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Trouvé sur le Registre BMS 1624-1700 de Boquého (22).
Joseph TANGUY, le Recteur de Boquého, tient son listing des différentes demandes en confession.
Merci de m'aider à tout transcrire
- La Confession Sacrementielle peut elle effacer toutes
sortes de péchés mortels ? - Entendez-vous ce que dit Saint Paul qu'étant un homme saint et miséricordieux quoi qu'il la demande avec l'amour...
- Comment expliquez-vous ce qui est dit d'Anthio...
- Que veut dire
- Qu..
- Qu..
Conférence Spirituelle
- La Confession Sacrementielle peut elle effacer toutes
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Je n'avais jamais trouvé ce nom pour dire Laboureur, depuis que j'ai commencé ma généalogie, mais alors là, sur les Registres de Boquého (22) AD BMS 1624-1700, on en trouve à la pelle.
A différencier du Laboureur de Mer qui lui est Marin pécheur.
Yvon LE SOUDER, mon sosa 2328
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Je n'avais jamais trouvé ce nom pour dire Laboureur, depuis que j'ai commencé ma généalogie, mais alors là, sur les Registres de Boquého (22) AD BMS 1624-1700, on en trouve à la pelle.
A différencier du Laboureur de Mer qui lui est Marin pécheur.
Yvon LE SOUDER, mon sosa 2328
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Signalez-moi notre cousinage, si vous le découvrez
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comme Saint-Bernard (Le Col du Grand Saint-Bernard)
Le Grand-Saint-Bernard, anciennement appelé Mont-Joux, est un col des Alpes pennines situé à 2 469 mètres d'altitude en Suisse (la frontière avec l'Italie passant quelques centaines de mètres au sud du col), sur la commune de Bourg-Saint-Pierre du côté suisse et de Saint-Rhémy-en-Bosses du côté italien. Il sépare la vallée du même nom, dans le val d'Aoste au sud, du val d'Entremont, situé en Valais au nord et constitue un passage entre le mont Mort et la pointe de Drône, tous deux situés sur la frontière italio-helvétique. C'est le troisième plus haut col routier des Alpes suisses et le sixième plus haut d'Italie.
- Mais pour moi, c'est aussi le sujet de ma collection, Bonaparte 1er Consul, au Passage du Saint-Bernard (Peinture de David) (voir article précédent).
Voici l'histoire vrai de ce passage:
Le passage du col du Grand-Saint-Bernard demeure un épisode légendaire de l'épopée napoléonienne. Si en 1799 et 1800 nombre de cols suisses furent franchis par les armées françaises, russes et autrichiennes, seul le Grand-Saint-Bernard a été retenu par l'Histoire. En effet, grâce à une habile commande passée au peintre David, la propagande consulaire a laissé à la postérité la plus célèbre représentation de Napoléon, Bonaparte franchissant le Grand-Saint-Bernard, sorte d'icône des temps modernes dont l'original est conservé au musée national des châteaux de Malmaison et Bois-Préau. Le Premier Consul y apparaît comme un héros "calme sur son cheval fougueux", véritable incarnation de la conquête militaire. La réalité fut cependant bien plus prosaïque.
Lors de la deuxième cohalition, alors que l'armée du Rhin dirigée par Moreau manoeuvrait en Allemagne, Bonaparte décida de se rendre au secours de Masséna enfermé dans Gênes par les Autrichiens. A la tête d'une armée de Réserve forte de quarante mille hommes, le Premier Consul choisit de faire au plus court et de passer par le col du Grand-Saint-Bernard, réputé infranchissable. Le général Marescot fut chargé de la reconnaissance du passage des Alpes.
Du 16 au 20 mai 1800, l'armée de Réserve entreprit donc cette traversée, comparée par les comptes-rendus de l'époque à celles des soldats d'Annibal et de Charlemagne (David reprit d'ailleurs la comparaison gravée sur les rochers en bas dans son tableau). C'est à dos de mule que Bonaparte parvint au sommet, dans des conditions rendues périlleuses par la neige et le froid. Il fut reçu au couvent du mont Saint-Bernard par le père Berenfaller. Après quelques heurts avec des détachements autrichiens du côté italien, l'armée française fut retenue par la résistance inattendue du fort de Bard (19 mai). Elle parvint dans le Piémont le 25 mai et s'apprêta aux combats contre les Autrichiens qu'elle battit à Marengo le 14 juin suivant.
