• Ce Curé ne devait pas être très apprécié de sa Paroisse, si j'en juge par cette note (pas de sa main), en pleine page, en fin d'année 1716, sur les AD BMS 1700-1724 de Saint-Aignan-de-Couptrain (53).

                                                                  Le fond des habitans de cette
                                                                  paroisse est tout à fait mauvais
                                                                  envers leur curé, ils sont
                                                                  dangereux et entreprenans
                                                                  contre lui et toujours sourdement
                                                                  xxxxxxxxx
                                                                  ______________________________________
                                                                  il s'en faut beaucoup qu'ils soient tous de même

     


    F. MOREAU
    Le fameux Curé de Saint-Aignan-de-Couptrain en 1716


  • Visiter le Village d'Oradour-sur-Glane est toujours un moment d'émotion intense.
    François Hollande et Joachim Gauck, son homologue Allemand, venus hier se recueillir dans ce petit village victime de la barbarie SS en juin 1944, peuvent en témoigner, et leur moment passés main dans la main, devant ce qui reste de l'Autel de l'église, restera un des moments forts de cette visite.


    François Hollande et Joachim Gauck


    Le temps s'y est figé, mais on y ressent et je pèse mes mots, toute l'horreur et les souffrances qui donnent tout son sens à l'expression Plus jamais ça.

    Pas un bruit, juste celui des pas des visiteurs qui viennent se recueillir. On se sent presque gêné de prendre des photos, de voler quelque chose au temps passé.

    Ces quelques photos perso d'Oradour dates de septembre 2010, lors de ma dernière visite.

    Oradour sur Glane

                                                0  

    Oradour-sur-Glane est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Limousin. Ses habitants sont appelés les Radounauds ou Radounaux.

     

    1 2


    Au loin, le nouveau village d'Oradour sur Glane.
    Si l'on décida de laisser l'ancien village tel qu'il était à la suite de massacre, l'édification du nouveau bourg de la commune d'Oradour-sur-Glane fut envisagée sur un autre emplacement dès juillet 1944. Celui-ci sortit finalement de terre à l'ouest de l'ancien village-martyr dès 1949, les frais de reconstruction restant entièrement à la charge de l'État.

    In the distance, the new village of Oradour sur Glane If we decided to leave the old town as it was following the massacre, the construction of the new town in the commune of Oradour-sur-Glane was considered at an alternate site in July 1944. It finally came out land to the west of the old village martyr in 1949, the cost of rebuilding remains entirely the responsibility of the state. (texte wikipédia)

    La plaque d'entrée
    The entry plate

    3 4

     


    L'entrée d'Oradour
    The entry of Oradour Remember.

    5.


    Photos du Village

    0 0
    0 0
    0 0
    0 0
    0 0
    0 0
    0  

     

    0 0

    Les hommes sont répartis entre six lieux de supplices : ils y sont mitraillés puis leurs corps sont recouverts de fagots et de bottes de paille auxquels les nazis mettent le feu. Selon quelques rescapés, les nazis tirent bas et dans les jambes de leurs victimes; le feu est allumé sur des hommes encore vivants. La déclaration d’un rescapé établit qu'ils parlaient encore ; certains, légèrement blessés, ont pu s'échapper, la plupart des autres ont certainement été brûlés vifs.

    Men are divided between six places of torment: they are machine-gunned and their bodies are covered with bundles and bundles of straw to which the Nazis set fire. According to some survivors, take down the Nazis and the legs of their victims of the fire on the men alive. The declaration establishes a survivor they were still talking, some slightly wounded, escaped, most others have certainly been burned alive. (Texte wikipédia)

    0


    L'église d'Oradour Le groupe enfermé dans l’église comprend toutes les femmes et tous les enfants du village. Des soldats placent dans la nef, près du chœur, une sorte de caisse assez volumineuse de laquelle dépassent des cordons qu'ils laissent trainer sur le sol. Ces cordons ayant été allumés, le feu se communique à l'engin, qui contient un gaz asphyxiant (c'était la solution prévue) et explose par erreur ; une fumée noire, épaisse et suffocante se dégage. Une fusillade éclate dans l'église ; puis de la paille, des fagots, des chaises sont jetés pêle-mêle sur les corps qui gisent sur les dalles. Les nazis y mettent ensuite le feu. La chaleur était tellement forte qu'à l'entrée de cette église on peut voir la cloche fondue, écrasée sur le sol. Des débris de 1,20 m de hauteur recouvraient les corps. Une seule femme survit au carnage : Marguerite Rouffanche, née Thurmeaux. Son témoignage constitue tout ce qu'il est possible de savoir du drame. Elle a perdu dans la tuerie, son mari, son fils, ses deux filles et son petit-fils âgé de sept mois. Le chœur de l’église comprenant trois fenêtres, Mme Rouffanche se dirigea vers la plus grande, celle du milieu et à l'aide d'un escabeau qui servait à allumer les cierges elle parvint à l’atteindre. Le vitrail étant brisé, elle se précipita par l'ouverture. Après un saut de trois mètres, elle atterrit au pied de l’église et fut blessée en gagnant un jardin voisin. Dissimulée parmi des rangs de petits pois, elle ne fut délivrée que le lendemain vers 17 heures.

