• Bonjour à tous 

    Collectionnant tout ce qui représente Bonaparte 1er Consul, au Passage du Saint-Bernard (d'après David)

    je suis à la recherche de cette affiche.

    J'ai appelé la Mairie, qui m'a répondue que ce n'était pas une Expo organisée par la Ville, mais par le Palait des Congrès.
    J'ai essayé de les joindre, mais en vain...
    Si quelqu'un pouvait m'aider, ce serait super.

    Par avance, merci  ;)


  • Relevé dans le Petit Courrier d'Angers de Mars 1917

     

    • L’heure d’été est un système utilisé par un grand nombre de pays consistant à ajuster l’heure officielle, en ajoutant généralement une heure par rapport à l'heure du fuseau horaire (heure locale) pour une période allant du printemps jusqu'à la fin de l'été ou le début de l’automne, ce qui a pour effet de retarder l'heure à laquelle on voit le soleil se lever et se coucher.

    L’intérêt de l’heure d’été réside, selon ses promoteurs, dans les économies d’énergie qu’elle est censée permettre afin de profiter plus tard de la lumière solaire pendant la période estivale ; cette approche est cependant rejetée par ses détracteurs et mise en doute par la Commission européenne qui parle d’économies relativement limitées. D’après cette dernière, le maintien de l’heure d’été en Europe devrait être essentiellement motivé par le confort des loisirs en soirées estivales.

    L'heure d'été est principalement utilisée dans les régions tempérées, où les variations saisonnières de luminosité rendent cette mesure pertinente. Pour l’Europe, la période s’étend du dernier dimanche de mars au dernier dimanche d’octobre. Pour l’Amérique du Nord, et depuis 2007, cette période estivale débute dans la nuit du deuxième dimanche de mars, tandis que le retour à l’heure normale se fait le premier dimanche de novembre.

    Lors du passage à l’heure d’été, les horloges sont avancées de soixante minutes, entre minuit et 4 h du matin selon les pays, de sorte qu’il est couramment dit qu’« une heure de sommeil est perdue ». Lors du passage à l’heure d’hiver, les horloges sont retardées de soixante minutes et « une heure de sommeil est gagnée ».

    • Histoire

    Le 16 avril 1784, Benjamin Franklin évoque pour la première fois dans le quotidien français Le Journal de Paris la possibilité de décaler les horaires afin d’économiser l’énergie. L’idée reste cependant sans suite et n’est reprise qu’à partir de 1907 par le Britannique William Willet qui démarre une campagne contre « le gaspillage de la lumière ». L’Allemagne est la première à instaurer ce changement d’heure le 30 avril 1916 et est rapidement suivie par les Anglais le 21 mai 1916 : le Parlement met en place le British Standard Time, en avance d’une heure sur l’heure du méridien de Greenwich. L’idée est reprise par l’Irlande et l’Italie en 1966, ainsi que par la plupart des pays européens au début des années 1980. En Allemagne, entre 1947 et 1949, on instaure même un Hochsommerzeit où les horloges sont décalées d’une deuxième heure entre le 11 mai et le 29 juin.

    Première page de la lettre de Benjamin Franklin au Journal de Paris (publiée en traduction française) mentionnant pour la première fois la possibilité de décaler les horaires.

    • En France, l’heure d'été est proposée par le député André Honnorat, en 1916, puis instituée par une loi votée le 19 mars 1917 (par 291 voix contre 177).

    En 1940, sous l’Occupation, la France pratique l'heure d'été avec une certaine confusion entre zone libre et occupée : la zone occupée se met à l'heure allemande. Il faut à l'époque rajouter deux heures en été par rapport à celle de Greenwich et une seule en hiver
    A la Libération, l'heure d'été est abandonnée par le Gouvernement provisoire de la République française, le 14 août 1945.
    Le 28 mars 1976, suite au choc pétrolier de 1973, l’heure d’été est rétablie  : Il s'agit d’effectuer des économies d’énergie en réduisant les besoins d’éclairage en soirée. Le passage à l’heure d’été se fait le dernier dimanche de mars à 2 h du matin. Jusqu’en 1995, le passage de retour à l’heure d’hiver se fait le dernier dimanche de septembre à 3 h. Mais depuis 1996, il s’effectue le dernier dimanche d’octobre (à la même heure), ce qui prolonge la période d'heure d'été durant une partie de l’automne.

    Le changement d’heure estival est introduit dans l’ensemble des pays de l’Union européenne au début des années 1980. Pour faciliter les transports, les communications et les échanges au sein de l’UE, il a été décidé d’harmoniser les dates de changement d’heure en 1998, par la directive 2000/84/CE du Parlement européen et du Conseil.

