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Cet acte de Baptême, trouvé sur le Registre BMS de 1718-1736 à La Selle-Craonnaise (53), à attiré mon attention.
(Source image: chemin de papier)Baptême de Jeanne, fille de Jacques CROSNIER, closier au Chaine Moulon et de Marie CHEVROLIER
Près de 22300 individus dans ma généalogie, dont 2800 sosas, c'est la 1ere fois que tombe sur un acte de Baptême où, volontairement, on se passe d'un Parrain.Le quinzième décembre mil sept cent trente quatre est née et a
été par nous, Ptre soussigné, baptisée, Jeanne Fille de Jacques
CROSNIER closier au Chaine Moulon et de Marie CHEVROLIER son
epouse. A été maraine seulement Jeanne GUION qui ne
sait signer
AD53/La Selle-Craonnaise/BMS 1718-1736 vue 231/256Pour quelle raison ?
Et vous, avez déjà rencontré un Baptême sans Parrain ou Marraine ?
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Le Bourg-d'Iré, petit village d'un millier d'âme, situé dans le Haut Anjou, commune d'origine d'une grande partie des ancêtres de ma Grand-Mère Paternelle ( Philomène Marie Louise COSSON 1916-1988).
Laurent VERDON, mon sosa 3 062, y voit probablement le jour vers 1606. Il s'y mariera 2 fois, avant d'y etre enterré le 21 mai 1686, à l'age de 77 ans, environ.( 1) avec Jeanne GASNIER, vers 1630. Ils auront 6 enfants:- René VERDON 1631-
- Jacquine VERDON 1634-1706
- Jeanne VERDON 1636-1699
- Perrine VERDON 1639-
- René VERDON 1642-1667
- Françoise VERDON 1646-
Jeanne GASNIER décède avant 1650 (les registres S commencent en 1655)( 2) avec Guyonne BODARD (1615-1670), le 26 février 1650, au Bourg-d'Iré. Ils auront 4 enfants:- Françoise VERDON 1651-/1684
- Marie VERDON 1653-
- Laurent VERDON 1654- (AD B 1652 (30 juin)-1676 (12 avril) vue 13/144)
- Laurent VERDON 1655-1733 (AD B 1652 (30 juin)-1676 (12 avril) vue 22/144)
Ce sont ces 2 derniers Laurent qui me posent problème, n'ayant toujours pas les sépultures avant 1655, je ne sais pas si le 1er Laurent (1654-) est décédé jeune, ce qui me parait le plus probable.Toujours est-il qu'un Laurent, le 2e à mon avis, se mari le 4 février 1677 avec Jeanne PIGNET, au Bourg-d'IréJeanne PIGNET décède le 18/08/1678, à l'age de 25 ans environ.Et qu'on trouve un autre Mariage de Laurent VERDON, l22/10/1680au Bourg d'Iré, avec Renée BOUGRET.Ce qui m’interpelle, c'est qu'il est noté, fils de Laurent VERDON et Guyonne BODARD, sans aucune notion de veuvage ?Il est à noter que Laurent VERDON n'est assisté que de ses Père et Mère, Beaux-Frères et de ses Sœurs, j'aurais tendance à penser que je suis dans le vrai, et que son Frère Laurent est déjà décédé ?
Renée BOUGRET décède le 13 décembre 1699 à Noyant-la-Gravoyère , ils auront eu 4 enfants
- Françoise VERDON 1681-
- Laurent VERDON ca 1684-1744
- Paul VERDON 1689-1724
- Renée VERDON 1698-
Laurent VERDON, alors Laboureur Closier à la Gâtelière de Noyant-la-Gravoyère, se remariera avec Louise CHOPPIER le 24 novembre 1701 à Noyant-la-Gravoyère.
Il y décèdera le 22 novembre 1733 à l'age de 77 ans.
