ont voyagé dans le Gers, en Dordogne, et à Bordeaux courant 2010.

     

    Sainte Thérèse de Lisieux, de son nom civil Marie-Françoise Thérèse Martin, était une religieuse carmélite. Elle est morte à l'âge 24 ans de la tuberculose, fut béatifiée puis canonisée dès 1925, avant d'être déclarée docteur de l'Église par Jean-Paul en 1997 pour le centenaire de sa mort.

     

    Les fidèles charentais ont ensuite rendez-vous :

     

    • jeudi à l'abbaye de Bassac (de 7 heures à 22h30) ;
    • vendredi à Cognac (au carmel de 9 heures à 13h30 puis à l'église saint-Léger de 14 heures à 22h30) ;
    • ce week-end à Angoulême (samedi à saint-Martial et dimanche à saint-Paul à Ma Campagne) ;
    • lundi à Montbron (au prieuré des chanoines de saint-Augustin)

    Source: http://www.sudouest.fr/


  • 100 mots pour un vie, tel est le " généathême" du mois d'octobre

     

     Alors en 100 mots ze vais zéssayer de vous zozoter de mon sosa 100.

     

              Pierre GARNIER, sosa 100, voit le jour à Courcoury (17), le 19 janvier 1829, de Jean GARNIER et Marie GINGENAUD. Propriétaire – Cultivateur de Père en Fils, depuis près de 2 siècles.
      Il convolera en juste noce avec Jeanne NATIER, le 18 janvier 1852 à toujours à Courcoury.
      De leur union, naitront 2 enfants, Marie en 1855 et Joseph Gédéon (sosa 50), en 1861.
      A noter que tous ces Patronymes sont présent à Courcoury depuis le XVIe siècle au moins, aux vues des actes et    des dates récupérés.
      Pierre décèdera  le 10 février 1900 à Courcoury, à l’âge de 71 ans.

     


    Acte de Naissance
    AD N 1819-1844 vue 90/181

    Acte de Mariage
    AD M 1847-1868 vue 33/115

    Acte de Décès
    TD D 1869-1900 vue 250/256

     

     


  •  Suite à mon article précédent, concernant la photo du Mariage de mes Grand-Parents Maternels le 20 juin 1931 à Lerné (voir l'article).
    J'ai repris contact avec ce brave homme, et il a donc, grâce à l'aide d'une de ses Tantes encore vivante, (pour mémoire, ce Monsieur a 73 ans), identifier quelques personnes présentes sur la photo, même si cela n'apporte pas d'eau à mon moulin, car à priori, ce ne sont que des "invités" aux Mariage et pas de ma Famille.

    Je lui ai, pour cela, envoyé la photo du Mariage, avec et sans numéro et voici en substance, ce qui en résulte:


    Cliquez sur la photo pour voir le détail

    Maintenant, nous sommes en désaccord sur le N°30, pour moi, et j'en suis quasiment certain, c'est mon AGP, pour lui, c'est le Propriétaire  de la maison, mais comme moi, il n'est pas sure à 100%.

    Maintenant, je souhaiterais que vous examiniez cette seconde photo et que vous compariez Marie-Philomène LE MOING, mon AAGM, la Grand-Mère de la Mariée, avec la N°13 sur la photo ci-dessus, ainsi que la Tante, avec la N°9 ?


    Mélanie KERJOANT, mon AGM, Camille son frère, Marie-Philomène et Joseph-Marie, mes AAGP, Jacques son frère
    et la Tante ?  (Tante de qui, je ne sais pas ? )

     




  • J'ai la chance de posseder la photo de Mariage de mes Grands-Parents en date du 20 juin 1931 à Lerné (37) (voir article).
    Le problème pour moi, c'est l'identification des gens sur cette photo..?
    Ormis les Mariés et leurs Parents, tous ces visages me sont totalement inconnus.

    Il y a quelques temps, un ami m'a envoyé cette photo de Google Map

    j'ai envoyé la photo à la Mairie de Lerné (37) en leur demandant à qui appartient ou appartenait cette Bâtisse.
    Il m'ont très gentiment répondu en me donnant le nom du Propriétaire en 1931, en me précisant qu'il était aujourd'hui décédé.

    Qu'à cela ne tienne, je vais sur Pages Blanches.fr et j'y tapes le nom que la Mairie m'a donné.
    Surprise, je trouve, même nom, même adresse

    J'appelle donc le résident actuel et la conversation devient vite chaleureuse et très enrichissante.
    Je lui envoi la photo par email, et je reçois il y a 30mn la réponse suivante, qui me comble de joie, vous imaginez bien!