    Avec l'abandon des changements d'heure en Chine depuis 1992 et en Russie depuis 2011, la majorité de la population mondiale garde son heure légale constante toute l'année.

     

    Source Wikipédia


  • Relevé dans le Petit Courrier d'Angers le 18 Avril 1913

     

    17 Avril 1913 L'accident du ballon "Zodiac XIV " :

    Depuis près de 2 mois, les aviateurs militaires effectuent des exercices de reconnaissances aériennes, à bord de ballons sphériques pilotés par des officiers aérostiers. Les départs de ces ballons ont lieu dans l'enceinte du parc aérostatique de l'Aéroclub, à Saint-Cloud.
    Le 17 avril, cinq départs sont prévus. La météo n'est pas très bonne avec un vent assez violent et la pluie qui tombe en rafales.

    Pour la 4ème mission, le ballon sphérique de type "Zodiac XIV" de 1.600 m3 s'élève et prend rapidement de l'altitude. Son équipage se compose de :

    • M. Jacques Aumont-Thiéville, pilote de la mission, aérotier civil de l'Aéroclub de France et auteur d'une traversée nocturne de la Manche, seul à bord du ballon "la Tulipe", le 28 septembre 1912.
    • Capitaine Pierre Clavenad, aviateur militaire, brevet de pilote militaire n° 9 obtenu le 6 mai 1911, issu des chasseurs à pied,
    • Capitaine Henri de Noue, aérostier militaire du parc aérostatique militaire de la Maison-Blanche de Vincennes, issu du 3ème régiment de Dragons de Nantes,
    • Lieutenant de vaisseau Hilaire de Vasselot de Regne, aviateur militaire, issu du régiment de génie de Versailles,
    • Sergent Henri Richy, élève pilote militaire du centre d'aviation de Douai.

    Cne Pierre Clavenad - Pilote militaire - Issu des chasseurs à pied - Brevet de pilote militaire n° 9 obtenu le 6 mai 1911 - Tué au cours de l'accident du Zodiac XIV, le 17 avril 1913 - Photo "Le Petit Journal" mis en ligne par le site "Gallica" de la Grande Bibliothèque de France.

    Cne Henri de Noue - Issu du 3ème régiment de Dragons de Nantes - Aérostier militaire du parc aérostatique militaire de la Maison-Blanche de Vincennes - Tué au cours de l'accident du Zodiac XIV, le 17 avril 1913 - Photo "Le Petit Journal" mis en ligne par le site "Gallica" de la Grande Bibliothèque de France.

    LV Hilaire de Vasselot de Regne - Issu du régiment de génie de Versailles - Aviateur militaire - Tué au cours de l'accident du Zodiac XIV, le 17 avril 1913 - Photo "Le Petit Journal" mis en ligne par le site "Gallica" de la Grande Bibliothèque de France.

    Sgt Henri Richy - Elève pilote du centre d'aviation de Douai - Brevet de pilote militaire n° 241 obtenu le 2 avril 1913 - Tué au cours de l'accident du Zodiac XIV, le 17 avril 1913 - Photo "Le Petit Journal" mis en ligne par le site "Gallica" de la Grande Bibliothèque de France.

     

    Après avoir survolé Paris à une grande altitude, le ballon, qui donnait des signes de défaillance depuis Vincennes, était brusquement descendu et avait en partie arraché les fils télégraphiques et les signaux de la voie ferrée près de Rosny-sous-Bois. Poussé par un vent violent d'Ouest, le ballon frôle la cime des arbres près de Nogent. A Fontenay-sous-Bois, l'équipage largue du lest pour regagner de l'altitude. En vain ! La bourrasque le plaque au sol. Au passage, le ballon emporte une cheminée. Après un nouveau lancé de lest et le largage de l'ancre, le ballon reprend un peu de la hauteur. Arrivé à 250 m d'altitude, entre la Malhoue et Noisy-le-Grand, le Zodiac se dégonfle brusquement, se replie sur lui-même et s'écrase au sol dans un champ labouré appartenant au comte de Cahen d'Anvers, entre Noisy-le-Grand et Villiers-sur-Marne.
    Les témoins, arrivés sur place, découvrent une scéne tragique. Les cinq occupants de la nacelle gisent au sol, enchevétrès les uns sur les autres. Le Cne Clavenad, le Sgt Richy et M. Aumont-Thiéville avaient été tués sur le coup. Les deux derniers occupants, qui avaient tenté de monter dans les cordages pour se protéger de la chute, étaient encore en vie. Les deux officiers, grièvement blessés, sont chargés dans une automobile arrivée sur place. Déposés dans une salle de billard d'un café voisin de la gare de Villiers-sur-Marne, ils reçoivent les premiers soins de deux médecins. Ils constatèrent très vite que l'état de santé du Cne de Noue était critique car il souffrait d'une fracture de la colone vertèbrale. Il décédera des suites de ses blessures. Le dernier blessé, le Ltt de Vasselot semble moins atteint car il était toujours conscient. Il est transporté, par ambulance militaire, à l'hôpital Bégin, où il décédera des suites de ses blessures internes, quelques heures plus tard.

