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Bonjour à tous ;)
J'ai un souci avec une date du calendrier Républicain.
La conversion Généanet et la date que j'ai dans mon arbre ne correspondent pas ?
François BIGARET mon sosa 198 est décédé le troisième jour du troisième mois de l'An Second.
AD49/Aviré/BMS 1776-An IV vue 206/243
J'ai comme date le 22 Fructidor 1793 dans mon arbre soit le 08/09
La date "grégorienne" en marge est le 3 décembre 1793 soit le 13 Frimaire
Généanet me donne le 2 Nivose 1793 soit le 22/11
et si je calcule avec le 3e mois, j'obtiens le 3 Frimaire 1793 soit le 23/11 (Vendémiaire, Brumaire, Frimaire) ?Un grand merci à tous, ici, sur Twetter et Facebook, en effet, on écrit treizième avec un Z et troisième avec un C, donc, la date serait le 13e frimaire de l'An II, ce qui donne bien le 3 décembre 1793
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On est sauvé, la Mariée est bien présente et surtout consentante à son Mariage, ce 6 aout 1715 à Saint-Laurent-des-Mortiers (53).
Re-Mariage de Pierre COQUEREAU, fils de mon sosa 1552, avec Marie GESLIn (aussi re-Mariage)
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soussigné Pierre COQUERAU Veuf de défunte
Renée SOURDRILLE, Laboureur agé d trentre quatre
ans, fils de défunt Pierre COQUEREAU et de Jacquine
TOUCHET d'une part et Marie GESLIN Veuve de
défunt François VERGER agée de vingt sept ans
présente et consentante de la paroisse de Bierné
d'autre part .....
Mariage célébré le 6 août 1715 à Saint-Laurent-des-Mortiers (53)
Retranscrit sur le Registre BMS de Champigné (49) 1761-1792 vue 435/451
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Elle se fait remettre à sa place, la Veuve LE GRAND, pour avoir vociféré envers Julien HOUDU et Marie GUYARD sa femme, mes Sosa 712 et 713, des gens d'honneurs, comme ils disent.
Le vingt quatre avril mil sept cens dix huit
sur la signature donnée à la veuve LE GRAND à la requète
de Julien HOUDU nos parroissiens au sujet de certaines
paroles iniurieuses qu'il dit avoir reçu de la dite LE
GRAND les avons accordés et la ditte LE GRAND en présence
de Sr François GENOIT marchand cerger de Durtal
de ? René ALLAIRE marchand du dit Chemiré, a
reconnus le dit HOUDU et se femme pour gens d'honneur
et se sont le dit HOUDU et sa femme et le ditte LE
GRAND reconnus récoproquement comme tels et
promis à l'avenir de ne dire aucune parole
iniurieuse sous peine de trente sol demande
appliquable aux pauvres de le ditte parroisse dont
ils sont convenus devant nous Pretre Curé
Soussigné les dits témoins
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C'est la 1ere fois que je trouve des Premières Communions sur un Registre BMS
Le dimanche de l'Octave de la Fête Dieu (*) onze juin
mil sept cent dix neuf ont fait leur première
Communion François GUERTIN agé de ....
Urbain JEHERE agé de ....
Renée GODRON agé de .... François EON agé de
quinze ans
Magdelaine GODRON agée de douze ans cinq mois
Marie QUENTIN agée de douze ans six mois, Anne Jamin
agée de douze ans quatre mois. Anne THEULIER agée de treize ans et demi
Jeanne LANGLOIS agée de treize ans un mois, Magdelaine
DOBERT agée de treize ans
Cécile CHELOT agée de douze ans deux mois.
AD 49/Chemiré-sur-Sarthe/BMS 1715(février)-1792 Vue 40/564(*) Avant 1955, le jour Octave, c’est-à-dire aujourd’hui, ne le cédait qu’à une fête de Ière classe ‘primaire’, c’est-à-dire la Nativité de St Jean-Baptiste (quand Pâques tombe un 18 avril), la fête des Sts Pierre et Paul (quand Pâques tombe un 23 avril) et les fêtes locales de la dédicace ou du titulaire de l’église et des patrons principaux du lieu. C’est dire l’importance qu’avait cette Octave dans l’année liturgique avant 1955.
Jusqu’en 1929, les vêpres du jour étaient celles de la Fête-Dieu, en 1929, elles furent remplacées par les 1ères Vêpres du Sacré-Cœur : jusqu’en 1929, la Fête du Sacré-Cœur était en effet une fête de Ière classe ‘secondaire’, la seule d’ailleurs, et la réforme de Pie XI concernant les règles liturgiques de la Fête du Sacré-Cœur en 1929 la mit au rang des plus grandes fêtes : ce qui explique le changement des Vêpres. Pie XI introduisit aussi des changements au 1er Nocturne du jour Octave.
