• Il y a quelques années, le docteur Bruno Halioua, historien et secrétaire général de l’AMIF, association membre du CRIF, a attiré l’attention des autorités de la région Poitou-Charente sur la tragédie terrible de la famille Metzler.

    Cette famille de onze personnes, originaire de Sarreguemines, s’était réfugiée à Jarnac en 1940. Ils ont tous été arrêtés, transférés à Poitiers puis à Drancy avant d’être déportés à Auschwitz par le convoi n°68 du 13 février 1944 où ils été exterminés

     

    La mairie de Jarnac a décidé d’apposer une plaque commémorative sur le fronton de la demeure des Metzler au 39 de la rue Panel lors d’une émouvante cérémonie qui s’est déroulée le 8 mai 2009 en présence, notamment, du maire de la ville, Jérôme Royer , de Jean-Pierre Denieul, vice-président du Conseil régional et du Professeur Robert Haïat, président de l’AMIF.

     

    Dans son allocution, le professeur Haïat, citant Primo Levi, a rappelé l’importance du devoir de mémoire. Le maire, pour sa part, a appelé à une vigilance extrême contre toute velléité d’antisémitisme dans notre pays.Photo : D.R.

     

    La Famille Metzler, cette famille juive de 11 personnes, originaire de Sarreguemines (Moselle), s’était réfugiée à Jarnac en 1940 et habitait 39, rue Panel. Samuel, 83 ans, né le 15 septembre 1861 à Loupershouse (Moselle) et son épouse Sarah, 74 ans, née le 15 janvier 1870 à Tieffenbach (Bas-Rhin), Berthe, 49 ans, née Hirsch le 17 juillet 1895 à Huningue (Haut-Rhin), Caroline, 44 ans, née le 21 août 1900 à Sarreguemines, Thérèse, 36 ans, née Levy le 13 août 1908 à Nalbach (Allemagne), et ses enfants Suzanne, née le 23 avril 1939 à Sarreguemines, et Bertrand, né le 19 janvier 1941 à Jarnac, Jeanne, 17 ans, née le 9 septembre 1929 à Sarreguemines, Carmen, 16 ans, née le 1er décembre 1928 à Sarreguemines, Germaine, 14 ans, née le 18 février 1930 à Sarreguemines et Gilbert, 11 ans, né le 25 décembre 1933 à Sarreguemines. Ils ont tous été arrêtés parce que Juifs, transférés à Poitiers puis à Drancy avant d’être déportés sans retour vers Auschwitz par le convoi n° 68 du 13 février 1944.

    • Les camps et les lieux d'internement de la Charente

    114/3e CTE 16130 Genté
    127-130e CTE 16100 Cognac
    Camp de la Braconne 16590 Brie
    Camp de Ruelle 16000 Angoulême
    Camp de Saliers à Sillac-les-Alliers 16000 Angoulême
    Frontstalag 184 16000 Angoulême
    La Combe aux Loups 16600 Ruelle-sur-Touvre
    Salle philharmonique 16000 Angoulême

    • Les lieux de sauvetage de la Charente

    École Sainte-Bernadette 16420 Lesterps
    Institut Saint-Cyran 16100 Cognac
    La Mère des Pauvres 16000 Angoulême

    • Les 14 communes du canton (Jarnac)

    Bassac 16120      Houlette 16200      Mérignac 16200      Sigogne 16200
    Chassors 16200      Jarnac 16200      Nercillac 16200      Triac-Lautrait 16200
    Fleurac 16200      Julienne 16200      Réparsac 16200        
    Foussignac 16200      Les Métairies 16200      Sainte-Sévère 16200       

    • Les 25 Justes parmi les Nations de la Charente

    Cécile Audoin  (Genouillac)     Gaston Delaby  (Vouzan)     Jean Péraud  (Angoulême)
    Jean Audoin  (Genouillac)     Georges Delaby  (Vouzan)     Marie Rio  (Javrezac)
    Albert Béraud  (Chabanais)     Madeleine Delaby  (Vouzan)     Agnès Stacke  (Salles-d'Angles)
    Marianne Béraud  (Chabanais)     Jean Javelaud  (Étagnac)     Joseph Stacke  (Salles-d'Angles)
    Liliane Bloch-Morhange  (Manot)     Léontine Javelaud  (Étagnac)     Paul Vacheyroux  (Angoulême)
    Henriette Briand  (Châteaubernard)     Jean Kéruzoré  (La Couronne)     Valentine Vacheyroux  (Angoulême)
    Joseph Briand  (Châteaubernard)     Marie-Élisabeth Lacalle  (Lesterps)     Marie-Louise Vacheyroux Dannequin  (Angoulême)
    Eugénie Cordeau  (Chenon)     Lucie Landré  (Angoulême)     
    Eliette Cordelier  (Angoulême)     Blanche Péraud  (Angoulême)    