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En visite sur les sépultures de ma Belle-Famille ce weekend, en traversant la forêt de Juigné-des-Moutiers (44) sur la D34 en direction de Châteaubriant, un Monument à la mémoire des 6 patriotes Français(*), victimes de la barbarie nazie et de la trahison.
Toutes les plaques (7) sont cliquables (photo @BrunoRivet)
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Trouvé sur le Registre BMS 1688 de Cheillé (37), un acte Baptême, 4 ans après la naissance.
Pour quelles raisons ?Le huitième jour d'avril 1688 ont été faites les cérémonies de
baptême à Louis BADILLET et est né l'année 1684
au mois d'avril fils de Marguerite BADILLET et nous ont dit que
le père estet Claude ROLLAND. Nommé Parrain Jacques BADILLET et
Marie DEMAYE quy ne savent Signer
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(pour l'anecdote, ce panneau existe vraiment, au Sénégal)Je parcours régulièrement les journaux anciens du Maine et Loire et je relève les articles qui m'intéressent pour ma généalogie. Quand je tombe sur des articles pouvant intéresser d'autres généalogistes, je partage avec plaisir et je pense que justement celui-ci, même s'il n'est pas très réjouissant, n'est pas piqué des vers.
Avec l'accord d'un des descendants de ce "charmant" Monsieur.
AD49/Presse/Le Petit Courrier d'Angers/02/1804 vue 25/59
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(*) Titre (voir en d'article)
L’histoire communale de Grézillé (49) est marquée au XXème siècle par un terrible incendie. Lors de l’été caniculaire de 1959, un brûlot d’herbe est allumé en dépit des interdictions. L’incendie réquisitionne la majeure partie des centres de secours de Maine-et-Loire et volontaires civils, soit 400 hommes engagés dans une lutte de 36 heures contre les flammes sur plus de 1000 hectares entre Grézillé, St-Georges-des-Sept-Voies, Gennes et Le Thoureil. A Grézillé une stèle est érigée à la mémoire de cinq pompiers qui trouvèrent la mort le 3 septembre 1959 en luttant contre ce feu.
" Nous sommes le 3 septembre 1959, il y a 57 ans. Une imprudence, après un été d'une sécheresse exceptionnelle... et voilà qu'un gigantesque incendie ravage 1 000 hectares de forêt, entre Gennes, Grézillé, Louerre...
400 hommes sont mobilisés. Parmi lesquels cinq pompiers de Beaufort, qui combattent le feu autour d'un GMC porteur d'eau. L'après-midi du 3 septembre, l'intensité du feu devient telle que l'ordre est donné d'évacuer les lieux...
Mais les sapeurs n'ont aucune visibilité, le mur de feu les rattrape, et voilà que leur camion se couche dans un fossé. Tous les cinq sont encerclés, piégés. C'est la mort...
Un drame qui garde toujours la même intensité dans la mémoire collective de Beaufort. Le souvenir du lieutenant Marcel Hamard, le chef de corps, 55 ans au moment du drame, de son fils Jean Hamard, 18 ans, de Louis Courant, 45 ans et père de quatre enfants, de Gabriel Boussard, 36 ans et père de trois enfants, et de Christian Rabin, 18 ans, reste très vivace. (Source: angers ma ville.com) "
Ce matin, comme pratiquement tous les jours, je fais le ménage au Centres des Affaires, à Terra Botanica.
Aujourd'hui s'y tient le 100e Congrès départemental des sapeurs-pompiers du Maine et Loire.
J'en ai profité pour discuter un peu avec eux, et j'ai rencontré le Commandant Jacques BEUNARDEAU, co-auteur du Livre sur ce tragique évènement.
