• Trouvé sur le registre BMS 1715 (10 mars)-1741 (17 janvier) de Marigné (49)

    Mort d'un inconnu reconnu

    Le vingtneufieme jour de septembre mil sept cent vingt, a été
    inhumé le corps d'un homme qui jeudy dernier s'en venant
    d'Angers a resté malade chez le nommé Jacques CADO closier du petit
    Oyré en cette paroisse, auquel il dit qu'il estoit de Mayenne,
    Il parraissoit agé d'environ quarante à quarante cinq ans. Il
    demanda vendredy un prêtre mais lors qu'il y fait il n'avoit
    aucun jugement ainsi son nom nous est inconnu, estoit habillé
    d'un pinchina(*) une cullotte bleue, est décédé le samdy vingt huit
    sans avoir recouvert le jugement, l'on a trouvé un mémoire dans
    ses heures, des souliers qu'il a fourni, semelles et pantoufles ce
    qui fait croire qu'il estoit cordonnier.

    L.TENDRON
    Curé de Marigné

    (*) La définition de pinchina dans le dictionnaire est une ancienne étoffe de laine, épaisse et non croisée.

     

    Mort d'un inconnu reconnuAD BMS 1715 (10 mars)-1741 (17 janvier) vue 64/299

    En marge, a été rajouté (une 1ere fois)

    Un passant
    mort au petit
    Pyré a dit qu'il
    estoit de Mayenne

    Mort d'un inconnu reconnu

     

    Puis une autre annotation nous en apprend plus sur ce mystérieux passant.

    Le 18 novembre 1720 Louis
    DE BRAY Tixier de la ville
    de Mayenne est venu retiré
    les habits de ce passant, nous
    nous déclare qu'il s'appelle Jacques LOUVEL qu'il estoit tonelier de son mestié estoit
    le mary de Renée ROBERGE agé de quarante deux ans ce que le dit DE BRAY
    xxx pas son seing

    L. DEBRE

    Mort d'un inconnu reconnu
    AD BMS 1715 (10 mars)-1741 (17 janvier) vue 64/299

     Mort d'un inconnu reconnu

     

    Une petite recherche sur Généanet:

    Jacques LOUVEL est né le 25 juillet 1680 à Mayenne (53), fils de Mainfray LOUVEL et de Renée LESLANOIS.
    Il est d'abord Rouettier(*), puis Tonnelier.
    Il épouse en 1ere noce, Suzanne FOURMY, le 13 octobre 1699, à Mayenne. Celle-ci décède le 21 octobre 1706, à Mayenne.
    4 enfants naitront de cette union.
    Il épouse alors, Renée ROBERGE, le 10 janvier 1706, ) Mayenne. Ils auront 5 enfants.
    Renée ROBERGE se remariera le 21 mai 1721, à Mayenne, avec Marin LE BAILLIF, elle décèdera, toujours à Mayenne, le 1er aout 1754, âgée alors de 75 ans.

    (*) Rouettier: Fabriquant de roues


  • Querré, petit village du Haut-Anjou (49), commune d'origine d'une partie de mes ancêtres (PRIET, BACHELOT, BERTHELOT)

    Vous avez dis Vicaire


    Nous sommes en 1726, le 12 juillet, le Curé de Querré est absent, c'est donc Mr BELLON, Vicaire, qui le supplée.

     

    Le douzieme jour de juillet mil sept
    cent vingt six a été baptisé par nous
    Prê soussigné Jeanne née ce jourd'hui fille de
    Pierre PRIET et de Jeanne BARON sa
    femme ont été parain Sébastien LEROU garçon
    et maraine Jeanne DAVY fille dnte à
    Chantaussé (Champteussé-sur-Baconne) le Ptre absent, les parain et maraine
    ne savent signer

                                                         BELLOC Vicaire

    Vous avez dis Vicaire
    AD BMS 1674-1747 vue 327/430

    Sauf que, le fameux BELLOC, n'est point Vicaire, ni Prêtre, et cela n'a pas dù plaire au Clergé, si l'on en juge par l'annotation qui suit.

     

    Vous avez dis Vicaire

    Nota que le dit BELLOC nestoit point Prestre
    mais un maitre fripon qui a abusé le peuple et c'est retiré, ou plustot enfui en Angleterre.