    The group locked in the church includes all women and all children of the village. Soldiers placed in the nave, near the choir, a kind of fairly large body of excess cords which they leave lying on the ground. These cables have been lit, the fire is communicated to the device, which contains a poison gas (this was the solution set) and exploded by mistake, a black smoke, thick and suffocating emerges. A gunfight broke out in the church and then straw, firewood, chairs were thrown pell-mell on the bodies that lay on the pavement. The Nazis then put them on fire. The heat was so strong at the entrance to the church you can see the bell melted, crushed on the floor. Debris from 1.20 m in height covered the body. One woman survived the carnage: Rouffanche Marguerite, born Thurmeaux. Her testimony is all that is possible to know the drama. She lost in the killing, her husband, son, two daughters and his grand-son aged seven months. The choir of the church with three windows, Ms. Rouffanche headed for the biggest, the middle and with a footstool that was used to light the candles she managed to reach it. The window was broken, she rushed through the opening. After a jump of three feet, it lands at the foot of the church and was hurt by winning a nearby garden. Hidden among rows of peas, it was delivered the next day to 17 hours. (Texte wikipédia)

    0 0
    La cloche de l'église, ou plutôt ce qu'il en reste
    The church bell, or rather what remains
    0 0

    0
    Le Monument aux Morts The Dead for France Memorial
    Voir la liste des victimes d'Oradour de Francis Deleu sur livresdeguerre.net

    0
    Expo photo dans le Mémorial d'Oradour
    Photo exhibition in the Oradour Mémorial

    0 0

     


  • L'édit royal de décembre 1691, supprime les anciens notaires apostoliques et crée, dans chaque évêché, de nouveaux offices de notaires royaux.


    Source Gallica.fr

    Le Décret du 29 septembre 1791 les abroge.

    Relevé sur les Affiches d'Angers du 24 septembre 1791 de AD49

     

    Vue 23/29

    Vue 24/29


    4 Notaires Royaux dans ma généalogie, dont  Charles BRINDEAU

     


     

    • Né le 15 novembre 1724 - Lassay-les-Châteaux, 53110, Mayenne, Pays de la Loire, France
    • Baptisé le 15 novembre 1724 - Lassay-les-Châteaux, 53110, Mayenne, Pays de la Loire, France
    • Décédé le 24 avril 1760 - Lassay-les-Châteaux, 53110, Mayenne, Pays de la Loire, France , à l’âge de 35 ans
    • Inhumé le 25 avril 1760 - Lassay-les-Châteaux, 53110, Mayenne, Pays de la Loire, France
    • Notaire Royal

    Parents

    • Charles BRINDEAU
      Marié avec
    • Françoise BOUVIER

    Union(s) et enfant(s)

    • Marié le 28 août 1753 , Lassay-les-Châteaux, 53110, Mayenne, Pays de la Loire, France, avec Marie PANTOU , née vers 1731 - Lassay-les-Châteaux, 53110, Mayenne, Pays de la Loire, France , décédée (Parents : H Jacques PANTOU †1745/  &  F Charlotte GONTIER ) dont
      • F Marie Charlotte BRINDEAU 1754-1756
      • F Françoise BRINDEAU 1756-
      • H Charles BRINDEAU 1757-1759
      • F Thérèse Charlotte BRINDEAU 1758-
      • H Charles BRINDEAU 1760-1766


    AD 53 BMS 1759-1769 page 42/271

     

    Étude de Lassay
     
     
    BRINDEAU Charles..........1756-1760
    Baptisé le 15 novembre 1724.
    Il obtient provisions le 24 janvier 1750 (Arch. nat., V1364, pièce 217)
    et est reçu à la sénéchaussée du Mans le 19 février suivant
    (AD Sarthe, B 673 ; AC Le Mans 117, « État et relevé des réceptions »).
    Sa veuve résigne le 19 juin 1760 en faveur de Joseph-François Maillard.
    3E 71/ 300 1756
    3E 71/ 301 1757
    3E 71/ 302 1758
    3E 71/ 303 1759
    3E 71/ 304 1760
    3E 71/ 305* Répertoire : 1753-1757
    Source: © Archives départementales de la Mayenne

  • Trouvé sur les Affiches d'Angers du 24 septembre 1791 cet Avis de recherche d'Héritiers sur le Maine et Loire.