Source: http://www.introibo.fr
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C'est le nombre de signatures sur l'acte de Mariage de Jean RICHE, Marchand de draps et de soies de la Ville d'Angers (49), avec Magdelaine GODRON de cette paroisse, ce 21 février 1735 à Chemiré-sur-Sarthe (49).
Le vingt et un février mil sept cent trente (cinq) après
la publication des bans faite en cette église et celle
de St Pierre d'Angers Canoniquement une fois seuement
sans oppositionvenue à notre connaissance comme il paroit
par le certificat du Sieur Curé de St Pierre en datte du
vingt février mil sept cent trente cinq. Signé J. PRUDHOMME
La dispense des deux bancs ayant été accordées par Mrs
LE GOUAD? Vic. généarl en datte du treisième du dit mois et
an et par Mrs Les Doyen et Chanoines de l'Eglise d'Angers en
datte du quatorze ddu dit mois et an. Le tout infirmé
et controllé et registré les Fiancailles faittes le même
jour ont été épousés par nous Prestre Soussigné avec
la permission de Mr le Curé, le Sieur Jean RICHE
marchand de draps et soye de la ville d'Angers fils de
Feu Sieur François RICHE l'Aisné marchand, ancien Juge
en la Juridiction Consulaire de la ville de Poitiers et de
défunte Damoiselle Marie DE COSSE de la Paroisse de
St Pierre d'Angers d'une part le dit marié agé d'environ
trente cinq ans et Damoiselle Magdelaine GODRON
agée d'environ vingt six ans, fille de Feu Sieur
Michel GODRON marchand Germier et de Damoiselle Marie
CAMERELLE présente et consentente de cette Paroisse
d'autre part. en présence de Pierre, René, Yves et Jeanne
les GODRONS, Frères et Soeur de la Mariée, de René ALLAIRE,
de Vénérable et Discret Maistre René De La BARRE Prestre
Vic. de Chambellay, de Maistre Pierre BOUCHARD
Notaire Royal, de René GODRON, tous proches
parents de la mariée de cette Paroisse et de
plusieurs autres parents et amys qui ont bien
connaistre les dits mariés et leur domicille et ont
signé avec nous.
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Le Curé de Chenillé-Changé (49) était-il trilingue ?
Le Régistre BMS 1573-1674 commence par d'étranges signes "cabalistiques", qui s'avèrent, après réflexion, être un condensé de Latin, d'alphabets Grec et Hébraïque.
IHS (Jésus Christ) et MA (Vierge Marie)Le monogramme IHS (parfois JHS) est une abréviation et une translittération imparfaite du nom de « Jésus » en grec : Ι = J, Η = E et Σ = S1 (JES. = Jesus/Ιησους, IHΣOYΣ = nom complet en grec). (Wikipédia)
En extrapolant: IHΣOYΣ ou Ichtus (du grec ancien ἰχθύς / ikhthús (« poisson »)) est un symbole chrétien utilisé du Ier siècle au IVe siècle, devenu au XXe siècle un symbole graphique représentant un poisson formé de deux arcs de cercle, ainsi qu'un acronyme (ou un acrostiche).
Le poisson représente l'eau du baptême. Par ailleurs, le mot forme, en grec ancien (langue véhiculaire davantage parlée dans l'Empire romain que le latin), un jeu de mots puisque c'est aussi l'acrostiche du nom attribué à Jésus sur laquelle repose la foi chrétienne (saint Jean, 1 ° Épître, 3:23, Croire que Jésus est le Christ c'est-à-dire le Messie attendu des Juifs), Saint Pierre, première épître : « Tout repose sur le Nom de Jésus »)
— Saint Augustin, La Cité de Dieu, XVIII, 25« Ajoutez à cela que, si l’on joint ensemble les premières lettres de ces cinq mots grecs que nous avons dit signifier Jésus-Christ, Fils de Dieu, Sauveur, on trouvera Ichthus, qui veut dire en grec poisson, nom mystique du Sauveur, parce que lui seul a pu demeurer vivant, c’est-à-dire exempt de péché, au milieu des abîmes de notre mortalité, semblables aux profondeurs de la mer »
- I (I, Iota) : Ἰησοῦς / Iêsoûs (« Jésus »)
- Χ (KH, Khi) : Χριστὸς / Khristòs (« Christ »)
- Θ (TH, Thêta) : Θεοῦ / Theoû (« de Dieu »)
- Υ (U, Upsilon) : Υἱὸς / Huiòs (« fils »)
- Σ (S, Sigma) : Σωτήρ / Sôtếr (« sauveur ») (Wikipédia)
La date de 1614 nous laisse à penser que ces signes ne datent pas de 1573 comme on pourrait le supposer, mais plutôt qu'ils auraient été inscrit un demi siècle plus tard, par le curé de l'époque.
