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Par Bruno Rivet le 16 Octobre 2013 à 18:32
Relevé sur le Petit Courrier d'Angers du jeudi 5 novembre 1914
L’ancêtre
Guillaume, le bandit qui porte la couronne,
A vêtu sont plus riche uniforme ; ils plastronne
Devant l’armoire à glace et dit : « Que je suis beau !
Le monde policé voit en moi son flambeau,
Je suis plus que le droit, puisque je suis la force.
J’ai bien un bras manchot, mais quel effet de torse !
Puisque la gloire est femmes elle doit ‘adorer.
Mes soldats sont experts dans l’art de se terrer
Et mieux que les brigands célèbres des Abruzzes,
Pour tromper l’ennemi savent toutes les ruses.
J’ai brûlé Mons, j’ai brûlé Reims, et c’est en vain
Que pour sauver l’Hôtel de Ville de Louvain
On m’a dit que c’était très beau ; ça je m’en moque,
Et j’ai brûlé Louvain. Je veux que mon époque
Soit celle du néant. Sur mon trône affermi ,
Je me ris de Clovis comme de Saint-Rémi ;
Je suis le tout puissant empereur d’Allemagne,
Le successeur de Charlemagne. «
Et Charlemagne lui répondit : « Malheureux, tu ne comprends donc rien
Nous étions des Germains, tu n’es qu’un Prussien.
Joyeuse combattit avec persévérance
Pour la foi, le Génie et la langue de France.
Roland valait bien mieux, petit, que tu ne vaux,
Et mes Francs ne sont pas tous morts à Roncevaux.
Ne vient pas insulter les gloires ancestrales.
Non, tu n’es pas mon fils, brûleur de cathédrale ! »Et Guillaume reprit : « ne tient-il qu’à cela ?
Je remonte plus haut : je suis fils d’Attila,
Le terrible fléau, le conquérant superbe.
Et je me bats l’univers comme on bat une gerbe. »Et devant lui se dresse Attila : « Non, tu mens,
Si Dieu m’a confié jadis les châtiments
D'un monde criminel, j’ai su rentrer le glaive
Devant les bras en croix de Sainte Geneviève,
Et tu te targueras, toi, d’avoir massacré
Pour première victime un malheureux curé.
Tu vantes ta culture et j’étais un barbare.
Au jugement dernier, nous serons à la barre
Tous les deux : je pourrais te dire alors : Va-t-en,
J’obéissais à Dieu, ton maitre était Satan. »« Ces ancêtres une, pensa Guillaume sont grotesques.
Laissons-les déclamer leurs sermons pédantesques
Bons pour le petit peuple et le menu public.
J’imite au moins le grand Frédéric. »Frédéric, avec un mauvais rire imité de Voltaire,
Lui frappe sur l’épaule et dit : Veux –tu te taire
J’étais voleur, j’étais trompeur, j’étais cruel,
Me moquant de l’enfer et me moquant du ciel,
Et presque autant que toi fourbe et méchant, en somme,
Mais j’avais de l’esprit et restais gentilhomme.
Je n’ai jamais chipé de pendule ; jamais
Je ne me serais mis au cas où tu te mets,
Et, portant fièrement ma cuirasse de buffle.
J’étais un scélérat mais n’étais point un muffle
Ton manque de bon ton m’a fort scandalisé. »Guillaume de ce coup fut un peu défrisé.
« Soit, dit-il, je n’aurais de guide ni d’exemple.
Mais la gloire à venir n’en sera que plus ample.
La victoire me suit et j’ignore l’échec.
Si je suis sans parents, comme Melchisédec.
Que n’importe ? Avec moi le Destin coopère. »Mais une voix den bas cria : je suis ton père,
O fils très ressemblant dans lequel je revis
Mes exemples par toi furent toujours suivis.
Et, si tu n’es mon sang, par tes exploits multiples
Tu t’es montré le plus parfait de mes disciples :
Cabotin, sacrilège, ignoble, fanfaron. »Le Kaïser demanda : « Qui donc es-tu ? »
- « Néron. »Xavier DE LA PERRAUDIERE
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Par Bruno Rivet le 16 Octobre 2013 à 14:00
Relevé sur le Petit Courrier d'Angers le 4 novembre 1914
AD 49/Presse/Le Petit Courrier d'Angers/novembre 1914 vue 7/43Petite recherche sur Généanet, Ferdinand MOREAU est bien rentré de captivité, il c'est marié en octobre 1919 à Gennes (49), où c'est éteint en mai 1968 à l'age de 78 ans.
J'ai contacté les deux personnes sur Généanet pour leur transmettre cet article.