    L'enquête va montrer que la corde de déchirure avait été volontairement tirée, ouvrant normalement sur plus de 30 cm le panneau de déchirure situé au sommet de l'enveloppe. Cette manoeuvre se fait normalement à un mètre de sol, juste avant l'atterrissage. La corde de déchirure est enveloppée d'une large bande d'étoffe rouge qui la distingue nettement de toutes les autres commandes. La traction de cette corde en altitude provoque la chute certaine du ballon.

    Les hypothèses avancées auront été que le pilote a dû demander de l'aide à ses passagers pour maitriser son engin à travers les rafales de vent. Non expérimentés, l'un d'eux a dû commettre une fausse manoeuvre dans le maniement des cordes de commandes, provoquant la chute fatale de l'aérostat.

     

    Source: albindenis.free.fr

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    Département  93 Seine-Saint-Denis   Commune  : Noisy-le-Grand Accessible au public. Coordonnées : 48° 49' 58.08" N  2° 34' 54.24" E. 48.83280 2.58173. 48°49.968 N 2°34.904 E
    Au carrefour de la rue du ballon et de l'impasse Neil Armstrong.

    A la mémoire de Jacques Aumont Thieville, capitaine Clavenad, capitaine de Noue, lieutenant de vaisseau Vasselot de Regne, sergent Richy, victimes de la catastrophe du ballon ZODIAC XIV le 17 avril 1913.
    Au cours d’une ascension militaire le ballon sphérique qu’ils montaient s'était élevé au parc de l'aéroclub de Saint Cloud.
    Après un atterrissage tragique sur Fontenay-sous-bois il s'abattit définitivement dans la partie de la plaine visible à droite de ce monument.
     

     

     

    Source: aerosteles.net


  • En Avant Première, retard dans la mise en ligne des AD 16



    Bonjour à tous,

    Mon ami Jean-Pierre UGUEN, Président du Cercle Généalogique de Languedoc, a téléphoné aux Archives de Charente, il y a une quinzaine de minutes, pour avoir une date approximative quand à la mise en ligne. Il c'est entendu répondre, qu cette mise en ligne ne serait pas effective avant juin-juillet, sans autre explication, voir même que les raisons seraient confidentielles et non communicables à n'importe qui.

    Nous aimerions penser qu'ils auraient réfléchis et que c'est pour mettre en ligne gratuitement les AD que ce retard advient, mais là, ce ne sont que des hypothèses...

    Généamicalement Bruno


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  • Je suis assez décu ce soir, j'ai appelé chez le Propriétaire de cet arbre (c'est le seul arbre que j'ai trouvé avec ce patronyme et ces prénoms).
    Une femme m'a répondu "assez froidement", que je n'appelais pas la bonne personne, pourtant même nom, même adresse que sur Généanet.

     

    J'aurai aimé partager avec lui ma trouvaille sur les affiches d'Angers du 4 ventose de l'An II


     

    Si vous croisez des OBRUMIER dans vos arbres ...
    La Dame Taigny serait de
    Coucy le Château (Aisne)

     

    Trouvé sur un site de vente en ligne:

    sur un site de vente en ligne:

    angers. L.A.S. par le citoyen Hossard, médecin à Angers, 9 ventose II (27 février 1794), aux " Citoyens et amis du peuple " ; 2 pages in-fol.