Sur le feuillet suivantLa 1ere ligne, si j'en juge par le Π. (pi), au centre, me semble être des lettre de l'ancien alphabet grec
Λ . Λ (2 Lambda) Π. (pi) Β. (Béta) Υ. (Ípsilon) Ρ. (Ro) Κ. (Kappa) Δ. (Delta) NA. (Nu Alfa) Π. (Pi) Μ. (Mu) Η. (Êta) Σ. (Zigma) Ω. (Oméga) et quelques autres.
La 2e ligne c'est de l'Hébreux, que j'ai fais traduire à un ami israélien. Il s'avère que cela fait partie du verset du Deutéronome (*) qui parle des préparatifs de la Torah (**) au Sinaï.
(*) Le Deutéronome (du grec τὸ Δευτερονόμιον, tò Deuteronómion, la seconde loi, en hébreu דְּבָרִים Devarim, paroles) peut être lu comme le cinquième livre de la Bible hébraïque ou Ancien Testament et dernier de la Torah (le Pentateuque chrétien) ou comme le premier livre de l'historiographie deutéronomiste. Il contient le récit des derniers discours de Moïse aux Israélites et le récit de sa mort, avant qu'ils n'entrent au pays de Canaan, sur l'autre rive du Jourdain.
Il est intitulé en hébreu Devarim (prononcer /dva.ʁim/), c'est-à-dire Paroles, qui sont les premiers mots du texte ou Michné Torah, la répétition de la Torah. (Wikipédia)
Sefer Torah exposé à la synagogue
de la Glockengasse, à Cologne.(**) La Torah est au Judaïsme ce que l'Ancien Testament est au Christianisme. Elle est, selon la tradition Judaïque, l'enseignement divin transmis par Moïse (תּוֹרַת־מֹשֶׁה – Tōraṯ Mōshe) au travers de ses cinq livres (hébreu : חמשה חומשי תורה – Ḥamishā Ḥoumshē Tōrā) ainsi que l'ensemble des enseignements qui en découlent. Le christianisme, qui ne reconnait pas les enseignements rabbiniques, nomme les livres traditionnellement attribués à Moïse le Pentateuque, mot d'origine grecque Πεντάτευχος signifiant « Les cinq livres ».
Elle est composée de cinq livres désignés en hébreu par le premier mot du texte et traditionnellement en français : la Genèse (Berēshīṯ : Commencement), l'Exode (Shemōṯ : Noms), le Lévitique (Wayyiqrā' : Et il appela), les Nombres (Bamiḏbar : Dans le désert), le Deutéronome (Devarim/ Deḇārīm : Choses).
La Torah sert de charte historique et doctrinale au judaïsme orthodoxe. Elle est également reconnue par le christianisme, bien que celui-ci soutienne que ses pratiques et lois seraient accomplies et auraient perdu de leur pertinence devant le Nouveau Testament, et en partie par l'islam, selon lequel elle aurait été falsifiée.
Elle contient, selon la tradition juive, 613 commandements et comporte, outre la composante écrite (hébreu : תורה שבכתב, Tōrā sheBikhtāḇ : « Torah écrite »), une dimension orale (hébreu : תורה שבעל פה, Tōrā sheBeʿal Pe : « Torah orale »), ultérieurement compilée dans le Talmud et la littérature midrashique. (Wikipédia)
Merci à vous, si vous arrivez à déchiffrer autre chose.
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Trouvé sur le Petit Journal d'Angers en date du 1er aout 1941
Une Fermière à l'Honneur
Un concours vient d'être organisé, sous l'égide du Maréchal, ayant
pour but de récompenser les femmes des mobilisés prisonniers et,
particulièrement, celles dont les maris ou fils sont tombés au champs
d'honneur et qui, par leur activité, ont réussi à atteindre les mêmes
résultats de production, ou les plus approchants, qu'auparavant.
Ci-dessus: Mme Valentine LEVIEUX, de Souvigny (commune de La
Rochelle), veuve de 54 ans, qui a gagné le premier prix. Son Fils et son
gendre sont prisonniers. Avec sa fille, comme seule aide, elle a réussi à
obtenir un résultat identique à celui de 1938-1939
FULGUR.
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Trouvé sur les AD 37, à Bréhémont, l'acte de sépulture de René BONNET dit "Feuilleton", le 23 juillet 1739.
Je me pose alors la question, et Google ne veut pas m'aider, qu'est-ce qu'un "Feuilleton" au XVIIIe siècle ?
Si l'on exceptent, bien évidement la version "série télévisée", il ne nous reste plus trop de choix que la partie d'une page (entre un cinquième et un tiers de la surface), et là, j'ai du mal à penser que la littérature de l'époque soit si diffusée qu'elle laisse ce terme comme "Surnom", dans un Village d'Indre-et-Loire, peuplé au bas mot d'un millier d'âmes.
Le vingt trois de juillet 1739 a été inhumé dans le cimetière de cette paroisse
par nous prestre soussigné le corps de René BONNET dit feuilleton âgé d'environ
quarante ans en présence de Marie COTTIER sa femme en ???? et de
plusieurs autres ses parents et amys