Livret de 14 gravures - Prisonniers de guerre. 1918.(Camp de WITTENBERG)Document trouvé sur Delcampe
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Par Bruno Rivet le 16 Octobre 2013 à 10:51
Relevé sur les Affiches d'Angers en date du 7e jour de la 3e décade di 1er mois de l'An II de la République Française
une et indivisible; le vendredi 18 octobre 1793 de l'ère vulgaire.
AD 49/Presse/octobre 1793 vue 21/35Relevé sur les Affiches d'Angers en date du 10e jour de la 3e décade di 1er mois de l'An II de la République Française
une et indivisible; le lundi 21 octobre 1793 de l'ère vulgaire.
AD 49/Presse/octobre 1793 vue 24/35L'exécution de Marie-Antoinette d'Autriche est l'application de la condamnation à la mise à mort de Marie-Antoinette d'Autriche, reine de France jusqu'à l'abolition de la monarchie le 22 septembre 1792. Cette condamnation est prononcée par le Tribunal révolutionnaire le 16 octobre 1793, à quatre heures et demie du matin, après un procès qui dura deux jours.
Le même jour se poursuit la profanation des tombes royales à la basilique de Saint-Denis. (Source: Wikipédia)
L'acte de condamnation est aujourd'hui conservé par les archives du Barreau de Paris.
(image histoire-image.org)
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Par Bruno Rivet le 13 Octobre 2013 à 08:42
Fille du roi Louis XII et d'Anne de Bretagne, Claude de France est née le 13 octobre 1499 à Romorantin. Elle reçoit son prénom en hommage à saint Claude que sa mère avait invoqué lors d'un pèlerinage afin qu'elle puisse donner le jour à un enfant viable.
Cependant, si elle peut succéder à sa mère sur le trône de Bretagne, elle ne peut comme fille succéder à son père sur le trône de France du fait de la loi salique.
Duc de BretagneElle est duchesse de Bretagne en 1514, reine de France en 1515, du fait de son Mariage avec François 1er, comtesse de Soissons, de Blois, de Coucy, d'Étampes, de Montfort, et duchesse de Milan.
Claude épouse donc le 8 mai 1514 son cousin le comte d'Angoulême, futur François Ier, lui assurant la Bretagne au moins, au cas où Louis XII et sa nouvelle reine, Marie d'Angleterre auraient conçu un dauphin. La duchesse Claude ne gouverna jamais la Bretagne et en céda l'usufruit à son mari, puis à titre perpétuelen 1515. Au contraire de sa sœur cadette Renée, elle semble ne s'être jamais intéressée à son héritage maternel et n'avoir montré aucune disposition à la politique, tandis qu'elle préférait se dévouer à la religion, sous l'influence, d'après certaines sources, de Cristoforo Numai, qui avait été le confesseur de Louise de Savoie, mère de François Ier...
Son fils aîné, le dauphin François, lui succéda sur le trône de Bretagne sous le nom de François III, son père le roi conservant l'usufruit du duché.
À propos de la reine Claude de France, Brantôme a écrit :
« Il faut parler de madame Claude de France, qui fust très bonne et très charitable, et fort douce à tout le monde, et ne fist jamais desplaisir ny mal à aucun de sa court ny de son royaume. Elle fust aussy fort aymée du roy Louys, et de la royne Anne, ses pere & mere, et estoit leur bonne fille et la bien-aymée, comme ilz luy monstrarent bien; car amprès que le roy fust paisible duc de Milan, ilz la firent déclarer et proclamer en sa court de parlement de Paris, à huys ouverts, duchesse des deux plus belles duchez de la chrestienté, qui estoient Milan et Bretaigne, l’une venant du pere et l’autre de la mere. Quelle heritiere! s’il vous plaist. Ces deux duchez joinctes ensemble eussent bien faict un beau royaume »
Autant François était grand et athlétique, autant Claude était petite. Ses maternités successives la faisaient paraître continuellement bien en chair aux dires de la Cour, qui en faisait un sujet de moquerie. Les ambassadeurs étrangers notent sa « forte corpulence », sa claudication, le strabisme de son œil gauche, sa très petite taille, sa laideur et son effacement, pour ne souligner que ses qualités de cœur. Elle fut peu aimée à la cour après la mort de ses parents.
Brantôme témoignera :« que le roy son mary luy donna la vérolle, qui lui advança ses jours. Et madame la régente (Louise de Savoie) la rudoyait fort […] . »
Le roi lui imposera l'omniprésence de sa maîtresse, Françoise de Foix.
La reine Claude meurt en couches, à Blois, le 20 juillet 1524, à 24 ans, après avoir mis au monde sept enfants..