La route empruntée par l'armée de Bonaparte peut se visiter aujourd'hui depuis Martigny où le Premier Consul établit son Q.G. du 17 au 20 mai dans la prévôté du Grand-Saint-Bernard jusqu'à Verrès, dans le val d'Aoste, où il s'installa le 25 mai. A Bourg-Saint-Pierre, Bonaparte déjeuna à l'Auberge de la Colonne militaire devenue depuis l'Hôtel du déjeuner de Napoléon Ier. La mairie expose dans son hall d'entrée la lettre promettant dédommagements et réparations à la commune pour son aide et les dommages subis.
Au col du Grand-Saint-Bernard où Bonaparte fit halte le 20 mai en fin d'après-midi, le bâtiment de l'ancien hospice abrite un musée retraçant l'histoire du lieu et conservant des souvenirs de ce passage historique. C'est là également que repose le général Desaix tombé à la bataille de Marengo. Dès le mois de juin 1800, Bonaparte ordonna l'édification du tombeau au Grand-Saint-Bernard, bien que Desaix n'eut pas traversé les Alpes avec l'armée de Réserve. Le corps du jeune général, demeuré à Milan depuis 1800, y fut inhumé en 1805 en présence de Berthier représentant l'Empereur. Un monument commémoratif fut installé en 1806 dans la chapelle (déplacé en 1829). Le général Desaix repose anonymement sous un autel consacré à Sainte-Faustine.
La route du col passe par Etroubles et descend ensuite vers Aoste où le palais épiscopal abrita Bonaparte du 21 au 24 mai. Puis c'est Bard et son célèbre fort au pied duquel une plaque commémorative rappelle que Stendhal reçut ici le baptême du feu.Source: http://www.napoleon.org
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Je cherche un mariage, j'en trouve quatre pour le même prix, merci en passant à Thierry Chestier (Président du Cercle Généalogique Poitevin) qui m'a dépatouillé le temps que j'arrive à me connecter sur les AD79.
Plus une tripotée de Cousins Germains et deux autres Frères en primeA Coulonges-les-Royaux, aujourd'hui Coulonges-sur-L'Autize (79)
Le Dix huit février mil sept cent quarante trois après les publications
de bancs faites à la messe paroissiale sans qu'il ait apparu aucune
aucune opposition civile ou canonique, je soussigné ay reçu les mutuels cons..(déchiré)
de mariages des Charles BRUNET avec Louise JEANROUSSEAU, de Pierre
BRUNET avec Marie JEANROUSSEAU, de Louis JEANROUSSEAU avec Renée
BRUNET et de Pierre JEANROUSSEAU avec Elisabeth BRUNET et leur
ay à tous par paroles de présent donnés la bénédiction nuptiale.
En présence de Charles BRUNET et de Louis JEANROUSSEAU pères
de toutes les parties, d'André et François JEANROUSSEAU Frères
Pierre Maudet cousin germain de des Jeanrousseau, Jean Jeanrousseau et
Pierre Jeanrousseau cousins germains, de Charles Chassereau beau frère
des Brunet, d'André Fauger cousin germain des Brunet de Pierre
Girard aussi cousin germain, de Jean Giraudeau aussi cousin germain
des Brunet dont les une signes, les autres ont déclarés ne
savoir signer.AD BMS 1720-1750 vue 290/419
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Il y a tout juste 100, le 21 avril 1913, le journal Le Petit Courrier (d'Angers) titrait:
Gaston Farelicq fut policier à Paris pendant trente ans (à partir de 1896). Il participa -activement - au siège de Nogent -sur- Marne et à celui de Choisy- le- Roi. En outre, il participa à l'organisation de diverses exécutions capitales, notamment celles de ces trois membres de la bande à Bonnot, le 21 avril 1913, devant la prison de la Santé. De service au pied de l'échafaud, il raconte :
« Le ciel était de plomb ce jour-là, pendant que Deibler et ses aides construisaient la sinistre machine. Soudain, il fut traversé d'une traînée lumineuse et les becs de gaz s'éteignirent un à un. 4h25. Un roulement. C'est la voiture qui arrive lentement sur le pavé et s'arrête devant la lugubre machine. Deibler descendu le premier la fait avancer un peu...........La double portière du fond s'ouvre. Et à la lueur falotte d'une lampe qui se balance au bout d'un bras on distingue, sur deux bancs latéraux qui se font face à face, d'un coté les aides, de l'autre les condamnés, au col largement échancré. Au fond, Monier, au milieu, Callemin, à l'autre Soudy, déja placés dans l'ordre de leur destin.
