• J'ai reçu hier, un courrier timbré avec des timbres édités en juin 1942, retirés de la vente en octobre de la même année, mais oblitéré le 22 novembre dernier.

    Pour la petite histoire, il faut savoir que vous pouvez tout à fait timbrer vos courriers et colis avec des timbres français en francs, quelque soit la date, tant que c'est l'équivalent du prix en €.
    D'où l’intérêt d'acheter des lots de vieux timbres sur les vides greniers, pour qui, comme moi, envoi souvent des colis.
    A quelques exceptions près comme les timbres à l’effigie de Pétain qui ont été démonétisés, il est strictement interdit d'affranchir avec.

    Bloc 4+1 Timbres Jules MASSENET
    Dessiné par Paul-Pierre Lemagny
    Gravé par Antonin Delzers

    Vente générale le 22 juin 1942
    Retiré de la vente le 24 octobre 1942
    Valeur faciale : 4,00 F
    Taille image : Timbre vertical 18x22 mm Dentelure 14x13½
    Couleur : vert-bleu
    Imprimé en taille douce rotative

    Oblitérés le 22 novembre 2013

    Compositeur né à Montaud (Loire) en 1842.
    Etudes au Conservatoire de Paris, Grand-Prix de Rome de composition, membre de l'Académie des Beaux-Arts.
    Auteur de symphonies et opéras, dont le plus connu est Manon.
    Il meurt à Paris en 1912
    ----------


  • Je suis interpellé par cette acte au Seure (17) sur les TD de 1802/1932, à la fin des Naissances de 1922-1932

    Pas tant par l'Adoption, mais surtout que l'adoptée est épouse de ...

                                                                          Adoption de Sidoine SURBIER épouse de
                                                                          Maurice Victor THIBAUD par Monsieur Eugène
                                                                          FOUCHIER et Célestine DESCHAMPS son épouse.

    Je sais qu'on peut adopter une personne majeure, mais là on parle d'une femme mariée, même pas d'une Veuve, c'est différent.
    Qu'est-ce qui peut motiver ou justifier une telle demande ?
    Que cela vous inspire t'il ?


  • Ça ne s'invente pas, je me demande qui faisait la voiture balai ?

     

    Humour #Généalogie La voiture balai


    AD 17/Saint-Bris-des-Bois TD 1802/1932 vue 69/85

    Humour #Généalogie La voiture balai


  • 4 novembre 1913, catastrophe ferroviaire à Melun

    4 novembre 1913 - Melun : collision à 21 heures 30 entre le rapide Marseille-Paris et le train poste Paris-Pontarlier, par suite d'un non-respect de la signalisation par le mécanicien Dumaine, conduisant le rapide. L'accident, suivi d'un terrible incendie, fera 39 morts et 13 blessés. En mars 1914, le Tribunal correctionnel de Melun condamnera le mécanicien et le chef de train du train tamponneur respectivement à quatre mois et un mois de prison pour homicide par imprudence.

    *

    *AD 49/Presse/Le Petit Courrier/novembre 1917
    Pour afficher en grand dans une autre page, cliquez sur sous chaque photo

    Le 5 novembre
    Annonce de la catastrophe

    1

    vue 14/96

    Le 6 novembre
    1er bilan

    1
    vue 16/96

    Le 6 novembre
    récit des Rescapés


    vue 17/96

    Le 7 novembre
    Encore des cadavres

    vue 19/96

    Le 7 novembre
    version de la Compagnie

    vue 20/96

    Le 8 novembre
    Scènes déchirantes à l'Hôpital de Melun

    vue 22/96

    Le 8 novembre
    Les responsabilités

    Vue 23/96
    Le 9 novembre
    Les Obsèques des 15 Postiers

    vue 26/96
    Le 9 novembre
    Identification des corps

    vue 27/96
    Le 10 novembre
    Mise en bière des corps
    non identifiés

    vue 31/96
    Le 11 novembre
    Le corps du Docteur Jaboulay identifié

    vue 33/96
    Le 12 novembres
    Obsèques des victimes non identifiées.
    3 nouvelles disparitions

    vue 36/96
    Le 12 novembre
    Les obsèques de Joseph Gaborit (Lyon)

    vue 37/96
    Le 13 octobre
    Encore une disparition

    vue 40/96
    Le 14 novembre
    Après la catastrophe

    vue 43/96


    *


  • Le Généathème du mois de décembre: Je fais le point...

    Et débrouilles toi avec ça,  (ou comment faire un semblant de 1er article avec rien) et bien justement, j'ai une Point dans mon arbre, Perrine Point

    Origine : point représente une forme altérée de pons (bourgogne, franche-comte), nom de baptême issu du nom latin pontius, nom popularise par un ermite du jura ive siècle.(Source Généalogie.com)

     

    Perrine POINT dont je ne sais absolument rien à ce jour, est la femme de François FAVREAU (+25/01/1794).
    Il auront un fils, Armand né le 14 janvier 1789 à Cirières (79), celui-ci épousera Magdeleine GUERIN dont les Parents sont mes Ancêtres  à la 7e génération.