Elle n'est plus que l'ombre d'elle-même, épuisée par ses grossesses successives, dont la première a été portée alors qu'elle n'a pas quinze ans, et affaiblie par une tuberculose osseuse (comme sa mère) et par la syphilis que lui a donné son mari.- Louise (19 août 1515- 21 septembre 1518)
- Charlotte (23 octobre 1516- 18 septembre1524)
- François (28 février 1518 - 10 août 1536), dauphin de France, couronné à Rennes duc de Bretagne sous le nom de François III
- Henri (31 mars 1519-10 juillet 1559) dauphin de France, dernier duc de Bretagne en titre à la mort de François III duc de Bretagne, roi de France
- Madeleine (10 août 1520-2 juillet 1537), reine d'Écosse par son mariage en 1537 avec Jacques V d'Écosse
- Charles (22 janvier 1522-9 septembre 1545), duc d'Orléans
- Marguerite (5 juin 1523-14 septembre 1574), duchesse de Savoie par son mariage en 1559 avec Emmanuel-Philibert de Savoie
Postérité:
- On a suggéré qu'elle était peut-être représentée sur la fameuse tapisserie de La Dame à la licorne.
- Le livre de prières de Claude de France est un joyau d'enluminure manuscrit, de 49 sur 69 mm, qu'elle fit réaliser vers 1517, année de son couronnement. Le livre est un enchaînement continu de 132 riches illustrations des passages de la Bible et de la vie des saints. Toutes les pages sont encadrées par la Cordelière, en mémoire de sa mère. Son blason apparaît sur trois folios différents. Ce manuscrit ainsi qu'un livre d'heures ont été enluminés par un artiste qui a reçu le surnom de Maître de Claude de France. Il a été remis à la Morgan Library & Museum à New York en 2008 par Madame Alexandre Rosenberg Paul en mémoire de son époux.
- La variété de prunes appelée Reine-Claude lui doit son nom, et donc la spécialité de mon Anjou natale, le Paté aux prunes
Source: Wikipédia
Recette du Paté aux Prune (Marmiton.org)
Temps de préparation : 30 minutes
Temps de cuisson : 30 minutesIngrédients (pour 6 personnes) :
- 1 kg de prunes (reines-claudes de préférence ou, à défaut, mirabelles)
- 400 g de farine
- 3 jaunes d'oeufs
- 200 g de beurre ramolli
- 150 g de sucre en poudre
- 1 pincée de sel
- 1 blanc d'oeuf
- 1 cuillère à café de lait
- 10 cl de crème fraîchePréparation de la recette :
Lavez, essuyez et dénoyautez les prunes. Préchauffez le four à 200 °C.
Préparez une pâte brisée :
faites un puits avec la farine, mettez au centre 2 jaunes d'oeufs, le beurre, 50 g de sucre, 1 pincée de sel et un demi-verre d'eau froide. Travaillez la pâte rapidement puis mettez-la en boule et laissez la reposer 2 heures sous un linge.
Divisez la pâte en 2 parts inégales, deux tiers, un tiers. Abaissez la plus grande part au rouleau, en forme de cercle, sur 3 mm d'épaisseur. Garnissez-en une tourtière beurrée en laissant dépasser 3 cm sur le pourtour. Piquez la pâte à la fourchette. Etalez le banc d'oeuf battu sur ce fond de tarte. Passez au four pendant 2 mn, le temps qu'il se forme une pellicule blanche. Vous éviterez ainsi que l'eau rejetée par les fruits imbibe la pâte.
Garnissez la tarte avec les prunes, poudrez-les de sucre. Couvrez avec la seconde abaisse et rabattez la pâte du dessous dépassant du moule. Soudez les bords à l'aide d'une fourchette. Dorez la surface avec un jaune d'oeuf battu mélangé avec le lait et une pincée de sucre. Mettez une cheminée en carton au centre du couvercle troué.
Enfournez et faites cuire 30 mn.
Servez tiède avec de la crème fraîche.
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Par Bruno Rivet le 12 Octobre 2013 à 22:56
Relevé par Pierre MILLET (ami FB) sur les
Le feu prit à Rennes le 22 Xbre 1720 et continua jusqu’au 29 même mois et an. 27 rues, places publiques et une église paroissiale, chapelle présidial, herbage publique et plus de 800 maisons furent incendiés.Autre document original et intéressant sur le respect qu'avait le Roy Henry II pour les "bulles" du pape.
« En 1721 on permit en ce Carême les œufs excepté la Semaine Sainte.
En 1740 Mr de Vauréal(t) évêque permit pendant le Carême comme on avait fait depuis 1721
l’usage des œufs et permit l’usage de la viande les dimanche, lundi, mardi et jeudi
jusqu’à la Semaine Sainte exclusivement pour cette année seulement.