    • Maires de Jarnac

    André Royer   (1938-1941) Démis de ses fonctions par le Régime de Vichy le 18 mars 1941, il redevient maire le jour même de la libération de Jarnac en 1944 à la demande de la population.
    Maurice Lacroux   (1941-1944)
    André Royer   (1944-1945)
    François Hine   (1945-1947)
    André Royer   (1947-1956)

    • Familles réfugiées à Jarnac 

    Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes hébergées, sauvées ou cachées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, leur date de naissance, les circonstances du sauvetage, si possible.

    • 1 Famille arrêtée (Jarnac)

    02/1944 Famille Metzler - Cette famille juive de 11 personnes, originaire de Sarreguemines (Moselle), s’était réfugiée à Jarnac en 1940 et habitait 39, rue Panel. Samuel, 83 ans, né le 15 septembre 1861 à Loupershouse (Moselle) et son épouse Sarah, 74 ans, née le 15 janvier 1870 à Tieffenbach (Bas-Rhin), Berthe, 49 ans, née Hirsch le 17 juillet 1895 à Huningue (Haut-Rhin), Caroline, 44 ans, née le 21 août 1900 à Sarreguemines, Thérèse, 36 ans, née Levy le 13 août 1908 à Nalbach (Allemagne), et ses enfants Suzanne, née le 23 avril 1939 à Sarreguemines, et Bertrand, né le 19 janvier 1941 à Jarnac, Jeanne, 17 ans, née le 9 septembre 1929 à Sarreguemines, Carmen, 16 ans, née le 1er décembre 1928 à Sarreguemines, Germaine, 14 ans, née le 18 février 1930 à Sarreguemines et Gilbert, 11 ans, né le 25 décembre 1933 à Sarreguemines. Ils ont tous été arrêtés parce que Juifs, transférés à Poitiers puis à Drancy avant d’être déportés sans retour vers Auschwitz par le convoi n° 68 du 13 février 1944.
    Déportation : 13/02/1944   convoi no 68

    • Chronologie

    08/10/1942 - Rafle des Juifs en Charente dans la nuit du 8 au 9 octobre 1942.
    08/05/2009 - Dévoilement d'une plaque en hommage à la famille Metzler, famille juive de 11 personnes, originaire de Sarreguemines (Moselle), réfugiée à Jarnac en 1940 et qui habitait 39, rue Panel. Arrêtés parce que Juifs, ils ont tous été déportés sans retour vers Auschwitz par le convoi n° 68 du 13 février 1944.

    Sources Texte: crif.org, ajpn.org

    Vidéo: affinitesante.tv


  • Trouvé sur les AD T 1581-1792 de Lassay-les-Châteaux (53)

    Le six février 1772 on a trouvé dans le haut cimetière
    un cercueil de "mastic" ou il y avoit encore des os
    à un pied et demi avant en terre

    Je cherche à comprendre ?
    Est-ce un terme nécrologique ou juste une erreur d'interprétation ?


  • Voilà encore un nom à l'apparence bien barbare et qui pourtant désigne tout simplement des noms communs qui se sont formés sur des noms propres.

    Ainsi un ampère (unité d'intensité d'un courant électrique) fait référence à un physicien qui s'appelait Ampère (1775-1836), le nom poubelle doit son origine à un préfet qui inventa ce moyen pour délivrer la ville de Paris de ses ordures, l'alphabet morse fut inventé par Samuel Morse, le macadam par John McAdam et les fameuses montgolfières par les frères Montgolfier.

     

    Mais il est des origines plus bizarres et même étonnantes.