    Vous avez dis Vicaire

    Et voici l'acte dans son intégralité

    L'habit ne fait pas le moine


  • Mes partages de trouvailles

    • Juste le plaisir du partage.

     

    Depuis 2 mois, j'épluche méticuleusement, les vieux journaux d'Angers, à la recherche du décès de Marie Justine MORICEAU , mon AAGM Paternelle, décédée après janvier 1912, certainement à Angers.

    Ce faisant, je trouve des actes, des anecdotes, des faits divers "intéressants", que je m'empresse de partager avec des personnes qui ont les personnes citées dans leur généalogie.

    Je dois être à plus d'une 100e de partages, et les réponses très surprises et heureuses des personnes concernées, m'encouragent à continuer mes recherches.

    • Voici en substance, sensiblement, le genre de partage:

     

     


    Bonjour,

    Aimant consulter les vieux journaux d'Angers, je me permets de vous soumettre quelques petits articles, concernant un fait divers qui a défrayer le chronique régionnale en janvier 1913, et dont l'un des principaux protagoniste n'est autre que Pierre Louis POIGNONEC.

    Voici le feuilleton des évènements

    Tout commence par un petit encart le jeudi 2 janvier 1913
     (vue 5/96)

    Le récit du cambriolage, le vendredi 3 janvier (vue 6/96)

    Une arrestation, le lundi 6 janvier (vue 17/96)

    Arrestation du reste de la bande, le mardi 7 janvier (vue 20/96)

    Un visage sur un nom, le jeudi 9 janvier (vue 26/96)

     

    Source: AD49-Presse-Le petit courrier-janvier 1913-vues 5/96

    Généamicalement, Bruno

     

     

    • ainsi que quelques réponses encourageantes:

     

    Mes partages de trouvailles


  • Le 18 février 1913, Raymond POINCARÉ, est élu 10e Président de la République Française.
    Le 11 avril 1913, il fait son 1er portrait officiel.

    Le premier portrait officiel

    11 avril 1913, décès de Mme Nanine Marie FICATIER, mère de Raymond POINCARÉ
    Le Petit Courrier d'Angers
    samedi 12 avril 1913 vue 34/87

    Mais ce jour restera, pour le Président POINCARÉ, un triste jour.
    En effet, ce même jour, les journaux annoncent le décès de sa mère, Mme Nanine Marie FICATIER.

    11 avril 1913, décès de Mme Nanine Marie FICATIER, mère de Raymond POINCARÉ

     

    Mort de Mme POINCARÉ
    Mère du Président de la République

    11 avril 1913, décès de Mme Nanine Marie FICATIER, mère de Raymond POINCARÉ
    Le Petit Courrier d'Angers
    samedi 12 avril 1913 vue 34/87

     

     L'Elysée en deuil

    11 avril 1913, décès de Mme Nanine Marie FICATIER, mère de Raymond POINCARÉ
    Le Petit Courrier d'Angers
    dimanche 13 avril 1913 vue 37/87

     

    M. Raymond POINCARÉ
    quitte Paris
    pour se rendre aux Obsèques de sa mère.

    11 avril 1913, décès de Mme Nanine Marie FICATIER, mère de Raymond POINCARÉ
    Le Petit Courrier d'Angers
    lundi 14 avril 1913 vue 40/87


    Mme Antoni POINCARÉ
    est inhumé en pays Lorrain
    ________
    Les obsèques ont été célébrées lundi
    matin dans la petite commune de
    Nubécourt

    11 avril 1913, décès de Mme Nanine Marie FICATIER, mère de Raymond POINCARÉ
    Le Petit Courrier d'Angers
    mardi 15 avril 1913 vue 43/87


    Les Obsèques de Madame Antony POINCARÉ

    11 avril 1913, décès de Mme Nanine Marie FICATIER, mère de Raymond POINCARÉ
    Le Petit Courrier d'Angers
    mercredi 16 avril 1913 vue 46/87

     

    Je terminerais cet article par un petit coup d'gueule 

    Petit coup de gueule contre ces copiés-collés dans vérifier.