    Monsieur, J'ai examiné la photo que vous m'avez fait parvenir.

    Surprise, j'y ai reconnu une partie de ma famille maternelle ( mon arrière Gd père, mon Gd père et ma Gd mère, ma maman entre les deux mariés, des oncles et tantes) ( des habitants de LERNE).
    Bien sur tous ces gens sont DCD. je n'ai pas votre N° de téléphone, sinon je vous aurai appelé.
    Je veux bien que nous reprenions contact pour peaufiner votre recherche.
    J'attends votre éventuel coup de fil.
    Bien cordialement J L V

    Quand on sait que le Monsieur en question est un septuagénaire, celà promet de belles découvertes.
    Je vais donc très rapidement reprendre contact


  • Village Natal de Jean TOUCHET (sosa 41136 - 16e Génération) à Simone TOUCHET (Sosa 2571 - 12e Génération),

    Acte de Baptême de Blaise TOUCHET, sosa 20568, fils de Jean TOUCHET
    à Juvardeil le 21/12/1566

    AD BMS 1563-1639 page 24/380

    Juvardeil est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire et la région Pays de la Loire.

    • Localisation
                                 
    Voir la carte topographique de France
     


       

       

    • Histoire de Juvardeil

    Selon Pierre Riché, en 851, une bataille entre les troupes de Charles le Chauve et du chef breton Erispoë a lieu à Juvardeil, près de Segré.

    • Personnalités liées à la Commune

     

     

     

     

    En 1760 naissait au château du Crucifix, situé dans le bourg de Juvardeil,
    Charles de Bonchamps célèbre général de la guerre de Vendée (1793).     
    L'un des principaux chefs de l'armée vendéenne en guerre contre les républicains révolutionnaires, Charles de Bonchamps acquit sa renommée, toujours vivante aujourd'hui, en graciant 5000 républicains faits prisonniers à Saint Florent le Vieil en Octobre 1793.     
    Ce geste de pardon, unique pendant cette courte guerre marquée par sa violence et sa sauvagerie, a été immortalisé par le grand sculteur David d'Angers et son oeuvre "grâce aux prisonniers" qu'abrite l'abbatiale de Saint Florent le Vieil.     
    Du château du Crucifix Bonchamps est né il ne reste rien. Une croix en fer forgé en rappelle l'emplacement.     
    Par contre on peut toujours voir, dans le bourg de Juvardeil, le joli manoir de la Poitevinière où il vécut les sept premières années de sa vie.

     

     

    Jean-Louis Pesch, de son vrai nom Jean-Louis Poisson, né le 29 juin 1928 à Paris est arrivé neuf jours plus tard à Juvardeil en Maine-et-Loire. Il est scénariste et dessinateur de bandes dessinées, principalement connu pour la série des Aventures de Sylvain et Sylvette, qu’il reprend en 1956 à la mort de Maurice Cuvillier, son créateur. Il est aujourd’hui une référence dans la bande dessinée pour enfants. Il a remporté le prix du meilleur dessinateur animalier au Salon de la BD de Toulouse en 1974.

     

    Il prendra comme pseudonyme « Jean-Louis Pesch » en hommage à ses cousins du Gers qui l'appelaient « lou pesch » (« le poisson » en gascon)

    Pour le moment, aucun cousinage avec ni l'un ni l'autre.


    La Sarthe à Juvardeil

     

    • Juvardeil et la Rivière au fil des siècles

    Un premier barrage est construit sans doute au 12ème siècle. Il était situé entre le centre bourg et le Port Joret. En même temps apparaissaient une porte marinière ancêtre de l'écluse, et les premiers moulins. Au début du 19ème siècle les roues d'un moulin à tan et de trois moulins à blé tournaient sur la chaussé de Juvardeil traversant la Sarthe.
    Cet ensemble ne diparaîtra qu'au milieu du 19ème siècle après sept cents ans de bons et loyaux services lorsque les portes marinières seront remplacées par des écluses.
    Pendant la plus grande partie de cette longue période la Sarthe était la seule voie de communication. Il est rapporté qu'en 1592 un bâteau à passagers fit naufrage au passage de Juvardeil entraînant la mort de trente personnes !
    Jusqu'à la fin du 19ème siècle les bâteaux naviguants sur la Sarthe étaient en bois. Ils étaient appelés gabare ou chaland et leur propulsion était assurée par le halage à dos d'hommes jusqu'à l'arrivée des écluses et l'aménagement du chemin de halage qui permit le passage des chevaux. Juvardeil, marqué depuis des siècles par une riche tradition artisanale, a connu durant la deuxième moitié du 19ème siècle une intense activité dans le domaine de la construction navale. Sur les 120 chantiers existants dans tout l'ouest de la France une dizaine se trouvaient à Juvardeil qui construisaient des chalands de Loire appelés gabareaux pouvant atteindre 30m de long.