    Perrine POINT est présente au Mariage d'Armand le 8 juillet 1812 à Breuil-Chaussée (79)


  • Le retour, pour le moins mystérieux, d'un prisonnier de guerre

    Relevé sur le Petit Courrier d'Angers
    en date du jeudi 9 décembre 1921

    Disparu, depuis aout 1914
    un Sarthois
    revient dans ses foyers

    -<>-
    Il y aurait encore des prisonniers
    en Allemagne

                             Le Mans, 8. - Le soldat Joseph Blin, du
                           26e régiment territorial, originaire de Ma-
                           rolles-les-Braults (Sarthe), porté disparu
                           depuis le 26 aout 1914, est rentré de capti-
                           vité dimanche dernier.
                             En 1916, malade et blessé, ses gardiens
                           voulurent l'obliger à travailler, mais sur
                           son refus énergique, il reçut un coup de
                           baïonnette au côté droit de la tête.
                             Il fallut le soigner.
                             Il resta des années à l'hôpital puis fut
                           incarcéré pendant de longs mois.
                             Joseph Blin, dont on devine la joie, a
                           affirmé aux siens que deux de ses cama-
                           rades sont encore détenus sur la frontière
                           de grand duché de Bade et que, comme
                           lui, ils n'ont jamais pu obtenir l'autorisa-
                           tion d'écrire à leur famille.
     

     

     

     

     


    AD49/Presse/Le Petit Courrier/décembre 1921/vue 16/59

     

     

    Relevé sur le Petit Briard (via Gallica.fr)
    de janvier 1921

     Y a-t-il encore des soldats Français
    prisonniers en Allemagne ?
    _________

                            Loin de nous, la pensée de vouloir
                          donner de vaines espérances à nos
                          familles éprouvées par le doute si an-
                          goissant de leurs disparus.
                            Cette nouvelle publiée par Le Petit
                          Journal, doit laisser un certain espoir à
                          ceux dont le doute subsiste, et, c'est
                          pour cela que nous la publions.
                            Un soldat du 26e territorial d'infan-
                          terie, Joseph Blin, porté dis-
                          paru depuis le 26 aout 1914, vient de
                          rentrer dans sa famille, à Marolles-les-
                          Braults. Il déclare que les Allemands
                          l'ont rendu à la liberté, le 26 novembre
                          dernier, à la suite des démarches du
                          Général Dupont.
                            Joseph Blin affirme que fait prison-
                          nier par les Allemands, blessé à la tête,
                          il a été incarcéré pendant plusieurs
                          années à la suite de son refus de tra-
                          vailler. Selon lui, deux autres soldats
                          français seraient encore prisonniers aux
                          frontières du duché de Bade, et dans
                          l'impossibilité de correspondre avec
                          leurs familles.
                            Ce récit est-il sincère ? Une enquête
                          va être faite par l'autorité militaire,
                          avisée de la rentrée du disparu.
                            Blin était parti à la mobilisation.

                            P.S. - Marolles-les-Braults est un
                          chef-lieu de canton de la Sarthe, arron-
                          dissement de Mamers, de 2.010 habitants.

    Gallica.fr/1921/01 (A7,N10)/Le Courrier briard/vue 3/4

     

    Relevé sur le Matin (via Gallica.fr)
    de décembre 1920

    Un Soldat français rentre d'Allemagne

    après six ans et de demi de captivité
    -<>-

                                   Le Mans, 8 décembre. - Télégr.Matin. -

                                Un soldat du 26e territorial d'infanterie, Jo-
                                seph Blin, porté comme disparu depuis le
                                26 aout 1914, vient de faire une sensation-
                                nelle rentrée dans sa famille, à Marolles-
                                les-Brault (Sarthe). Blin raconte que les Al
                                lemands, qui l'avaient blessé, puis fait pri-
                                sonnier, l'avaient incarcéré pendant de lon-
                                gues années à la suite de son refus de tra-
                                vailler. Ils ne l'ont rendu à la liberté que le
                                26 novembre dernier, à la suite de pressa-
                                tes démarches du Général Dupont. L'autorité
                                militaire, avisée de la rentrée de Joseph
                                Blin, va ordonner une enquête et faire véri-
                                fier ses dires.

