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Je ne connaissais pas ce vieux métier, Garde-Vente, pour cause, c'est le 1er que je rencontre dans ma généalogie.
Louis Le Fort, mon sosa 182, est Garde-Vente à Turpenay (37).
Turpenay est une Abbaye, sise à Saint-Benoit-la-Forêt.
Veüe de l'abbaye Nostre-Dame de Turpenay,
de l'ordre de St Benoist, congregation de St Maur,
a 7 lieües de Tours et a une de Chinon
1699 dessin: Louis Boudan
Source Gallica.fr
Saint-Benoit-la-Forêt, situé à quarante kilomètres au sud-ouest de Tours, forme une clairière dans la forêt de Chinon, en bordure des landes du Ruchard.Le site Vieux Métiers.org donne la définition suivante:
Garde-Vente: Garde forestier qui, dans une forêt, assure la garde et l'exploitation des coupes de bois pour un tiers.Sources: Gallica.fr, Wikipédia.fr, Vieux Métiers.org
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Tous les Registres d'Indre-et-Loire sont maintenant en ligne.
Pour moi, comme pour tous ceux qui attendaient, c'est une très bonne aubaine.
La bannière sur le Groupe Généalogie 37 sur FacebookJusqu'à aujourd'hui, et ce grâce au travail de Bénévoles (Valérie Letellier en tête), je n'avais que des photo de microfilms.
Dorénavant, j'ai des vrais actes, et je peux corriger mes petites erreurs, dues en partie à la mauvaise lecture de ces microfilms.
Mais attention, j'ai failli faire une autre erreur, avec Marie RAFFAULT, ma sosa 45.
Elle est née à Rivarennes (37) le 8 juin 1859 et y épouse Pierre FERRÉ mon sosa 44, le 4 juillet 1876Sans faire attention, je cherche son Décès à Rivarennes, à sur le feuillet en question, je tombe bien sur une Marie RAFFAULT, décédée à Rivarennes le 17 octobre 1944.
Dans ma précipitation, je commence à corriger la date jusqu'à ce que je me rende compte qu'il s'agit en faite, d'une homonyme.
La mienne étant décédée, non pas à Rivarennes, mais à Azay-le-Rideau, le 25 septembre 1944
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Vous savez certainement que Victor Hugo, Molière ou encore Jean-Jacques Rousseau ont été tous trois censurés à plusieurs reprises. Mais saviez-vous que des personnages aussi innocents qu'Alice au pays des merveilles ou Gulliver avaient également subi le même traitement ? Quels crimes ont-ils commis ? Critique du gouvernement, de la religion, sujets jugés trop libertins ou immoraux…
La liberté d’expression est reconnue aujourd’hui comme une liberté fondamentale. Pourtant la censure, "peine de mort de la liberté de penser" selon Victor Hugo, touche encore de nombreux livres de par le monde.
Qu'ont donc fait Gulliver et la petite Alice pour mériter d'être réduits au silence?
Prenez quelques instants pour, peut-être, affiner votre culture littéraire, mais aussi et surtout pour vous amuser de ces quelques exemples parfois surprenants !
Le con d'Irène
Louis Aragon
Roman érotique clandestinement publié en 1928 sous le pseud. d’Albert de Routisie pour éviter la censure. Nouvelle publication en 1968 sous le titre "Irène" mais le livre est tout de même saisi.Les misérables
Victor Hugo
L'auteur met en avant dans ses œuvres les problèmes d’actualité de son époque, notamment les injustices sociales, ce qui lui vaut les foudres de la censure à plusieurs reprises.Les fleurs du mal
Charles Baudelaire
En 1857, la direction de la Sûreté Publique saisit le Parquet pour délit "d’outrage à la morale publique". Six pièces sont supprimées.Itinéraire de Paris à Jérusalem
François-René de Châteaubriand
Napoléon demanda à Chateaubriand de modifier son livre. Il dut changer "l'armée française" par "cavaliers de l'Empereur".Madame Bovary
Gustave Flaubert
Ce roman est publié en 1856 par la Revue de Paris, mais le directeur Maxime Du Camp exige la censure de nombreuses parties du livre telles que la noce, le fiacre...Odyssée
Homère
Platon avait suggéré de censurer cet ouvrage pour les lecteurs adolescents. Caligula tenta d'en faire de même car l'Odyssée est l'expression d'une conception grecque de la liberté.