    Recherche de la descendance de René LE THEULLE, marié en 1ere noce en 1603 Paroisse de la Trinité d'Angers avec Julienne LE ROY puis en 1623 avec Marie ALLARD, Paroisse de l'Esvière, aussi à Angers.
    Second Mariage duquel naquit à Denée, en 1627, Jacob LE THEULLE, mais ce dernier n'eut aucune descendance.


    AD 49 Les Affiche d'Angers du 24/09/1791 vue 23/29


  • Infection des boites Yahoo ce matin.
    J'en ai une 50e comme ça, dans ma boite mail, sur la totalité de mes Groupes Yahoo Généalogiques (mais je présume qu'il en va de même pour les autres)


  • L'Association généalogique de la Charente organise les Rencontres généalogiques de Poitou-Charentes Vendée
    les 19 et 20 octobre 2013, à la salle polyvalente de Merpins.

     


    Voir le plan
                Y aller

     

     

     

    Pour les Cercles et associations de Généalogie, il y aura tous les cercles fédérés au sein de l'UGPC.
    Soit une couverture très importante de presque tout le Centre-Ouest-France:

                       - AGC
                      - CGSaintonge17
                      - CG Aunis
                      - CGSudSaintonge17
                      - Généa79
                      - CGV85
                      - Cercle Poitevin Hérage 86
                      - AGLimousin87
                      - CGHHMLimousin/Marche87
                      - Généalogie en Corrèze19
                      - Agena49
                      - Cercle Soulac33
                      - Fédération Girondine de Généalogie
                      - Haillan Généalogie 33
                      - Cercle Génalogique Cestadais 33
                      - G.néa bordelaise33
                      - CG PTT National EG
                      - Fil d'Ariane

    Pour les conférences, il y en aura moins qu'en 2008, sans doute une ou deux tout au plus, dont une par
                      - Isabelle SOULARD thème décidé,
    soit :"Vie de nos ancêtres au moyen âge" ou les "droits des femmes du moyen âge à nos jours" je ne sais plus laquelle a été retenue. Le moment non arrêté sera un après midi.
    J'ai essayé de copier un lien qui refuse obstinément de s'afficher pour être copié. Voir Google.

    écrivains historiens
                      - Pierre BOULANGER sera aussi des nôtres, avec ses ouvrages.

    http://www.charentelibre.fr/2013/08/13/emile-roux-tueur-de-la-diphterieun-fleau-difficile-a-vaincre,1850445.php
    http://www.charentelibre.fr/2012/11/29/les-moulins-de-confolens-sous-la-plume-de-pierre-boulanger,1127128.php
    http://confolentais.blogs.charentelibre.fr/archive/2013/07/09/manot-un-nouvel-ouvrage-de-pierre-boulanger-171312.html
    http://confolentais.blogs.charentelibre.fr/archive/2012/05/16/saint-germain-de-confolens-un-nouveau-livre-de-pierre-boulan.html
    etc...

    - Peut être une autre personne, (non confirmé)

    Il y aura aussi des sociétés savantes,
                      - Sefco,
                      - Greh,
                      - Ihac,
                      - Pays d'Aîgre (en principe)
                      - Un libraire, le Texte Libre

    Pour les travaux spécifiques généalogie:
                      - CDIP Généatique, logiciels divers
                      - Lysandra, imprimeur d'arbres

    Tout n'est pas encore arrêté mais vous avez là, la plus grande partie des associations ou personnes qui seront avec nous.