    Gallica.fr/1920/12/09 (Numéro 13413)/Le Matin/vue 3/4

     

     La Fiche de Registre Militaire du Soldat Joseph Auguste BLIN

    Renseignements pris auprès de la Mairie de Marolles-les-Braults et d'une Historienne locale, cette histoire a fait grand bruit car il s'avèrerait que le soldat Joseph BLIN n'était en fait pas prisonnier des allemands, mais qu'il filait le parfait amour avec une allemande.
    De retour dans son pays, il aurait inventé toute cette histoire pour se dédouaner et pourquoi pas, devenir un héros.
    Il se pourrait également que cette femme allemande, l'ai rejoint à Marolles-les-Braults et qu'ils se soient épousés. (c'est confirmé aujourd'hui, elle s'appelle
    Julie HEISTEL)

    Des courriers, des articles de presses et même un Télégramme du Gouvernement Allemand de l'époque, retrouvés dans les ruines de sa maison, et qui allaient être jetés aux ordures, ont été sauvés par cette Historienne, mais comme elle ne sait pas du tout s'il reste des descendants du Soldat BLIN, elle ne souhaite pas, et c'est tout à son honneur, les divulguer sans leur autorisation.
    Affaire à suivre donc ....


  • Non, non, ce n'est (presque pas) pas parce que je suis né un 6 décembre, et pour faire en sorte que vous ne l'oubliez pas

    Mais j'avais envie ce jour, de vous parler de Saint Nicolas.

     

    Autrefois évêque de la ville de Myra, située en Asie Mineure (Turquie actuelle), Saint Nicolas (270-310) serait décédé apparemment un 6 décembre. Ce serait donc pour cette raison qu'on célèbre la Saint-Nicolas ce jour-là. Reconnu pour sa grande générosité, il devint, au Moyen Âge, le patron des petits enfants puis des écoliers.
    Après la Réforme protestante survenue au XVIe siècle, la fête de Saint Nicolas fut abolie dans certains pays européens. Les Hollandais conservèrent cependant cette ancienne coutume catholique. Ainsi, les petits Néerlandais continuèrent de recevoir la visite de Sinterklaas (saint Nicolas) la nuit du 6 décembre.

     

    Au début du XVIIe siècle, des Hollandais émigrèrent aux États-Unis et fondèrent une colonie appelée New Amsterdam qui, en 1664, devint New York. En quelques décennies, cette coutume néerlandaise de fêter la Saint-Nicolas se répandit aux États-Unis. Pour les Américains, Sinter Klaas devint rapidement Santa Claus.

    Ce donateur attentionné, représenté sous l'aspect d'un vieillard à barbe blanche portant un long manteau à capuchon ou parfois même des habits épiscopaux, demeurait néanmoins un personnage moralisateur. Il récompensait les enfants méritants et punissait les ingrats et les dissipés.

     

    Après plusieurs décennies, la société chrétienne trouva plus approprié que cette "fête des enfants" soit davantage rapprochée de celle de l'Enfant Jésus. Ainsi, dans les familles chrétiennes, saint Nicolas fit désormais sa tournée la nuit du 24 décembre.

    La Saint-Nicolas est une fête principalement tournée vers les enfants, mettant en scène le saint Nicolas de Myre. C'est une tradition vivace dans plusieurs pays européens et quelques régions françaises, qui se déroule le 6 décembre ou le 19 décembre pour l'Église orthodoxe utilisant le calendrier julien

     

    On fête la Saint-Nicolas surtout aux Pays-Bas, en Belgique, au Luxembourg, au nord et nord-est de la France (en Flandre française, dans le nord de la Champagne, les Ardennes, en Franche-Comté, en Alsace où elle est fortement ancrée, et en Lorraine dont Saint Nicolas est le saint patron), en Allemagne, en Autriche, en Croatie, en Hongrie, en Pologne, en République tchèque, en Lituanie, en Roumanie, au Royaume-Uni, en Ukraine en Slovaquie, en Serbie et en Suisse.

     

    Les traditions diffèrent selon les régions. Un trait commun à ces célébrations est la distribution de cadeaux ou friandises aux enfants, qui est parfois substituée par celle du Père Noël.

    Légende:

    La Saint-Nicolas est une fête inspirée d'une personne ayant réellement vécu, Nicolas de Myre, appelé aussi Nicolas de Bari. Né à Patara au sud-ouest de l'actuelle Turquie (à l'époque Asie mineure) entre 250 et 270, il fut le successeur de son oncle, l'évêque de Myre.

    De son vivant, Nicolas de Myre fut le protecteur des enfants, des veuves et des gens faibles. Il fut bienveillant et généreux.

    L'empereur Dioclétien régnant alors sur toute l'Asie mineure poursuivit cruellement les chrétiens, entraînant ainsi l'emprisonnement de saint Nicolas qui fut contraint de vivre, par la suite, un certain temps en exil.