    • Un mécène désigne un « généreux donateur protégeant les arts et les artistes », en souvenir de Mécène, général romain de l'époque de l'empereur Auguste, qui s'étant enrichi au cours de ses campagnes, s'était offert une villa somptueuse entourée d'artistes…
    • Une dugazon désigne un « mezzo-soprano léger, affecté aux emplois de soubrette », en souvenir de la chanteuse Dugazon qui marqua ce type d'emploi lyrique.
    • Un vandale, par antonomase du nom d'un peuple germanique qui envahit l'empire romain au Ve siècle, désigne un individu qui détruit tout.
    • Une mégère désigne une « femme violente et agressive », en référence au personnage de Mégère, l'une des trois furies, dans la mythologie grecque.
    • Une silhouette désigne une « figure vaguement esquissée », en souvenir des caricatures dessinées pour ridiculiser Étienne de Silhouette, contrôleur des impôts au XVIIIe siècle.
    • Un mentor est originellement le nom du précepteur de Télémaque qui accompagna ce dernier dans son périple pour retrouver Ulysse, son père.
    • Limoger, par exemple. Qui se souvient encore qu'il s'agit là d'un mot tout récent que les habitants de Limoges (en France) "inventèrent" lorsque le Maréchal Joffre leur envoya, en 1914, 134 officiers généraux qu'il jugeait incompétents ?
    • Saviez-vous que Rustin inventa les rustines, l'amiral anglais John Sandwich, le fameux sandwich, que la nicotine doit son nom à l'ambassadeur français au Portugal (Nicot) qui introduisit le tabac en France au 16e siècle ?

  • Jean-Paul Marat, né à Boudry (principauté de Neuchâtel) le 24 mai 1743 et mort à Paris le 13 juillet 1793 est un médecin, physicien, journaliste et homme politique français. Il fut député montagnard à la Convention à l’époque de la Révolution. Il a longtemps été considéré comme le principal responsable des massacres de Septembre, ce qui a noirci son image, même si les historiens sont revenus assez largement sur son rôle. Son assassinat par Charlotte Corday permit aux Hébertistes d'en faire un martyr de la Révolution et d'installer pendant quelques mois ses restes au Panthéon.

    Procès de Marat

    Paradoxalement il se montra très légaliste sur le sort à infliger à Louis XVI. Au contraire de Robespierre, de Saint-Just, de Jeanbon-Saint-André il voulait un vrai procès qui permettrait de mettre en lumière les crimes du roi. Il entendait aussi expurger les crimes et délits antérieurs à septembre 1791 (fuite du roi à Varennes et fusillade du Champ-de-Mars) dans la mesure où ils avaient été amnistiés. Seule la journée des Tuileries pouvait donc être retenue contre Louis XVI comme un crime dûment établi. Il n'en vota pas moins la mort du roi dans les 24 heures et rejeta bien sûr l'appel au peuple et le sursis. Peu après, il prit l’offensive contre la faction dite des « Hommes d’État » c'est-à-dire les partisans de Brissot qu'il dénonça sans répit. Il s'en prit particulièrement à Lebrun-Tondu qu'il accusait d'entretenir des liens avec des « agents de l'étranger », notamment Édouard de Wackiers sa famille et les représentants de la banque internationale. Depuis qu'il avait été élu à la présidence des Jacobins, le 5 avril 1793, une circulaire appelant à l'insurrection et au coup d'État fut publiée sous sa signature. « La contre-révolution, affirmait-il, est dans la Convention nationale (...) Levons-nous, oui levons-nous tous ! Mettons en état d'arrestation tous les ennemis de notre Révolution et toutes les personnes suspectes. Exterminons sans pitié tous les conspirateurs si nous ne voulons pas être exterminés nous-mêmes (...) Dumouriez marche sur Paris pour rétablir la royauté (...) Aux armes ! »

    Le 12 avril, Guadet donna lecture de quelques extraits de ce manifeste et, en conclusion, demanda l’arrestation de Marat. À l'issue d'un débat houleux, la Convention vota l'arrestation de Marat, qui ne s'effectua pas grâce au soutien de ses partisans. Le lendemain, 13 avril, le décret d’accusation de Marat fut émis, à la suite d'un vote nominal, par les conventionnels à la majorité de 220 voix contre 92. Quarante-huit membres se récusèrent.