Soudy s'avance le premier...........
- Au revoir, camarades ! dit-il.
- À tout à l'heure ! répond Monier.
- Il fait froid, ajoute-t-il, d'une voix étouffée pendant qu'il descend.
Mais il est saisi, précipité et le couteau tombe. Un coup d'éponge et on le remonte.
C'est au tour de Callemin. Il gouaille : « C'est beau, l'agonie d'un homme. » Puis il se livre et son corps rejoint celui de Soudy dans le lugubre panier.
Alors le dernier, Monier, le plus âgé, apparaît à son tour. Deux fois déjà il a entendu résonner la chute sinistre. Très maître de lui et phraseur jusqu'au bout, levant la tête et regardant bien en face ceux qui l'entourent il dit d'une voix
nette :
- Adieu à tous, Messieurs et à la société aussi.
Puis au moment où il met le pied sur le premier échelon : « Au revoir ! ». C'est bien fini cette fois. Il est 4h52 ! Dans le panier c'est un mélange de trois corps et de trois têtes.
La toilette de la machine s'opère pendant que l'abbé Geispitz, le vénérable aumonier, très èmu, raconte à voix basse que Soudy et Monier l'aimaient bien et lui avaient demandé de les accompagner à l'échafaud, tandis que Raymond la science, irréductible, avait accueilli ses pieuses exhortations par ces mots désenchantés : Hélas ! vie sans lendemain ! qui peuvent bien servir d'épitaphe à cette jeunesse disparue en quelques jours pour avoir écoutez les mauvais bergers et voulu la vivre sans frein ni loi, en dépensant contre la société dans des conditions spasmodiques des trésors de vitalité, d'énergie et d'audace dont elle eût pu leur être reconnaissante s'ils avaient été employés à son profit »
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Soudy, Callemin et Monnier, sont les 5ème, 6ème et 7ème guillotinés sur le bd Arago, après l'arrêt des exécutions sur la place de la Roquette.
Ils sont portés sur les « Carnets d'exécutions » d'Anatole Deibler avec la numérotation :
162-66
163-67
164-68Source: guillotine.cultureforum.net
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Février 1814 : la campagne de France tourne mal ; les généraux ne suivent plus les plans de Napoléon, qui a remporté sa dernière victoire lors de la bataille de Montereau le 18 février. L’Empereur constate : « On ne m’obéit plus ! On ne me craint plus ! Il faudrait que je fusse partout à la fois ! » Il arrive à Fontainebleau le 31 mars avec le projet d’attaquer Paris, occupé par les ennemis. Mais le Sénat et le Corps législatif proclament sa déchéance, et les maréchaux refusent de tenter un dernier assaut. Napoléon propose une abdication conditionnelle : le roi de Rome serait empereur, et Marie-Louise régente. Dès qu’il prend connaissance de la trahison de Marmont, duc de Raguse, qui livre ses troupes à l’ennemi, le tsar Alexandre refuse l’abdication sous condition, et les sénateurs appellent Louis XVIII à régner. Le 6 avril, Napoléon accepte d’abdiquer sans conditions et de bénéficier de la souveraineté de l’île d’Elbe ainsi que d’une rente de deux millions versée par le gouvernement français, tandis que Marie-Louise se voit confier le duché de Parme avec droit de succession pour son fils. Le mercredi 20 avril, c’est le départ pour l’île d’Elbe.
Source: histoire-image.org