    Pour trouver le nom de Madame POINCARÉ , j'ai jeté un œil sur Généanet, et là, c'est effarant.

    66 arbres donnent la bonne date de décès, contre 212 copiés-collés erronés.

    11 avril 1913, décès de Mme Nanine Marie FICATIER, mère de Raymond POINCARÉ  11 avril 1913, décès de Mme Nanine Marie FICATIER, mère de Raymond POINCARÉ  


  • Suite de l'article Un Maire au Bagne

    Un Maire au Bagne (suite): Aux Assises

    Avril 1913
    L'ex-Maire de Gentilly

    a comparu aux Assises

    Un Maire au Bagne (suite): Aux Assises
    Le Petit Courrier d'Angers
    samedi 19 avril 1913 vue 55/87

     

    L'ex-Maire de Gentilly
    est condamné à 15 ans de travaux forcés
    et il proteste de son innocence !

    Un Maire au Bagne (suite): Aux Assises
    Le Petit Courrier d'Angers
    dimanche 20 avril 1913 vue 57/87


  • Angers avril 1913, 1er contrôle routier

    A la veille de la nouvelle limitation de vitesse Angers, mars 1913, 1er contrôle routier, on s'amusait comme on pouvait, au début du XXe siècle, sur les routes angevines.

     

    Angers 1913, contrôle routier, sport régional

    Voici relevé sur le petit courrier d'Angers, en date du1er avril 1913

    Un nouveau sport

      Il y a de modestes localités où, pour tuer le temps, on s'en va à la gae, voir passer les trains. A Angers, ceux qui ont des loisirs, le dimanche notamment, se précipitent le long des grandes routes, histoire d'assister à la pluie... des contraventions. Ce sport est, parait-il, des plus réjouissant.

     

    Angers, avril 1913, 1er contrôle routier

     

     

     


  • Jean Marie Léon SERVANTIE, Officier, déserteur, Mort pour la France, Médaille de Guerre et Légion d'Honneur
    Bruno BAVEREL. Cette photographie est sous licence d'usage CC BY-NC-SA 2.0.

    Jean Marie Léon SERVANTIE voit le jour, le 14 mai 1881,à Bordeaux, fils de Jean Marthe Xavier SERVANTIE, 30 ans, Pharmacien, et de Marie Marguerite Sophie Jeanne BERGE, 21 ans, sans profession.

    Jean Marie Léon SERVANTIE, Officier, déserteur, Mort pour la France, Médaille de Guerre et Légion d'Honneur
    AD Bordeaux/Section 2/N 1881/105/275

    • 1899 : Bachelier.
    • 1900 : Engagé volontaire, il intègre Saint-Cyr.
    • Fait Caporal le 24 août 1901, Sergent le 5 novembre 1901, Sous Lieutenant le 26 septembre 1902, Lieutenant le 1 octobre 1904,
    • Affecté en 1906 au 146e RI à Toul.
    • Suit un cours de gymnastique et d'escrime en 1907.
    • Mis en non activité pour infirmités temporaires le 23 novembre 1910.
    • Rappelé en 1912

     

     Sur le Petit Courrier d'Angers en date du 1er avril 1913, vue 2/87

     