    Le 23 avril, l'acte d'accusation contre Marat arriva au ministère de la justice et celui-ci se constitua prisonnier. Confronté le 24 avril à ses accusateurs et à ses défenseurs, Marat bénéficia d’un jury qui lui était acquis d'avance. Acquitté le 24 avril, Marat, couronné de lauriers, fut porté en triomphe.

    Source Wikipédia

    Relevé sur les Affiches d'Angers du 27 Avril 1793


  • J'ai trouvé un joli texte aujourd'hui, je voudrais vous en faire profiter:



    Il était une fois, un professeur de philosophie qui, devant sa classe, prit un grand pot de mayonnaise vide et sans dire un mot, commença à le remplir avec des balles de golf.

    Ensuite, il demanda à ses élèves si le pot était plein. Les étudiants dirent OUI.

    Puis le professeur prit une boîte pleine de billes et la versa dans le pot de mayonnaise. Les billes comblèrent les espaces vides entre les balles de golf. Le prof redemanda aux étudiants si le pot était plein. Ils dirent à nouveau OUI.

    Après, le professeur pris un sachet rempli de sable et le versa dans le pot de mayonnaise. Bien sûr, le sable remplit tous les espaces vides et le prof demanda à nouveau si le pot était plein.. Les étudiants répondirent unanimement OUI.

    Tout de suite après le prof ajouta deux tasses de café dans le contenu du pot de mayonnaise et effectivement le café combla les espaces entre les grains de sable. Les étudiants se sont alors mis à rire.

    Quand ils eurent fini, le prof dit :« Je veux que vous réalisiez que le pot de mayonnaise représente la vie.

    Les balles de golf sont les choses importantes comme la famille, les enfants, la santé, tout ce qui passionne. Nos vies seraient quand même pleines si on perdait tout le reste et qu'il ne nous restait qu'elles.

    Les billes sont les autres choses qui comptent comme le travail, la maison, la voiture, etc...

    Le sable représente tout le reste, les petites choses de la vie.

    Si on avait versé le sable en premier, il n'y aurait eu de place pour rien d'autre, ni les billes ni les balles de golf.

    C'est la même chose dans la vie.

    Si on dépense toute notre énergie et tout notre temps pour les petites choses, nous n'aurons jamais de place pour les choses vraiment importantes.

    Faites attention aux choses qui sont cruciales pour votre bonheur. Jouer avec ses enfants, prendre le temps d'aller chez le médecin, dîner avec son conjoint, faire du sport ou pratiquer ses loisirs favoris.

    Il restera toujours du temps pour faire le ménage, réparer le robinet de la cuisine.

    Occupez-vous des balles de golf en premier, des choses qui importent vraiment. Etablissez des priorités, le reste n'est que du sable...

    Un des étudiants leva alors la main et demanda ce que représente le café.

    Le professeur sourit et dit :

    « C'est bien que tu demandes. C'était juste pour vous démontrer que même si vos vies peuvent paraître bien remplies, il y aura toujours de la place pour une tasse de café avec un ami. »


  •  

    La France est devenue ce mardi le 14ème pays au monde à légaliser le mariage gay, le 9ème en Europe. Loin de faire figure de précurseur en la matière, elle aura attendu 12 ans avant d'imiter les Pays-Bas, le premier État à avoir franchi le pas en 2001. 7 autres Européens ont déjà dit oui à l'union des couples homosexuels : la Belgique en 2003, l'Espagne en 2005, la Suède et la Norvège en 2009, le Portugal et l'Islande en 2010,ainsi que le Danemark en 2012. Parmi eux, seul le Portugal ne leur accorde pas le droit à l'adoption. Le Canada a été le premier pays non-européen à voter le mariage et l'adoption, en 2005, suivi de près par l'Afrique du Sud en 2006. En Amérique du sud, trois États l'ont fait : l'Argentine en 2010 et l'Uruguay début avril 2013. Dernier en date sur le globe terrestre: la Nouvelle-Zélande, il y a à peine une semaine. Trois autres pays (en gris sur la carte) autorisent le mariage gay sur une partie de leur territoire seulement. Il s'agit des États-Unis, du Mexique et du Brésil, tous des États fédéraux où chaque États peut avoir sa propre législation. Ainsi, chez l'oncle Sam, seuls 9 États sur 50, ont dit oui au mariage gay : le Massachusetts en 2004, le Connecticut en 2008, l’Iowa, le Vermont et le New Hampshire en 2009, le district de Washington, la capitale en 2010, l’État de New York en 2011, ainsi que le Maryland et l’État de Washington en 2012. L'adoption y est légalisée elle aussi, sauf dans et dans le New Hampshire et dans l’État de Washington.