    En 313, l'empereur Constantin rétablit la liberté religieuse, et saint Nicolas put alors reprendre sa place d'évêque.

    Saint Nicolas serait décédé un 6 décembre 343. Il fut enterré à Myre, mais ses ossements furent volés en 1087 par des marchands italiens qui les emportèrent à Bari en Italie. Selon la légende, saint Nicolas aurait ressuscité trois enfants tués par un boucher. Les miracles attribués à saint Nicolas sont si nombreux qu'il est aujourd'hui le saint patron de nombreuses corporations ou groupes tels que les enfants, les navigateurs, les prisonniers, les avocats ou les célibataires.

    Dès le Xe siècle, une relique (une phalange du saint) fut transférée depuis Bari vers le Duché de Lorraine, et il fut édifié au Sud de Nancy une grande basilique dédiée au Saint, à Saint-Nicolas-de-Port. Vénéré et très souvent invoqué il deviendra très rapidement le saint-patron de la Lorraine. Port était une cité célèbre pour ses foires et marché et le culte de Saint-Nicolas se répandit très rapidement au delà des frontières du Duché de Lorraine et notamment d'outre-Rhin où la tradition est également très vive.

    La Saint-Nicolas est également célébrée en Allemagne dès le Xe siècle, et la journée du 6 décembre a été choisie comme le jour de la fête des commerçants, des boulangers et des marins.

    Aujourd'hui, la Saint-Nicolas est fêtée dans un grand nombre de pays d'Europe : la France, l'Allemagne, la Suisse, le Luxembourg, la Belgique, les Pays-Bas, la Russie, la Pologne, l'Autriche et d'autres encore. Dans la nuit du 5 au 6 décembre, le saint passe dans les maisons pour apporter aux enfants sages des friandises : fruits secs, pommes, gâteaux, bonbons, chocolats et surtout de grands pains d'épices représentant le saint évêque. Dans certaines régions, il est accompagné par le Père Fouettard (Zwarte Piet – Père Fouettard ou « Pierre le Noir » textuellement – en néerlandais. Hans Trapp en alsacien) qui, vêtu d'un grand manteau noir avec un grand capuchon et de grosses bottes et portant parfois un fouet et un sac, n'a pas le beau rôle, puisqu'il menace de distribuer des coups de trique aux enfants qui n'ont pas été sages ou de les emporter dans son sac et qui donne, parfois, du charbon, des pommes de terre et des oignons. Le Père Fouettard est également souvent représenté avec des cornes et une queue.

    Une partie des attributs régionaux de saint Nicolas serait inspirée du dieu scandinave Odin. En effet, ce dernier est toujours accompagné de ses deux corbeaux « qui voient tout », et de son cheval Sleipnir, tout comme saint Nicolas est dans certaines régions accompagné de deux Zwarte Pieten et de son cheval.

    Alice Miller a consacré le premier chapitre de son livre La Connaissance interdite à cette fête pour montrer comme les actions du véritable Saint Nicolas ont été détournées par les parents pour en faire une fête punitive, notamment avec l'invention du « Père Fouettard » qui n'a rien à voir avec l'histoire traditionnelle de Saint Nicolas qui, selon la légende, protégeait les pauvres et ne les battait pas.

     

    Saint Nicolas et le Père Fouettard

    Dans les Flandres françaises, le Hainaut français, le Boulonnais, l’Artois, et la Belgique, saint Nicolas défile dans les rues le 6 décembre avec les Géants.

    Le 5 décembre, veille de la fête de saint Nicolas, le patron des enfants, les écoliers nommaient, parmi eux, un évêque. Toute la journée du 6 décembre, l’élu avait le titre et les immunités d’évêque des enfants. En cette qualité, il ordonnait tout ce qui concernait la fête générale des enfants de la ville.

    Afin d’y contribuer à sa manière, l’échevinat lui faisait délivrer deux kannes, soit 6 litres, de vin.

    Ils sont nés un 6 décembre:

    Henri VI d'Angleterre (1421), Louis Joseph Gay-Lussac (1778), Guillaume II des Pays-Bas (1792), Yves Deniaud (1901), Philippe Bouvard (1929), Keke Rosberg (1948), Guy Drut (1950), Bruno Rivet (1960), Claude Chirac (1962), Stéphane Guillon (1963), Martin Hirsch (1963), Estelle Denis (1976), Alberto Contador (1982).

    Sources: Wikipédia, culture.gouv.fr naissance-mort.com


  •  Les Actualités françaises du 20 novembre 1963 sur INA.fr

     Au programme : de la boxe, un trésor nazi au fond d’un lac, Le Clézio reçoit le prix Renaudot, la mode des guêtres, bonnet à pompons et autres casquettes Sherlock, le gang des calvaires en Bretagne et bien sûr, l'assassinat de JFK à Dallas

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