    Un officier déserteur

      La séance du Conseil de guerre du 4e corps du lundi a été consacré à juger le lieutenant SERVANTIE, du 115e d'Infanterie, à Mamers, inculpé de désertion à l'étranger en temps de paix.
      Issue d'une très honorable famille du Bordelais, sorti de St-Cyr en bon rang, M. SERVANTI a fait de nombreuses garnisons. Sa passion du jeu l'a perdu.
      A Tours, où il servi d'abord comme sous-lieutenant, il gagna un beau soir 4.000 francs au baccara. Ce fut sa perte.
      Il joua avec frénésie et pendant dix ans, il entassa dettes sur dettes.
      Sa famille lui fit donner un conseil judiciaire.
      En 1912, devenu lieutenant, M. SERVANTIE était à Mamers. N'ayant pas d'argent, il jouait au poker sur parole. Bientôt, ses créanciers le traquèrent et, sa famille lui refusant des subsides nouveaux, il jugea sa situation inextricable.
      Le 12 février, le lieutenant quittait Mamers à destination de Bordeaux. De là, il se rendit à Barcelone. Dans le train, il but force cognac et il était ivre quand il débarqua dans la cité espagnole.
      A Tarragone, les chartreux refusèrent de recevoir M. SERVANTIE bien qu'il leur affirmât que sa vocation était irrésistible.
      Il fut plus heureux au couvent de Montalègre où il arriva exténué, ne possédant plus que 1 fr 10.
      Après quelques jours de repos, M. SERVANTIE raconta son odyssée au prieur du couvent. Celui-ci comprit vite son devoir. Il exiga de l'officier qu'il rentrât en France et lui remit l'argent de son voyage.
      Le lieutenant obéit, franchit de nouveau les Pyrénées et vint se constituer prisonnier.
      Sa défense a été présentée par Me Georges BOUVIER, dans un émouvant plaidoyer; M. le commandant ALLIX a prononcé le réquisitoire.
      Le colonel président du conseil de guerre, a été particulièrement dur pour le lieutenant SERVANTIE.
      Il lui a dit que son devoir était non pas de déserter, mais de donner sa démission, car il était indigne de rester officier français.
      Malgré cette énergique intervention du colonel, le lieutenant a été acquitté par 4 voix contre 3.

    Jean Marie Léon SERVANTIE, Officier, déserteur, Mort pour la France, Médaille de Guerre et Légion d'Honneur

     

    •  Affecté au 165e RI en 1913 dans la place forte de Montmédy.
    • Disparu à Murvaux le 29 août 1914

    Bel homme et coureur, il aurait été l'amant de la femme de son colonel !

      Un de ses amis, l'abbé Collot, a raconté ainsi ses derniers jours : "La bonne humeur et l'entrain du lieutenant n'ont pas cessé une seule minute, depuis la déclaration de guerre jusqu'au départ de la garnison, qui avait reçu l'ordre d'évacuer la place, le 26 août 1914 à l'approche des Allemands, et de se retirer sur Verdun, mais hélas ! beaucoup trop tard.
       Avant de partir, le lieutenant vint se confesser, il avait d'ailleurs l'habitude de le faire souvent. Il ne reçut pas ce jour-là la sainte communion, mais il l'avait faite quelques jours auparavant. Je l'ai encore sous les yeux au moment où les soldats sortirent de la citadelle. Il remontait le courage de tous, rassurait les timides et annonçait la défaite complète des Allemands. Il ne devait malheureusement pas la voir puisque, quelques heures après, nos soldats se jetaient en plein dans un gros contingent ennemi, dont les mitrailleuses firent des nôtres un grand carnage (Ils auraient chargé en tunique rouge et casoar à plumes blanches, l'uniforme de parade de Saint-Cyr, au sabre....).
      Le lieutenant SERVANTIE tomba le premier, car il marchait en tête de la colonne. Sa mort fut instantanée: le bon Dieu lui épargna les cruelles souffrances qu'endurèrent certains de ses compagnons d'armes. Quant à son corps, il reposa longtemps, comme celui de ses frères, à l'endroit même où il était tombé. Le commandant allemand les fit réunir tous, sans distinction de grade, dans une fosse commune située dans le cimetière de Brandeville.
    (Son sabre et son Képi se trouvent à Dinety chez Bernard Tandonnet).
    Les détails ci-dessus n'étonneront pas quand on saura que le lieutenant SERVANTIE, en mai 1914, avait profité d'une permission pour faire une retraite chez les Bénédictins de Solesmes, réfugiés en Belgique. "J'ai passé là trois jours de bonheur parfait écrivait-il à sa mère. Dans cette atmosphère de piété, la vie spirituelle devient intense et l'âme se rapproche de son Dieu. Ces joies divines ne peuvent s'exprimer..."
    Il en était revenu débordant d'une ferveur qui s'épanche dans sa correspondance et que la grandeur des événements ne pouvait qu'exalter.
    "Nous allons travailler pour la réalisation du plan divin, écrivait-il encore le 31 juillet 1914, comment ne serais-je pas joyeux ? Puisque nous comptons sur la reconstitution de notre famille au ciel, quelle que soit notre séparation, elle sera bien courte !... Faisons tout notre devoir !..."
    Admirable programme, qui a fait de son auteur un martyr du patriotisme.
    (arbre en ligne de aderriennvenard)