    Entre 1880 et 1914, 800 chalands de Loire furent enregistrés à Nantes dont près d'un quart fut construit à Juvardeil !
    Pendant cette période d'or, la population de la commune approche les 1200 habitants (800 aujourd'hui) dont 150 travaillaient pour le construction navale !
    De cette activité on ne trouve aujourd'hui que les restes du dernier chantier qui ferma ses portes en 1961.

    • La rivière à Juvardeil au début du 19 ème siècle 

       Si ce plan vieux de près de deux cents ans, montre que la forme du bourg de Juvardeil était très semblable à celle d'aujourd'hui, il met par contre en évidence que la Sarthe présentait à l'époque un visage bien différent de celui que l'on peut voir maintenant.
       Juvardeil possédait encore son propre barrage. Une porte marinière permettait le passage des gabares et trois moulins à blé plus un moulin a tan tournaient, installés sur la chaussée du barrage (ce n'est qu'en 1850 que les écluses remplacèrent les portes marinières et que Juvardeil perdit son barrage et son moulin).
       Quant à la Sarthe, face à la Cadière, elle se présentait plus comme un lac parsemé d'îles et d'îlots que comme une simple rivière. Un vrai paradis pour la promenade nautique qui, hélas, a disparu.
       Corps vivant capable de mille changements, la rivière a été, au cours des siècles, modelée par les hommes qui l'ont domestiquée et mise à leur service. Son lit est aujourd'hui sage et contrôlé. Elle a perdu ses multiples bras, son allure sauvage et semble s'être endormie. Elle se réveille doucement chaque hiver pour recouvrir les prairies des Basses Vallées Angevines et dangereusement tous les dix ou vingt ans pour inonder villages et autres sites habités trop proches de son lit.

    Sources: Wikipédia, Marie de Juvardeil,


  • A Cherré (49), en 1626, deux Pierre HUET, nés de Pierre HUET et de Charlotte JOUIN, mais à 6 mois d'intervalle seulement et de plus avec les mêmes Parrain et Marraine..?

    Tous d'abord, Pierre HUET, né le septième fébvrier mil six cent vingt six
    de Pierre HUET et de Charlotte JOUIN ses Père et Mère
    est Parrain Pierre Matheux et Marraine Barbe JOUIN


    AD B 1624-1637 page 8/88

    puis

    Pierre HUET né le trantième aout mil six cent vingt six
    de Pierre HUET et de Charlotte JOUIN ses Père et Mère
    est Parrain Pierre Le MOTHEUX et Marraine Barbe JOUIN


    AD B 1624-1637 page 14/88


  • Bonjour, je trouve sur un arbre Généanet, une sœur à René BOUTEILLER, mon sosa 2736, fils de René BOUTELLIER et de Jeanne JEHANNAULT.
    Il y est dit qu'elle s'appelle Jeanne, mais avouez que j'ai du mal à me faire à cette idée, je vois plutôt Filz et encore moins Jeanne ..?

    AD Le Bourg-d'Iré (49) B 1610-1652 (18 juin) vue 117/230

    Sur Facebook, un ami me propose Désider filz de René BOUTEILLER ?


  • Fleurye (ie), je n'avais jusqu'à ce jour, jamais lu, ni entendu ce joli prénom.

    Renseignement pris, il s'agissait d'un prénom masculin (aufeminin.com) tombé en désuétude, comme l'est depuis longtemps, Philippe, pour prénom féminin.


    AD B Martigné-Ferchaud (35) - 1584-1599 vue 31/139

    Le vingt deuxième jour de mars 1587
    fut baptisée Fleurye JOUSSELIN Fille
    de Jean JOUSSELIN et Bertranne RAOUL sa femme

    Fleurye JOUSSELIN épouse Julien THÉAUDIÈRE avant le 28/01/1613 (date du Baptême de Jean, leur 1er enfant)

     

    AD S Martigné-Ferchaud (35) - 1647-1668 vue 47/64

    Fleurye JOUSSELIN de la Rouachère fut inhummé
    dans l'église le dimanche 30e jour d'octobre
    1660





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