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Un nouveau Cousinage célèbre côté Maternel, Jean POPEREN, ancien Ministre de François MITTERRAND.
Jean Poperen est un homme politique français.
Il fut membre successivement de plusieurs partis politiques et principalement du Parti socialiste.
Date de naissance : 9 janvier 1925
Date de décès : 23 août 1997Jean POPEREN est né à Angers le 9 janvier 1925, du Mariage de Maurice Poperen (instituteur anarcho-syndicaliste et historien du mouvement ouvrier) et de Marie Emerance GRAFFEUIL, ouvrière brodeuse à Angers, qui décèdera en 1937, alors que Jean n'a que 12 ans. Les Poperen auront un autre fils, Claude, né en 1931, qui sera militant et responsable communiste jusqu'en 1987.
Il suit ses études secondaires au Lycée David d'Angers jusqu'en juin 1940, lorsqu'il suit sa famille dans l'exode qui les conduit à Denée (Maine-et-Loire). En 1942, après l'obtention de son baccalauréat, il entre en classe préparatoire littéraire au Lycée de Rennes, puis, après sa fermeture à la rentrée suivante, au Lycée Louis-le-Grand de Paris. Après son échec au concours d'entrée à l'École Normale Supérieure, il poursuit ses études à la Sorbonne et décroche l'agrégation d'Histoire en 1947.
Nommé à la rentrée 1947 professeur au lycée de garçons d'Amiens, il y fait la rencontre d'un autre enseignant avec qui il se lie, Gilles Deleuze, qui y enseigne la philosophie. En 1950, il obtient un poste à Paris, au Lycée Janson de Sailly. Après une courte interruption de sa carrière, entre juin 1952 et aout 1953, il reprend son poste, puis sera maitre assistant d'Histoire à l'Université Paris I.
Malgré le scepticisme de son père, qui fut toute sa vie opposé à l'autoritarisme "stalinien", Jean fait ses premières armes militants au sein du Parti communiste français qu'il rejoint en pleine guerre, à 18 ans. Il participe à l'activité des jeunes communistes de la capitale, dans le cadre clandestin de la Résistance. À la Libération, il est secrétaire national des étudiants communistes. Puis, après son entrée dans la vie active, s'engage dans l'activité militante dans la Somme. Il y est membre du bureau de la fédération communiste départementale. Après son retour à Paris, il intègre la section des intellectuels dirigée par Laurent Casanova et Annie Kriegel.
Militant communiste "dans la ligne", parfois intransigeant, mais aussi brillant et travailleur acharné, il se voit proposer d'intégrer le Kominform. Il y est chargé, entre 1952 et 1953, de l'adaptation en français de textes communistes soviétiques. C'est de ce séjour à Bucarest que date ses interrogations sur le "communisme réel", et notamment sur l'antisémitisme d'État des pays de l'Est . Il renonce d'ailleurs rapidement à son poste au Kominform pour revenir en France, où il devient secrétaire de la cellule communiste du XVIe arrondissement de Paris.
En 1956, c'est la rupture. Le « rapport Krouchtchev », et surtout son occultation par la direction du PCF, ainsi que l'intervention soviétique consécutive à l’insurrection de Budapest finissent de le convaincre de l'impasse stalinienne. En 1958, il participe à la création du "comité provisoire de liaison pour la réunification du mouvement ouvrier", plus connu sous le nom de la revue qu'il publie, Tribune du communisme.
En 1959, il est exclu du parti, sans que cela ne soit ni un déchirement, ni une surprise.
Pendant toutes les années 1960, Jean Poperen va être à la recherche de l'unité de la gauche française. Dès 1960, il prend contact avec les dirigeants du Parti Socialiste Autonome et participe activement à la création du PSU dont il devient l’un des dirigeants. Au sein de ce parti, souvent divisé, Poperen anime un courant qui se veut "unitaire", favorable à l'unité de toute la gauche, voire d'un rapprochement organique revenant sur la scission du congrès de Tours. Mais, surtout, il s'oppose au nom de la lutte des classes, contre la branche "moderniste" du parti, incarnée par Gilles Martinet et Michel Rocard. La cristallisation de cette opposition naît en 1963, au congrès dit de "la Grange aux Belles" : Poperen devient le chef de file de la minorité du PSU et conspue la fascination pour la "nouvelle bourgeoisie technicienne" de la majorité.