    Autres informations militaires : Saint Cyrien promotion "Tchad" 1901-1902 - Légion d'Honneur Jean Marie Léon SERVANTIE, Officier, déserteur, Mort pour la France, Médaille de Guerre et Légion d'Honneur - Croix de guerre avec étoile d'argent  Jean Marie Léon SERVANTIE, Officier, déserteur, Mort pour la France, Médaille de Guerre et Légion d'Honneur

    Citation: "Excellent officier d'une bravoure remarquable. Tombé glorieusement au Champ d'honneur en se portant à l'attaque de l'ennemi devant Murvaux."

    •  Voir sa fiche sur Jean Marie Léon SERVANTIE, Officier, déserteur, Mort pour la France, Médaille de Guerre et Légion d'Honneur

     

     Il repose à la Nécropole Nationale de Brandeville

    Jean Marie Léon SERVANTIE, Officier, déserteur, Mort pour la France, Médaille de Guerre et Légion d'Honneur


  • Prosper Lucien Pirou

    Un bouton trouvé, une Maire au bagne

    Le Petit Courrier d'Angers
    en date du jeudi 2 janvier 1913 vue 4/96

     

    Maire et forçat

     
    Prosper Pirou
    Prosper Pirou possédait une tannerie à Gentilly (39 Rue d'Arcueil), un magasin de vente à Paris (53 Quai de Valmy), un appartement Rue Gabriel Vicaire et une mine d'Anthracite en Bourgogne avec Mr de Burgat (Domicile Rue Nollet).
    Il avait épousé une riche héritière, fille d'un banquier de Saint-Quentin 02 et ancien commissaire-priseur. Il fut acculé à la faillite et chercha à extorquer des fonds à Mme Chabrux et sa sœur Mme Solet, vivants au Perreux 94 (12 Allée de Marigny).
    Il tenta de les assassiner le 28/12/1912. Son avocat, Maître Henri-Robert demanda l'acquittement au bénéfice du doute, mais l'avocat général, la peine de mort. Il fut condamné le 19/04/1913 à 15 ans de travaux forcés, rayé des listes électorales et sa société mise en faillite.
     
     
    Parti dans le même convoi qu'Eugène Dieudonné condamné dans l'affaire de la bande à Bonnot, il obtint, chose rare, une concession agricole à lors de sa double peine. Concession sur laquelle il fut assassiné (décapité au sabre d'abattis) pour être lui-même volé le 22/09/1922. Albert Londres en parla brièvement, il aurait été libéré en 1927. Maire de Gentilly de 1912 à 1913. Révoqué de ses fonctions le 28/06/1913. Il finit bagnard assassiné en Guyane. Étonnant parcours ! (Source: Bruno Teste)
     
     
     
     
     
     
    L'enquête et le procès, au jour le jour sur le Petit Courrier d'Angers.

    • Le maire de Gentilly est arrêté comme assassin présumé, mais il proteste de son innocence.

      Un bouton trouvé, une Maire au bagne
      LPC en date du mardi 31 décembre 1912 vue 97/99

    • Les présomptions s'accumulent contre le maire de Gentilly.

    • Un bouton trouvé, une Maire au bagne
      LPC en date du mercredi 1er janvier 1913 vue 2/96

    •  

       LE MAIRE DE GENTILLY est suspendu de ses fonctions.
       

      Un Maire au bagne
      LPC en date du vendredi 3 janvier 1913 vue 8/96

    •  

      La sûreté vérifie l'alibi de M Pirou.

      Un Maire au bagne
      LPC en date du samedi 4 janvier 1913 vue 11/96

    •  

      L'ALIBI DU MAIRE DE GENTILLY
      Une confrontation dramatique.

      Un Maire au bagne
      LPC en date du dimanche 5 janvier 1913 vue 13/96

     

    Un Maire au bagne
    LPC en date du lundi 6 janvier 1913 vue 16/96

    • L'alibi de M. Pirou

      Un Maire au bagne
      LPC en date du lundi 6 janvier 1913 vue 20/96