    Amicalement
    JC Mignon

                     Source J.C MIGNON Président AGC 16
                     AGC 24 Avenue Gambetta 16000 Angoulême
     
                      http://www.genea16.net
     
                     agc-dir@genea16.net


  • Un métier que je n'avais encore jamais rencontré, Voiturier par eau

     

    Voici la définition qu'en donne Généalogie.com

    VOITURIER PAR EAU : Marin d’eau douce est sans doute la meilleure définition du métier de voiturier par eau. Loin de ressentir cette appellation comme une insulte, les mariniers en sont fiers. Depuis des siècles, ils parcourent la vieille Europe en remontant inlassablement fleuves, rivières et canaux…

    Halage animal ou halage à la bricole
    Le marinier est chargé d’acheminer, par voie fluviale, des marchandises. Sur sa péniche, il peut en transporter ainsi jusqu’à cent tonnes. Ces marchandises sont de natures différentes selon la saison. On distingue la saison du colza, celle de l’ail, des betteraves, des oignons, des charbonnettes et même des pierres.
    Pour tracter son embarcation, non encore motorisée, le marinier a deux solutions : soit le halage à la bricole, soit le halage animal.
    Le halage à la bricole consiste à tirer le bateau à l’aide d’un harnais en tissu très résistant que l’on se passe en travers de la poitrine. Selon l’importance de la charge transportée, le marinier peut effectuer cette tâche seul, avec sa femme et ses enfants, ou faire appel à des professionnels. Les canalous du centre ou les carapatas du canal Saint-Martin sont souvent des clochards désireux d’améliorer leur fin de mois.
    À la charnière du XIXème et du XXème siècle, le halage animal remplace progressivement le halage à la bricole. La traction animale peut prendre différentes formes : chevaux, mulets, ânes ou bœufs sont utilisés en fonction de la charge et des moyens du marinier.
    À travers la France, deux grandes tendances se dessinent : dans le Nord, les mariniers louent les animaux à des charretiers, tandis que les mariniers du Centre en sont propriétaires et les transportent sur leur péniche. Le voisinage entre les partisans de ces deux tendances ne se fait pas toujours dans une grande sérénité : les bateliers du Nord fustigent les "boîtes à fumier" de ceux du Centre, qui méprisent ces "mangeux d’frites".

    Voyager sans sortir de chez soi…
    Les bateliers, souvent salariés de grandes sociétés, habitent des maisonnettes posées à même la marchandise ou à fond de cale si la barge est vide. Ces baraques les suivent de bateau en bateau et même, en cas d’inactivité passagère, de port en port.
    Sur les embarcations des mariniers du Centre, les baraques sont généralement très exiguës. La vie du marinier et de sa famille se déroule essentiellement en plein air, quelles que soient les conditions climatiques.
    Les bateliers du Centre disposent également, à côté de leur baraque, d’une écurie. Celle-ci permet d’entreposer de la paille et d’héberger les animaux la nuit et durant les périodes de chargement et de déchargement. Celles-ci sont souvent très longues car le transit des marchandises est effectué manuellement.
    Extrait du chapitre concerné, dans l’ouvrage Les métiers d’autrefois, de Marie-Odile Mergnac, Claire Lanaspre, Baptiste Bertrand et Max Déjean, Archives et Culture.


  • Suite de notre virée Moscovite (du 2 au 12 aout dernier)

    Une superbe architecture pour cette vieille épicerie de la fin du XIXe, située en plein coeur de Moscou, l'Épicerie Elisseïev.


     

    L'Épicerie Elisseeff (Елисеевский Магазин) est une célèbre épicerie fine située à Moscou, dans la rue Tverskaïa. D'autres magasins à la même enseigne existent également à Saint-Pétersbourg et à Kiev. À l'époque soviétique, elle portait le nom de Gastronom 1 (Гастроном №1).

    Dans les années 1770, Piotr Elisseeff (dont un buste est présenté dans le hall d’entrée), un serf et jardinier qui a gagné sa liberté en cultivant des fraises parfaites, eut tellement de succès en affaires à Saint-Pétersbourg que ses fils purent fonder les Frères Elisseeff et ouvrir des succursales à Moscou et à Kiev.

     

    Grigori Grigorievitch Elisseeff (1865-1949)

    Vers 1898, Grigori Elisseeff acheta l’édifice de la rue Tverskaïa et le transforma en magasin de luxe, en y aménageant un décor exubérant de vitraux, de lustres en cristal, de piliers sculptés, de comptoirs en bois poli et de grands miroirs.

    Après la Révolution, les Elisseeff sont supposés avoir tenté de sauver leur or en en faisant des tiges et des connexions pour les lampes des immenses chandeliers illuminant le magasin.

    Antérieurement, dans les années 1820, cet ancien hôtel particulier avait appartenu à la princesse Zinaïda Volkonskaïa, dont le frère, le prince Volkonski, fut déporté en Sibérie pour son rôle dans la révolte des Décembristes. L'hôtel comportait un salon littéraire qui était fréquenté notamment par Pouchkine.

    L'édifice a subi des rénovations majeures dans les années 1790 et en 1898. (source Wikipédia)





    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique