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Par Bruno Rivet le 24 Mars 2014 à 09:20
Au cimetière du Roc, un des deux cimetières de Jarnac, dans le Carré réservé à nos Héros de 14/18, est érigé une Stèle en l'honneur des soldats du 22e de Chasseurs Tchéco-Slovaques tombés pendant la Grande Guerre.
Comment expliquer qu'à la fin de la Première Guerre mondiale, l'histoire locale de Jarnac a été bouleversée par un événement d'importance européenne ? En avril 1918, le 22e régiment de chasseurs tchécoslovaques est formé à Jarnac et le 21e à Cognac. Premiers balbutiements de ce qui allaient donner naissance à la Tchécoslovaquie puis la Tchéquie, le 22e Jarnacais est engagé dans l'Argonne dans les durs combats de Vouziers et Terron. Durant son séjour dans la cité des Chabots, ils furent trois à décéder de la grippe espagnole et à être ensevelis au cimetière du Roc, dans le carré d'honneur des jeunes combattants du canton de Jarnac.
(Texte: Journal Sud-Ouest du 20/03/2010)NASIM BRATRUM
(A nos Frères)Trois noms apparaissent sur le Monument:
- SLAPAK Josef
- STRUNA Josef
- CERMACHEK Uri
A
NOS
CAMARADES
DU
22e REG TCHECO-SLOVAQUE
_____ . _____
DE CHASSEURS- Hommage
Anne-Marie Mandon, présidente de Ruelle,
Valek Vojtèch, président du comité de Roundnice nad Labem,
Joseph Siktanc, membre du comité, porteur de la gerbe.
photo jacques rullierUne délégation du jumelage Ruelle-Roundnice nad Labem (Elbe) s'est recueillie sur leurs tombes avec un dépôt de gerbes suivi d'un vin d'honneur à la mairie.
D'autres soldats tchécoslovaques épousèrent de jeunes jarnacaises qui eurent des destins fabuleux comme Nadine Foucaud (palmes académiques, la médaille de l'alliance françaises et la croix de chevalier de l'Ordre national du mérite) qui épousa le lieutenant Kadlec. Jacqueline Delamain épousa un jeune ingénieur, Gustav Kleinberg, dont la fille Ludmilla épousa Daniel Sauzey qui dirigera les cognacs Delamain et habitera toujours la lande des rochers de Saint-Brice. Un autre officier, Anton Majer, fit la connaissance dans la boulangerie Chevaleyre, de la place de l'église, d'une jolie vendeuse Henriette Violon qui eut un destin fabuleux. Henriette Mayer ayant formé plus de 700 élèves à la langue française mena durant toute l'occupation de la Tchécoslovaquie une lutte magnifique de l'esprit contre la force. Le 5 mai 1945, pendant que l'armée d'occupation faisait ses valises dans la maison en face de chez elle, la femme du général de la Wertmarch la signalait à un soldat alors qu'elle allait porter secours à des Français déportés, prisonniers de guerre, libérés des geôles nazies. Une balle « dum-dum » (explosive) atteignit à la tête Henriette Mayer qui fut tuée sur le coup. Dans la salle des conférences de l'institut Ernest-Denis, le « tout Prague » fidèle à la « France Terre de liberté » lui rendit un hommage national avec les honneurs militaires le 12 mai suivant et son cercueil fut porté par les nouveaux soldats de l'armée tchèque reconstituée.
La Tchéquie ayant pris la présidence de l'Union européenne en janvier dernier, souvenons-nous que ses balbutiements virent le jour dans le Cognaçais dans les bureaux de son état-major, boulevard Denfert-Rochereau.
(Texte: Journal Sud-Ouest du 20/03/2010)Oubli réparé sur la Base Mémorial GenWeb
Lire aussi: Farac.org (Les Tchèques et les Slovaques dans le 1er conflit mondial), diplomatie.gouv.fr
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Par Bruno Rivet le 20 Mars 2014 à 18:40
Trouvé sur le Registre BMS 1666-1681 de Sainte-Gemmes-d'Andigné (49), le six may mil six cent quatre vingt, la retranscription du Mariage de Messire René d'Andigné, Seigneur de Ribou avec Damoiselle Renée Marie Suyrot.