Nota : en 1553, le pape Jules (on ne sait à la sollicitation de qui) envoya à Paris une bulle par laquelle
il permit de manger des œufs, du beurre et du fromage pour cette année. On regarda cette permission
comme un relâchement scandaleux. Le Garde des Sceaux ordonna de faire publier par tous les carrefours
défense de vendre cette bulle qui fut ensuite brûlée à la requête de gens du Roy par ordre de Henri II
et du parlement. Extrait du journal des … (Français ?) de France 1720. »
A noter qu’il s’agit du pape Jules III.
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Par Bruno Rivet le 12 Octobre 2013 à 21:05
... ou avait-il abusé du sang du Christ ?
Louis MORIN, Curé habituel de Trémentines (49), a pourtant une écriture des plus lisibles dans les actes précédants et suivants.
Acte de Baptême de Jean GOURDON le mardi 29 octobre 1670
Que lui est-il arrivé le 22 octobre de la même année pour écrire aussi mal, dans tous les sens avec une écriture aussi peu assurée ?
Acte de Baptême de Jacques SUICAULT en date du 22 octobre 1670
AD BMS 1607-1672 vue 178/195
(cet acte est placé juste avant celui du 23 novembre, je pense qu'il s'agit donc du 22 novembre 1670)
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Par Bruno Rivet le 10 Octobre 2013 à 12:34
Quel est le point commun entre Sainte-Thérèse de Lisieux, Edith Piaf ?
Elles sont "Cousines"
Dessin du Ouest France du 14/09/2013En effet, ayant la chance de cousiner avec ces deux Dames, du côté de Papa, ce sont d'ailleurs les deux seuls cousinages côté Paternel, j'ai osé en ce jour anniversaire, croiser leurs deux généalogies, et il s'avère que Édith Giovanna GASSION, plus connue sous son pseudonyme d'Édith Piaf est une une cousine au 6e degré d'un grand-parent. de Marie-Françoise Thérèse Martin, en religion Sœur Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la Sainte-Face, également connue sous les appellations Sainte Thérèse de Lisieux, Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus ou encore la Petite Thérèse.
Vers l'âge de 7 ou 8 ans, Édith perd momentanément la vue en raison d'une kératite. Sa grand-mère, ayant appris la guérison d'une gamine atteinte de la même maladie après qu'on avait prié pour elle sur la tombe de Thérèse Martin à Lisieux, décide d'aller avec ses « filles » y demander la guérison de la petite. On prend le train, on prie sur la tombe de Thérèse, on ramène de la terre qu'on lui applique en bandeau sur les yeux tous les soirs. Après huit jours environ, Édith est guérie. Elle conservera toute sa vie une dévotion particulière à la « petite » Thérèse, dont elle gardera la médaille autour du cou sa vie durant. Il se trouve que Édith et Thérèse Martin sont cousines au 14e degré.
Source: Wikipédia.Marie Françoise Thérèse MARTIN est une cousine au 6e degré d'un grand-parent de Édith PIAF dite La Môme PIAF .
- En effet,
- Louis BOHARD
- Marie MARIE
- des ancêtres à la 8e génération de Édith PIAF dite La Môme PIAF GASSION
- des ancêtres à la 6e génération de Marie Françoise Thérèse MARTIN
Louis BOHARD †/1728
&1672 Marie MARIE 1643-1728| | | Jacques BOHARD Nicolas BOHARD ca 1680-1760 | | Louis BOHARD ca 1702- Pierre BOHARD 1717-1797 | | Anne BOHARD 1750-1836 Marie Anne BOHARD 1753-1815 | | Marie BLIN 1778-1832 Pierre François MARTIN 1777-1865 | | Augustine DUVAL 1821-1898 Louis Joseph Aloys Stanislas MARTIN 1823-1894 | | Victor Alphonse GASSION 1850-1928 Marie Françoise Thérèse MARTIN 1873-1897 | Louis Alphonse GASSION 1881-1944 | Édith PIAF dite La Môme PIAF GASSION
- En effet,
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Par Bruno Rivet le 9 Octobre 2013 à 11:32
Lire l'article sur ma Gazette de nos ancêtres
A la demande de Sophie BOUDAREL, que je comprends et respecte, j'ai effacé le sujet que j'avais copié-collé sur le sien pour ne laisser qu'un lien vers le sujet original.
J'avais bien mis un lien source vers son blog , mais vers la page d'accueil et non vers l'article, ce qui pouvait laisser supposer que j'étais l'auteur de l'article et que donc, je m'attribuais le fruit de son travail.Je précise que Sophie ne m'a pas demandé de faire cette "auto-flagellation", je le fait de mon propre chef.
Encore toutes mes excuses Sophie.
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