Livre acheté et gentiment dédicacé par le Commandant BEUNARDEAU
(*) Titre: Jeudi 3 septembre 1959 et non 1957, je ne change pas à cause du lien
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Pas de ma famille, mais je suis certain que cela fera plaisir à quelqu'un
Trouvé dans Le Petit Courrier d'Angers en date du jeudi 11 janvier 1934
AD49
Le Petit Courrier d'Angers 01/1934
Vue 40/112Etat Civil - Acte de mariage
Date de l'acte : 26/11/1883
Lieu de l'acte : Saint-Martin-De-La-Place (49)
SUJET : LEBOUC Pierre
Père : LEBOUC Joseph
Mère : GOISLARD Anne
Lieu d'origine : Rosiers(Les)
Infos complémentaires : Age: 26
CONJOINT : HUET Céline
Père : HUET Pierre
Mère : TESSIER Louise
Infos complémentaires : Age: 27Malheureusement, je ne trouve pas de descendants sur Généanet, ni sur Généalogie.com, pourtant, il semble y en avoir sur la photo ?
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En consultant les journaux anciens, sur le sites des AD 49, j'ai trouvé cette petite comptine, que je m'empresse de partager avec vous.
Le Titre et les paroles ne me disaient absolument, mais en écoutant la mélodie, cela m'est revenu, et vous ?Ducray-Duminil fut, à partir de 1790, rédacteur de la partie littéraire des Petites Affiches et montra dans ses articles de critique une grande bienveillance. Membre du Caveau moderne et de plusieurs sociétés de belles-lettres, il fit des poésies fugitives et des chansons. Il travailla aussi pour le théâtre, mais sans succès. Le genre dans lequel il se fit une réputation est celui du roman destiné à la jeunesse où il eut pendant longtemps un succès populaire. Préoccupé du côté moral de ses œuvres, il arrive par une suite de péripéties ingénieuses à faire triompher l’innocence et la vertu. On lui reproche de n’avoir pas soigné son style et d’être même souvent incorrect. Il recherchait surtout la clarté, qualité essentielle pour le jeune public auquel il s’adressait. L’invention ne lui manquait pas, et les aventures intéressantes, combinées avec habileté, expliquent la longue vogue de ses écrits. Les auteurs dramatiques y ont largement puisé. Faisant partie des derniers écrivains diffusés par le colportage, il est considéré comme le premier inventeur du roman populaire français1.
La plupart des romans de Ducray-Duminil ont eu de nombreuses éditions, dont : Fanfan et Lolotte, ou Histoire de deux enfants abandonnés dans une île déserte (Paris, 1787, 4 vol) ; Alexis, ou la Maisonnette dans les bois (1788, 4 vol) ; Petit Jacques et Georgette, ou les Petits montagnards auvergnats (1789, 4 vol) ; Victor, ou l’Enfant de la forêt (1796, 4 vol) ; Cœlina, ou l'Enfant du mystère (1798, 5 vol), avec le précédent, l’un des deux plus populaires ; les Cinquante francs de Jeannette (1799) ; les Petits orphelins du hameau (1800), 4 vol; Paul, ou la Ferme abandonnée (1800, 4 vol); Elmonde, ou la Fille de l’hospice (1804, 5 vol) ; Jules, ou le Toit paternel (1804, 4 vol) ; le Petit Carillonneur (1809, 4 vol) ; Jean et Jeannette, ou les Petits aventuriers parisiens (1816, 4 vol), L'Hermitage Saint-Jacques ou Dieu, le Roi et la Patrie, 1815, etc.
On a en outre de lui : Poème sur la mort du duc de Brunswick (1787) ; la Semaine mémorable ou Tableau de la révolution depuis le 12 juin 1789 (1789) ; Codicille sentimental, ou recueil de discours, contes, anecdotes, idylles, romances et poésies fugitives (1793, 2 vol) ; Soirées de la chaumière (1794, 8 vol. plusieurs fois réimpr.) ; les Veillées de ma grand’mère, nouveaux contes de fées (1799, 2 vol) ; Journées au village, ou Tableau d'une bonne famille (1804, 8 vol) ; le Bon oncle et les néveaux, annuaire moral (1812) ; Contes de Fées (1817), etc.
Source: Wikipédia