Contrairement à ce qui est dit dans le Registre de la Noblesse de France, ce Mariage n'a pas eu lieu le 20 octobre 1679 à Niort, mais le 6 mai 1679 à Saint-Gelays (79), à 11kms de Niort.
d’argent à trois aigles de gueules becquées et membrées d’azur
Mariage célébré en la Paroisse de Saint-Gelays (79), le vingt & deux octobre mil six cent Soixante & dix neuf.+ 1680
Le Sixième jour de May mil Six Cent Quatre vingt Messire
René d'Andigné Chevalier Seigneur de Ribou, de la Blanchaye
& de cette paroisse nous a présenté l'extrait de son Mariage
avec Damoiselle Renée Marie Suyrot a présent Son épouse, tiré du
Regesté de L'église de St Gelays à Pays de Poitou Évêché de
Poitiers en ces mots ________________________________
Le Vingt deuxième d'octobre mil six cent Soixante & dix neuf
me sont présenté Messire René d'Andigné, Chevalier Seigneur
de Ribou Fils de Messire René d'Andigné en son vivant -
Chevalier Seigneur de Ribou & de dame Susanne d'Andigné
père & mère dudit Seigneur d'Andigné & damoiselle Renée Marie
Suyrot fille de Messire François Suyrot Chevalier Seigneur
des Champs & de dame Janne de Villiers père & mère de ladite
damoiselle assisté de Messire Jacques d'Andigné Chevalier
Seigneur des Couches Comme son parent proche ayant avec luy
Michel l’Étang porteur de procuration de Madame de l'Isle
pour consentir le Mariage avec toutes les cérémonies &
formes de l'église aportée soit proclamations de bans & la
permission du Sr Curé de St Gelays tant du Sr Curé
de Chiré & de celuy de Ste Gemme datté du 12 octobre 1679
& celuy de Chiré du 22 octobre 1679 portant pouvoir ...
...................................................................................................
...........................................................................................etc...
Famille D'Andigné sur Google BooksSuit le Baptême de René François d'Andigné, né du Mariage ci-dessus, le 26 septembre 1681 et Baptisé le 3 octobre 1681 à Sainte-Gemmes-d'Andigné
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Par Bruno Rivet le 20 Mars 2014 à 11:12
Encore une belle trouvaille sur les Registres de Chazé-sur-Argos(49), un Baptême pour le moins historique, Anthoine Du Bellay.
(corrigé, Anthoine plutôt que Toussaint, merci Tatiana)Le 16 jour de septembre 1619 a été baptisé Anthoine Filz
de Haut et puissant Seigneur Gui du Bellay Chevalier Seigneur de Courbe
et de Raguin et Haute et puissante
dame Marie de Pluvinel son espouse ...
(Ayant quelques lacunes en paléographie, je laisse le soin aux spécialistes de décrypter la suite)
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Par Bruno Rivet le 18 Mars 2014 à 22:04
En fouillant les Registres, on espère toujours faire de belles trouvailles, sinon pour notre généalogie, au moins pour le plaisir de tous.
Celle que je viens de faire, nous ne sommes certainement pas nombreux à l'avoir relevée.
Henry ARNAUD
1597-1692
Évêque d'Angers (1649-1692)
Sur le Registre BMS 1682-1697 de Sainte-Gemmes-d'Andigné (49)Henri ARNAULD, Curé de Sainte-Gemmes-d'Andigné (49), puis Évêque d'Angers, est décédé le 26 janvier 1692 à , à l’âge de 96 ans,
après être devenu aveugle, presque sourd et très atteint de la goutte.Le vingt et six de Janvier L'an mil Six
cent quatre vingt douze mourut vers les trois
heures après midy Messire Henry Arnault
Évêque d'Angers âgé de quatre vingt seize ans.
Depuis près de quarente ans, Évêque deux
après être devenu aveugle presque sourd et
fort abattu des gouttes. Requiem paceFin du présent mémoire ....
AD BMS 1682-1697 vue 79/174Jusque là, rien de bien extraordinaire ...
Si ce n'est ce petit texte en marge, qui lui vaut son pesant de cacahuètes.Il était mort
mais il revint
comme par
miracle de mort
à vie et il vi
encore en assez
bonne santé
fait ce 2e moy
1692
AD BMS 1682-1697 vue 79/174Il s'éteindra finalement 5 mois plus tard:
Le Dimanche septieme jour de Juin 1692 décéda ______
Illustrissime et révérendissime Henry Arnault ________
Évêque d'Angers âgé de quatre vingt dix sept _________
Ans et depuis quarente et quatre ans Évêque et fut _____
enterré Le Samedy Suivant avec beaucoup de _________
cérémonies et de tristesse étant le plus digne Évêque ___
Dont on ait entendu de nos jours. Requiem cat ________Ce qui m'étonne, c'est que ni Google, ni Wikipédia (ci-dessous) ne fasse pas mention de cette singularité exceptionnelle, qui me parait quand même d'une extrême importance ?
Aurais-je déniché une perle ?