    Intéressant document sur les enfants détenus en prison.
    Hossard expose les conditions dramatiques dans lesquelles sont détenus, dans la maison d'arrêt du Calvaire, " une multitude d'enfants qui ne sont coupables que des fautes de leurs pères, ou plutôt qui sont innocents ". La maladie s'étend de jour en jour, et tous ceux qui s'occupent de ces enfants subissent la contagion de ces " miasmes putrides "... Le Comité Révolutionnaire (6 signatures dont le président Brutus-Thierry, Tell Obrumier, Marat Boussac...) renvoie au District. Le District d'Angers (6 signatures) décide d'enlever de la prison tous les enfants âgés de 7 ans et au-dessous et de les confier " à des citoyenes qui voudront se charger de les nourrir et entretenir ", et à qui on versera 12 livres par enfant et par mois " sur les fonds destinés à l'entretien des Enfants de la patrie "... À la suite, apostille autographe signée de Pierre-Louis Prieur de la Marne (1756-1827), contresignée par Pierre-Anselme Garrau (1762-1819, Gironde), qui approuvent, Nantes 14 ventose II (4 mars 1794).
    250 / 300 €


  • Trouvé sur les Affiches d'Angers le 8e Jour de la 2e Décade du 2e Mois de l'An II
    de la République Française, une et indivisible
    Le 8 Novembre 1793 de l'Ere Vulguère

     

    "Georges" n'est autre que Cadoudal,
    Général Chouan, Maréchal de France à titre posthume, commandant de l'Armée Catholique et Royale de Bretagne


  • Châtillon-sur-Sèvre aujourd'hui Mauléon (Deux-Sèvres)

    Prélude

    La prise de Châtillon-sur-Sèvre par les républicains le 9 octobre avait mis les Vendéens dans une position très inquiétante, l'Armée catholique et royale se retrouvait acculée entre Tiffauges et Châtillon. Aussi le 10 octobre les généraux vendéens de l'Armée d'Anjou et du Haut-Poitou se réunirent résolus à ne pas laisser leur « capitale » au main des « Bleus », et, conscient de l'effet dévastateur que cette perte pourrait avoir sur le moral des troupes, il décidèrent de lancer immédiatement une contre-attaque pour reprendre la ville.

    La bataille

    Le 11 octobre, l'armée vendéenne se mit en marche, rapidement elle rencontra sur sa route l'armée républicaine divisée en deux colonnes, l'une commandée par Chalbos, l'autre par Westermann, qui se dirigeait sur Cholet et Mortagne. Les Vendéens lancèrent une charge générale et culbutèrent les lignes républicaines qui se replièrent sur Châtillon. Les soldats restés dans cette place étaient totalement désorganisés, beaucoup même étaient ivres. Rapidement la panique les gagna et toute l'armée finit par dérouter sur Bressuire. Les Vendéens purent reprendre Châtillon cependant ils se jetèrent sur les réserves d'eau-de-vie abandonnées par les républicains et s'enivrèrent à leur tour.

    Mais Westermann n'acceptait pas sa défaite et arrêta la retraite au bois du Moulins aux Chèvres. Il rassembla une centaine de hussards qui chacun prirent un grenadier en croupe ainsi que les fantassins du 9e bataillon d'Orléans, le tout était fort de plusieurs centaines d'hommes. La chose faite, il retourna à Châtillon afin d'y lancer un raid.

    Profitant de l'obscurité, la petite troupe parvint à traverser les avants-gardes vendéennes et se répandit dans la ville. La plupart des 10 000 soldats vendéens étaient endormis. Westermann, constatant que Chalbos ne l'avait pas suivi, donna l'ordre de détruire la ville. Les maisons furent incendiées, des soldats vendéens tués dans leur sommeil, des femmes et des enfants massacrés. Mais l'alerte donnée, les Vendéens se regroupèrent et passèrent à l'attaque dans une grande confusion. Après quatre heures de combat, Westermann constatant que la plupart de ses hommes avaient été tués, ordonna la retraite.

    À l'aube, les généraux d'Elbée, Bonchamps, Lescure, La Rochejaquelein et Talmont après avoir rallié les fuyards et rassemblé leurs troupes retournèrent à Châtillon. Mais les républicains avaient pris la fuite, la ville était entièrement détruite par les incendies et le sol était jonché de milliers de cadavres calcinés. Les Vendéens n'osèrent pas pénétrer dans les ruines et s'en retournèrent sur Mortagne.

    Selon l'état des pertes, cependant incomplet, du 14e bataillon de Paris, dit de la République, anciennement des Piquiers, 12 hommes du bataillon sont portés comme tués à Châtillon du 10 au 18 octobre 1793.

    Source Wikipédia   (voir aussi la 1ere Bataille de Chatillon 07/1793)

     

    Voici les faits relatés dans les Affiches d'Angers d'octobre 1793 (ou comment rayer une ville de la Carte)

     

    On peut dire ce qu'on voudra, mais ça reste des actes d'une barbarie inouie, les nazis n'ont rien inventé.





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