Après le congrès de 1967, qui voit l'orientation "moderniste" du PSU confirmée et, surtout, le refus de la majorité d'intégrer la FGDS en cours de constitution dans la foulée de la candidature de François Mitterrand à l'élection présidentielle de 1965, il compare publiquement la direction du parti à une "secte", ce qui lui vaut une exclusion à laquelle il s'attendait.
Il constitue alors avec d'autres l’Union des groupes et clubs socialistes (UGCS).. En avril 1968, l’UGCS rejoint la FGDS, et Jean Poperen devient membre du bureau politique de cette fédération. Après l'échec du Congrès d'Alfortville, dont elle s'est finalement retirée, l'UGCS est partie prenante de la refondation du Parti Socialiste (PS) au Congrès d'Issy-les-Moulineaux.
Lors du Congrès d'Epinay, en 1971, qui voit l'unité des socialistes se réaliser, il dépose une motion qui obtient 12 % des mandats. Il soutient alors Alain Savary contre François Mitterrand. Poperen défend l'union de la gauche, certes, mais il refuse de se coaliser avec ce qui, au sein de la SFIO, ont toujours défendu l'alliance au centre, et qui viennent, derrière Gaston Defferre, dont la motion a obtenu 29 %, de se rallier à Mitterrand. Il doute de leur sincérité et s'oppose à cette combinaison d'appareil qui lui semble surtout viser à se débarrasser définitivement de Guy Mollet.
Même s'il ne se compte pas forcément à tous les congrès, le courant animé par Jean Poperen, d'abord appelé "Rassembler à Gauche", puis "Nouveau Monde 92", va être un de ceux qui vont structurer le parti jusqu'au début des années 1990. Rallié à la majorité mitterrandienne dès 1973, après que sa motion n'ait obtenu que de justesse 5 % des mandats, ce courant se retrouve surtout autour de sa publication bimensuelle, Synthèses flash, animée par Colette Audry, qui sera publiée de 1969 à 1997.
Jean Poperen est nommé, en 1973, délégué national du Parti Socialiste aux questions industrielles. Peu enthousiaste à l'accueil des rocardiens au sein du Parti Socialiste, il rejoint la motion mitterandiste lors du congrès de Pau en 1975 et devient secrétaire national à la propagande, puis secrétaire national à la coordination après le congrès de Metz (1979). Bien qu'officiellement chargé de l'organisation de la campagne présidentielle de 1981, il est cependant écarté du cercle des proches du candidat, qui sont réellement à la manœuvre.
Après la victoire de François Mitterrand à l'élection présidentielle, et l'arrivée de Lionel Jospin au poste de premier secrétaire, Jean Poperen va devenir, tout en restant secrétaire national à la coordination, le no 2 du Parti Socialiste.
Candidat « de témoignage », investi par le PSU, lors d'une législative partielle à Paris en 1965, Poperen avait obtenu 7 % des voix, pas assez pour se maintenir au second tour.
Ce n'est qu'en 1973 qu'il se réengage dans la bataille électorale, dans le Rhône. Bien que son « parachutage » n'ait pas été très bien accepté, il est élu député, et constamment réélu ensuite jusqu'en 1993, année où il ne se représente pas. En 1977, il est élu maire de Meyzieu, une ville d'une vingtaine de milliers d'habitants, dans la banlieue lyonnaise, qui le conservera comme premier magistrat jusqu'à sa mort.
En 1988, il est nommé Ministre chargé des relations avec le Parlement dans le gouvernement Rocard I. Il conserve ses fonctions dans le second Cabinet Rocard, en juin 1988. Il est reconduit dans le gouvernement d'Édith Cresson, en 1991.
- Maire, député et ministre
Candidat « de témoignage », investi par le PSU, lors d'une législative partielle à Paris en 1965, Jean Poperen avait obtenu 7 % des voix, pas assez pour se maintenir au second tour.
Ce n'est qu'en 1973 qu'il se réengage dans la bataille électorale, dans le Rhône. Bien que son « parachutage » n'ait pas été très bien accepté, il est élu député, et constamment réélu ensuite jusqu'en 1993, année où il ne se représente pas. En 1977, il est élu maire de Meyzieu, une ville d'une vingtaine de milliers d'habitants, dans la banlieue lyonnaise, qui le conservera comme premier magistrat jusqu'à sa mort.