Henri Arnauld
Henri Arnauld Biographie Naissance 30 octobre 1597
ParisDécès 8 juin 1692
à AngersÉvêque de l’Église catholique Consécration épiscopale 29 juin 1650 Dernier titre ou fonction Évêque d'Angers Évêque d'Angers ***
Henri Arnauld est un évêque janséniste, né à Paris le 30 octobre 1597 et mort à Angers le 8 juin 1692.
Biographie
Un membre de la famille Arnauld
Henri Arnauld est le second fils d’Antoine Arnauld l'avocat et de Catherine Marion. Il est donc le frère de Robert Arnauld d'Andilly, du Grand Arnauld et des mères Agnès et Angélique, abbesses de Port-Royal. Il est enfin l’oncle de Simon Arnauld de Pomponne, ministre de Louis XIV.
L’abbé mondain et le diplomate
Henri Arnauld fait des études de droit et reçoit en parallèle la tonsure en 1615. Il exerce un temps le métier d’avocat, à la suite de son père. Après la mort de celui-ci, il refuse d'être pensionné par les protecteurs de son père et se tourne vers une carrière ecclésiastique. Il prend le nom de M. De Trie (ou Trye), du nom d'un fief hérité de sa mère, près de Montmorency. En 1621, il part à Rome comme secrétaire du cardinal Bentivoglio, ancien nonce apostolique en France. Il refuse la charge d’auditeur de rote, prestigieuse mais contraignante. Il y rencontre l'ambassadeur de France à Rome, Noël Brûlart de Sillery, qui lui pourvoit l'abbaye Saint-Nicolas d'Angers en 1622.
Il en prend possession en 1624, et devient la même année aumônier ordinaire du roi et prend les ordres mineurs et majeurs à Rome. Il rentre en France en 1625 et partage sa vie entre Paris et Pomponne, domaine de son frère Robert Arnauld d'Andilly.
Grâce à la protection de son cousin Manassès de Feuquières, il reçoit l’archidiaconé de Vittel avant d’être élu évêque de Toul (1637). L’élection est acceptée par le roi mais le pape Urbain VIII refuse de lui envoyer sa bulle de provision. Il fréquente alors les salons, notamment celui de Madame de Rambouillet, écrit des vers et correspond notamment avec Jean Chapelain, Balzac ou Valentin Conrart.
D’après les Mémoires de son frère, il refuse l’évêché de Périgueux et la charge de visiteur général en Catalogne et se tourne encore une fois vers l’Italie. Le cardinal Mazarin le charge d’une mission diplomatique en 1645 après l’avoir nommé conseiller d’État.
Il doit réconcilier le pape Innocent X avec la famille Barberini afin de s’opposer au parti espagnol à Rome. Henri Arnauld demeure en Italie de 1645 à 1648, en compagnie de son neveu Antoine, effectuant également de courtes missions à Parme ou à Florence.
L’évêque janséniste
Peu de temps après être rentré en France, il est nommé évêque d'Angers par le roi (30 janvier 1649). Sacré dans l’église de l’abbaye de Port-Royal de Paris, il gagne définitivement Angers à la fin de l’année 1650, décidant de strictement résider dans son diocèse. Avec Nicolas Pavillon, Il constitue le modèle de l’évêque janséniste. Il s’entoure de personnes capables et intelligentes et entreprend de régulièrement visiter son diocèse et surveille le clergé séculier.
En janviers 1652, alors qu'il était parti porter ses condoléances à un ami, la fronde angevine éclate. Il est arrêté aux Ponts-de-Cé alors qu'il regagne Angers. Réfugié à Brissac puis à Saumur, il exhorte la régente Anne d'Autriche à l'indulgence et réussi à diminuer les représailles que les troupes royales devaient faire subir à Angers, sans pouvoir empêcher les exils des conjurés.
Son jansénisme amène cependant des situations de conflits avec le pouvoir royal. En particulier, il fait partie des quatre évêques qui refusent de signer le Formulaire, avec Nicolas Pavillon, François-Étienne de Caulet et Nicolas Choart de Buzenval.
Après la Paix de l'Église, Henri Arnauld se voue entièrement à son diocèse : il rédige un catéchisme avec les évêques de Luçon et de La Rochelle, tente de convertir les protestants d’Anjou, poursuit ses visites pastorales. Il est ainsi en odeur de sainteté dans son diocèse et dans les cercles jansénistes : Madame de Sévigné écrit ainsi : « Sa sainteté et sa vigilance pastorale est une chose qui ne se peut comprendre. […] J’ai trouvé dans sa conversation toute la vivacité de l’esprit de ses frères. C’est un prodige, je suis ravie de l’avoir vu de mes yeux » (lettre du 21 septembre 1684).