    Source: Roy Papazian (Facebook), en direct de l'Assemblée Nationale



  • Jean Jacques Rousseau Enfant
    © Collection Jean-Jacques Monney, Genève

     

    Converti au catholicisme avant de l’abjurer et de se dire fidèle à la Réforme, le philosophe prôna une foi éclairée et proposa un pacte social fondé sur la bonté naturelle de l’homme, le culte de la liberté et le respect de la "religion civile".

    Le père de Jean Jacques Rousseau, suite à un différend l'opposant à un colonel de France en 1722, s'exile et il met son fils en pension à Bossey. Jean Jacques Rousseau va « connaître le paradis » dans le village mais deux événements vont venir ternir cet « âge d'or » : La fessée et le peigne.
    En 1724, le jeune garçon est mis en apprentissage à Genève chez un greffier puis chez un graveur. En 1728, il trouve la porte de la ville close, Jean Jacques Rousseau promet de ne jamais retourner chez son maître. " Sur le lieu même je jurai de retourner jamais chez mon maître et le lendemain, quand à l'heure de la découverte, ils rentrèrent en ville, je leur dis adieu pour jamais."

     

     

    Comme il le dit, Rousseau quitte Genève errant seul dans la nature, il se rend à Confignon où il va voir le curé de Pontverre (Jean Jacques Rousseau connaît de renommée ce dernier). « A force de voyager et de parcourir le monde, j'allais jusqu'à Confignon, terre de Savoie à deux lieues de Genève »
    Monsieur de Pontverre convainc son jeune hôte d'aller à Annecy, pour y rencontrer une « bonne dame charitable » et pour s'y convertir. Il faut se rappeler qu'Annecy possède un petit séminaire. « Dieu vous appelle, me dit M de Pontverre, allez à Annecy. »

     

    Départ pour Annecy et abjuration du protestantisme.

     

    Le 21 mars 1728, jour des Rameaux, Jean Jacques Rousseau rencontre Madame de Warens, en arrivant à Annecy. Voyant ses efforts inutiles Madame de Warens, envoie son jeune protégé à Turin, dans un hospice de catéchumènes. C'est en 1728, quelque temps après son arrivée dans la « petite Venise savoyarde. »

     


    Jean Jacques et Bâcle. Jean Jacques porte la fontaine de Héron en bandoulière sur son dos.

     

     

     

    Le voyage durera une semaine. « Si jeune et aller en Italie, avoir déjà vu tant de pays... » On peut penser qu'il est passé par le col du mont Cenis, car il dit suivre « Annibal » (orthographe de l'époque) et nous savons qu'Hannibal est passé par ce col avec ses éléphants lorsqu'il franchit les Alpes.

    Le 23 avril 1728, Jean-Jacques Rousseau, alors âgé de seize ans, qui vient d'abjurer le Protestantisme est baptisé catholique.


    Après avoir passé un an dans la capitale, le jeune converti retourne chez « maman » à Annecy. Il fait le voyage de retour avec Bâcle (avec la fontaine de Héron). C'est en 1729 « On me menaça de me congédier. Cette menace fut ma perte : elle me fit entrevoir qu'il était possible que Bâcle ne s'en alla pas seul. »

                  

     

     

     

    Sources: Wikipédia, Le Monde des Religions.fr & ac-grenoble.fr


  • Trouvé sur le Registre BMS 1624-1700 de Boquého (22).

    Joseph TANGUY, le Recteur de Boquého, tient son listing des différentes demandes en confession.

    Merci de m'aider à tout transcrire

    1. La Confession Sacrementielle peut elle effacer toutes
      sortes de péchés mortels ?
    2. Entendez-vous ce que dit Saint Paul qu'étant un homme saint et miséricordieux quoi qu'il la demande avec l'amour...
    3. Comment expliquez-vous ce qui est dit d'Anthio...
    4. Que veut dire
    5. Qu..
    6. Qu..

                                              Conférence Spirituelle

     





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