En 1988, il est nommé Ministre chargé des relations avec le Parlement dans le gouvernement Rocard I. Il conserve ses fonctions dans le second Cabinet Rocard, en juin 1988. Il est reconduit dans le gouvernement d'Édith Cresson, en 1991.
- Mandat de Député
Député PS du Rhône de 1973 à 1988.
- Mandat local
Maire de Meyzieu de 1977 à sa mort en 1997.
- Fonctions gouvernementales
- Ministre sans portefeuille chargé des Relations avec le Parlement des premier et second gouvernements de Michel Rocard de 1988 à 1991
- Ministre sans portefeuille chargé des Relations avec le Parlement (Gouvernement Édith Cresson) de 1991 à 1992
Source Wikipédia, Tous mes cousinages Célèbres
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Est-ce le remords ou les brimades qui ont justifiés ce changement de Prénom ?
Trouvé sur le Registre BMS 1671-1699 de Saint-Aubin-du-Pavoil (49)Catherin GURY fils de René GURY et de Mathurinne BELOT voit le jour et est Baptisé le 20e jour de novembre 1680
AD BMS 1671-1699 vue 89/251
Feuillet de gaucheSur la même vue, mais feuillet de droite, le dit Catherin change de Prénom pour celui de Michel, le 4 juillet 1694, lors du Sacrement de sa Confirmation, à l'age de 14 ans.
AD BMS 1671-1699 vue 89/251
Feuillet de droite
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Encore une référence historique relevée sur un Registre de Bouillé-Ménard (49)
Assemblée des États Généraux tenus à BloisLes états généraux de 1588-1589 (ou états généraux de Blois) sont une réunion extraordinaire convoquée par le roi de France Henri III, sur fond de lutte entre les différentes factions de la huitième guerre de religion (la Ligue catholique contre l'autorité royale, soupçonnée d'être plus compréhensive envers les protestants). Ils se déroulèrent à Blois entre le 16 octobre 1588 et le 16 janvier 1589. Ils furent marqués par l'assassinat du duc de Guise sur ordre du roi.
- Contexte
La huitième guerre de religion, dite aussi guerre des trois Henri, éclate en 1585. Le principal problème est celui de l'hériter à la couronne de France : Henri III n'ayant pas d'enfant, c'est son cousin au vingt-et-unième degré, Henri de Bourbon, roi de Navarre, qui doit lui succéder selon la loi salique. Or Henri de Navarre est le chef du parti huguenot. Par peur de voir un protestant monter sur le trône de France, des catholiques intransigeants ont créé, en 1584, la Ligue, dirigée par Henri de Lorraine, duc de Guise, surnommé le Balafré, dont le but est d'extirper l'hérésie du royaume.
Les relations entre le roi de France, Henri III (1574-1589), et la Ligue se sont très vite tendues. Les ligueurs reprochent au roi son manque d'énergie dans la lutte contre le protestantisme, ainsi que des faveurs trop grandes faites à ses mignons, comme le duc d'Épernon.
Au début de 1588, la situation s'est beaucoup dégradée : par peur des complots contre sa personne, Henri III a interdit au duc de Guise de venir à Paris. Mais le duc entre dans la capitale le 9 mai. S'ensuit, le 12 mai 1588, une violente émeute à Paris contre les soldats du roi, connue sous le nom de journée des barricades.
Le 13 mai 1588, Henri III s'enfuit à Chartres. Il essaie de calmer les ligueurs en signant l'Edit d'union, en juillet, dans lequel il exclut Henri de Navarre de la succession royale et où il rappelle sa mission de lutte contre le protestantisme.
C'est à ce moment qu'Henri III convoque les états généraux, initialement prévus pour le 15 septembre, à Blois. On considère parfois que les Ligueurs auraient imposé à Henri III cette réunion des états généraux. Il est en fait plus probable qu'elle ait été un moyen pour le roi de reprendre l'initiative et de se donner une nouvelle légitimité, en jouant la province, moins ligueuse, contre Paris.
- Le déroulement des états généraux
Après une immense procession réunie le 2 septembre, la séance inaugurale eut lieu le 16 octobre dans la grande salle du château de Blois.