Il meurt le 8 juin 1692. Le corps est exposé pendant 6 jours pour permettre aux angevins de se recueillir. Le curé de Sainte-Gemmes-d'Andigné écrit sur son registre: « Ce fut le plus digne évêque dont on ait entendu de nos jours ». Ses obsèques sont solennels. Il est enterré dans le bras gauche du transept de la cathédrale d'Angers, sous une dalle en marbre.
Source: Wikipédia
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Par Bruno Rivet le 18 Mars 2014 à 10:12
Juvénal, c'est la 1ere fois que je rencontre ce prénom.
Juvénal ou Juvenal est un prénom masculin, fêté le 12 septembre ou localement le 30 août.
Il vient du latin Iuuenalis, nom porté par Juvénal.
Variante: Jouvenel
- Saint Juvénal (merci Jean-Michel Girardot)
- Juvénal
Poète -
Juvénal est un poète satirique latin de la fin du Ier siècle et du début du IIe siècle de notre ère. Il est l'auteur de seize œuvres poétiques rassemblées dans un livre unique et composées entre 90 et 127, les Satires. (Wikipédia)
- Lieu de naissance : Aquino, Italie
- Date de décès : 130 ap. J.-C.
- Livre : Satires
Acte de Baptême de Juvénal
Fils de Pierre CADOTZ (Filassier) et de Jeanne TRILLOT
le trois may 1683
à Champteussé-sur-Baconne (49)
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Par Bruno Rivet le 16 Mars 2014 à 23:06
Décidément, à Querré (49), les morts violentes se suivent à une allure ....
Le vingt.me Janvier 1678 a esté inhumé au
Petit Cimetière de Céans le Corps de deffunt Jacques
Bachelot laboureur âgé d'environ trante & quatre
ans, lequel abatant un Chesne avec d'autres
buscheurs dans le bois des motes fut si malheureusement
écrasé par une branche qu'il ne luy resta aucune
figure humaine, la sépulture faites en pnce de
Perrine Thomas sa veufve du deffunt, françois
Bodard, Pierre Bruneau, rené Rondeau &
plusieurs autres qui ne savent signer
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Par Bruno Rivet le 16 Mars 2014 à 21:17
Mort à 7 ans, sous les coups de cornes d'un bélier.
Le quatrième Jour d'Aout mil Six cents Soixante et
quatorze a esté ensépulturé au petit cimetière de céant
par moy Curé Soussigné assisté de Mr Placé Prêtre Chapelain
de cette église le corps de deffunt Marin Livernage âgé
de sept ans et demy ou environ, enfant d'un esprit admirable
et naturel aimable, lequel a fini sa vie par un accident
assez facheux, car estant allé le jour de feste de St Jacques
à la Cour de Maillé avec un enfant de son âge pour se
divertir, un bélier d'une stature assez grande et d'ailleurs
fort âgé luttant contre luy, le terrassa par plusieurs
fois, et n'y arrivant aucun secours il lui perça la
teste avec ses cornes quoique déjà sciées dont plusieurs
trous passoient à la cervelle, de quoy il est mort, non sans
tous les remèdes que plusieurs .....
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Par Bruno Rivet le 14 Mars 2014 à 14:29
Emma SAÏD BEN MOHAMED voit le jour le 10 décembre 1876, à Soissons (02), dans la voiture de ses Parents, stationnée rue de la Paix à Soissons.
Saïd BEN MOHAMED, d'origine berbère du Maroc, né à Mogador en 1827, est artiste acrobate et Marguerite BRACCO, née à Murazzano en 1830, est, elle aussi artiste acrobate.Emma épouse, en 1894, Eugène Maillard, rencontré lors d'une tournée en Italie, où elle présentait un numéro de puces sauteuses au «Teatro estivo», sous le nom d'Acha.
Ils auront une fille, en 1895, Annetta Maillard, qui deviendra chanteuse sous le nom de Line Marsa.
Line MARSA
(Anneta Giovanna MAILLARD)
1895-1945Annetta épousera Louis Alphonse GASSION, contorsionniste-antipodiste, le 4 septembre 1914, à Sens-89)
Louis Alphonse GASSION
1881-1944Il auront une fille, Édith Giovanna GASSION, née le 19 décembre 1915 à Paris
Louis Alphonse Gassion - Anneta Giovanna MAILLARD
Édith Giovanna GASSIONÉdith Giovanna GASSION, plus connue sous le Pseudonyme d'Edith Piaf
J'ai l'infime honneur de cousiner (collatéral) avec la Famille GASSION et donc avec Edith PIAF
- Voir sa fiche dans mon arbre
- Sources: Wikipédia, Google Images,
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