Pour le roi, l'enjeu était de faire voter par les états généraux des subsides, afin de lui permettre de faire la guerre contre les huguenots. Les députés au contraire, principalement ceux du tiers état, ordre non privilégié, exigeaient la baisse du montant de la taille : pour eux, l'on pouvait trouver de l'argent pour la guerre en réorganisant les finances royales.
Selon J.-M. Constant, les états généraux ont vu se dérouler une réelle "crise constitutionnelle". En effet, les députés ligueurs voulaient contrôler les finances de la monarchie, mais aussi les nominations au Conseil du roi, principale prérogative du monarque. L'historien soutient que tous ces bouleversements institutionnels étaient désirés avant tout par le tiers état, et que le duc de Guise, en grand noble, ne se préoccupait pas du tout de changer quoi que ce soit au fonctionnement du gouvernement de l'État. Pour lui, l'objectif était de se faire nommer par les députés connétable de France et que l'on trouve des subsides pour lui permettre de lutter contre les protestants.
Toutefois, Henri III pensait que le duc de Guise incitait les députés à s'opposer à lui et qu'il était le principal danger pour la monarchie.
- L'assassinat du duc de Guise
Le principal événement des états généraux de Blois fut donc l'assassinat, sur ordre du roi, du duc de Guise. La chose fut réalisée le 23 décembre 1588, dans l'antichambre de la chambre du roi, au château de Blois, alors que Guise était venu prendre part au Conseil. Il fut poignardé par huit des Quarante-Cinq, cette garde rapprochée d'Henri III.
Le roi fit ensuite exécuter le frère du duc, le cardinal de Guise, et arrêter les principaux députés ligueurs.
Les états généraux se clôturèrent donc le 16 janvier 1589 sur un échec.
Source Wikipédia
La mort de Monseigneur de Guise est annoncée le 29 décembre 1588
AD BMS 1580-1663 vue 55/144La fin des États Généraux est annoncée le 1er février 1589
AD BMS 1580-1663 vue 57/144
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Encore une petite trouvaille historique sur un Registre
En marge de l'avis de Sépulture de André PINON, le huitième de mars 1588, à Bouillé-Ménard (49)
Henri Ier de Bourbon-Condé
Titre Prince de Condé Conflits guerres de religion Faits d'armes siège de La Rochelle, bataille de Coutras Biographie Dynastie Maison de Bourbon Naissance 1552 à La Ferté-sous-Jouarre Décès 1588 à Saint-Jean-d'Angély Père Louis de Bourbon (décédé à la Bataille de
Jarnac le 13 mars 1569) voir article précédentMère Eléonore de Roye Conjoint (1) Marie de Clèves
(2) Charlotte de La TrémoilleEnfants - Catherine (1574-1595) (1)
- Éléonore (1587-1619) (2)
- Henri (1588-1646) (2)
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Henri Ier de Bourbon, deuxième prince de Condé (La Ferté-sous-Jouarre, 1552 - Saint-Jean-d'Angély, 1588), fut le prince protecteur des protestants pendant les guerres de religion. Rival d'Henri III de Navarre (futur Henri IV), sa foi protestante était militante et il mena de nombreuses campagnes militaires contre les troupes royales.
Mariages et descendance
De Marie de Clèves, Henri de Condé a :
- Catherine de Bourbon-Condé, marquise des Isles (titre provenant de sa mère), (Paris 1574-1595)
De Charlotte, il a :
- Éléonore de Bourbon-Condé (1587-1619), mariée à Philippe-Guillaume d'Orange, fils de Guillaume Ier
- Henri II (1588-1646), prince de Condé.
Source Wikipédia
S'ensuit deux autres décès: Monseigneur de Trémoille et Capitaine Saint-Etienne de Huguenot, semble t'il au Siège de Rochefort (en Anjou), en 1592
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Ce que j'avais pris au départ pour des quadruplés, s'avère être une mise à jour des naissances sur le registre.
Certainement due à la période troublée de la Révolution. (merci à Dominique Chadal pour la remarque)Mise à jour des Naissances des enfants de Françoise BONNET, épouse de Antoine VALLEAU, le 14 nivose de l'an II
AD BMS NMD 1790-An X vue 17/61