•    I comme Ille-et-Vilaine

     

    Le département d’Ille-et-Vilaine est l’un des quatre départements de la région française Bretagne. Il porte le numéro 35 dans la numérotation départementale française.

    L`histoire de l`Ille-et-Vilaine est intimement liée à celle de la  Bretagne. Historiquement, la naissance administrative de l`Ille-et-Vilaine remonte, comme la plupart des départements métropolitains, au 4 mars 1790.
    Cette naissance est le fruit d`une volonté politique de l`Assemblée nationale de 1789 : simplifier et organiser politiquement et socialement le territoire français.

    4 mars 1790, naissance de l`Ille-et-Vilaine

    Le décret de création des départements est promulgué le 4 mars 1790. L`Ille-et-Vilaine est née. Rennes est le chef lieu du département d`Ille-et-Vilaine et du district rennais. Redon, Bain, La Guerche, Vitré, Fougères, Dol, Saint-Malo et Montfort deviennent chefs lieu de district.
    Dans l`histoire de la Révolution française, l`Ille-et-Vilaine reste un lieu d`opposition farouche aux changements politiques, religieux et sociaux.

    En Ille-et-Vilaine, les premiers témoins du peuplement remontent à 700 000 avant JC.
    De la préhistoire à la féodalité en passant par la période gallo-romaine, de la naissance de l`Ille-et-Vilaine à l`ère contemporaine, l`histoire du département est en perpétuel mouvement.

    Le berceau de mon Patronyme: RIVET
    Rivet = Qui habite ou qui travaille près de la Rivière

     

     

     

      Poilley (Mariage de René Julien RIVET, mon AAAAAAAAAAGP avec Jeanne JANVIER, en 1625)

    •  1 mariage


     Bais
    (de René RIVET mon AAAAAAAAAGP, né vers 1675, jusqu'à Olivier René RIVET, mon AAAAGP né en 1779)

     

    • 86 naissance(s)
    • 21 mariage(s)
    • 39 décès

     Marcillé-Robert  (Naissance de Celestin Pierre RIVET, mon AAAGP en 1807)
     

    • 26 naissance(s)
    • 18 mariage(s)
    • 21 décès

      Visseiche (Naissance de mon AAGM en 1846, c'est elle qui nous donne notre nom, mon AGP étant né de père inconnu)
     

    • 26 naissance(s)
    • 6 mariage(s)
    • 19 décès

  •  


  • Alors que le monde devient de plus en plus numérique, la lecture de l'écriture manuscrite devient de moins en moins familière. Cela est particulièrement vrai lors de la lecture de vieilles fiches manuscrites. Le décryptage de ces documents peut être l'un des sommuns de frustration, des tâches alléchantes de l'historien de famille.

    Cependant, si vous aimez les mystères et des énigmes, cela peut être une tâche amusante et enrichissante, même en bonne santé, car les casse-tête sont connus pour être bon pour votre santé.
    La Paléographie est l'étude de l'écriture ancienne, et même s'il y a des historiens et des experts spécialisés dans ce domaine, mais vous pouvez apprendre beaucoup de votre propre interprétation lorsque vous aurez vos propres actes anciens écrits à la main. Cependant, il faut être conscient de certains problèmes courants que vous pouvez rencontrer:
    • Déchiré ou papier mal jauni et fané ou l'encre tachetée peut effacer des lettres et des mots
    • Écriture du verso de la page pourrait par transparence, se voir à travers et rend la face que vous lisez une presque illisible
    • Une langue étrangère peut être utilisé, y compris les langues latines et d'autres qui ne sont plus en usage aujourd'hui
    • Sens des mots qui diffèrent souvent du sens aujourd'hui
    • L'orthographe des mots peut varier, officiellement et officieusement, comme quand une personne peu instruite a rédigée l'acte, et les mots orthographiés phonétiquement
    • Abréviations souvent différentes, et des abréviations utilisées qui ne sont plus utilisés aujourd'hui
    • Abréviations des noms géographiques qui peuvent être différents
    • Nom d'une personne pourrait même être abrégé
    • Fautes d'orthographe et erreurs ne sont pas rares
    • Différents styles d'écriture et de  chiffres suivant le pays et l'époque

    Comme pour tant d'autres efforts, la pratique est le meilleur moyen de réussite. Familiarisez vous avec les variations mentionnées ci-dessus, chaque nouvelle lecture d'un document deviendra plus fructueuse.

    Ce tableau vous montre quelques-unes des variations lettre figurant sur ​​vos documents paroissiaux anciens.
    Notez, en particulier le nombre de styles, qu'il y a pour l'écriture de la lettre S:

    paléographie écriture filières antécédents familiaux de généalogie

    Devenez un expert du décryptage paléographique


  • comme HUTEAU de CADILLAC

     

    Initialement, j'avais prévu H comme Héraldique, mais vu que ça à et ce sera certainement très usité ce jour, j'ai modifié à la  dernière minute.

    Il est des fois, à notre grande surprise, des Patronymes venus d'un autre temps, qui croisent notre Généalogie.
    Thérèse HUTEAU de CADILLAC, d'une des plus Ancienne et Célèbre Famille de Bretagne, dont elle recueillit les Terres après la mort de son Frère, le dernier de la branche ainée: cette Famille ne subsiste plus qu'en Albigeois.
    Elle épouse en 1643, à Camors (56), le non moins célèbre Claude de LANNION, mais de lui, je me réserve la lettre L.

     

    Tiré du



  • comme Gendarme à cheval

     

    Julien Marie KERJOANT était Gendarme à cheval, sous la IIIe République, au service du Président Mac Mahon.

    Julien Marie est né le 9 février 1847 à Camors (56330) et est décédé le 25 juin 1878 à La Foa (Arrondissement de Maraï) en Nouvelle-Calédonie, à l’âge de 31 ans.
    Il était le Cousin Germain de mon AAAGP Maternel
    Retrouvé mort lors des émeutes de Nouvelle-Calédonie en juillet 1878.

                                 Monument à Nouméa à la Mémoire des Gendarmes morts en Nouvelle Calédonie

    Récit:

    La colère gronde chez les mélanésiens poussés hors de leurs terres par le front de colonisation. En 1878 la coupe est pleine... Ataï, Grand Chef de Komalé, va devenir l'âme de la grande révolte sanglante qui a profondément marqué les colons de plusieurs générations et le monde mélanésien jusqu'à nos jours.

    • Le plan d'Ataï et des autres chefs kanaks

    L'objectif d'Ataï aurait été Nouméa. En attaquant par surprise le coeur même de la colonisation il pouvait déstabiliser profondément celle-ci. Les préparatifs furent conduits dans le plus grand secret. Plusieurs clans étaient impliqués dont ceux de Houailou et Canala. Si Ataï a été l'homme symbole de cette révolte, les promoteurs en seraient d'autres chefs et notamment Cavio chef de Nékou secondé par Dionnet chef de guerre à Bourail selon Amouroux (1881). La date, symbolique, aurait été fixée au 24 septembre, date anniversaire de la prise de possession, mais d'autres témoignages indiquent qu'elle aurait été prévue pour la fin de la récolte des ignames en juillet ou même, selon Rivière, dès le 26 juin.

    Mais un évènement imprévu va accélérer les évènements. Le 19 juin 1878 à Ouaménie, la famille Chène, gardiens de la propriété Dézarnauld est sauvagement assassinée par un groupe de mélanésiens. Chêne est un ancien forçat qui avait une femme indigène de Poquereux nommée Medon. L'Administration réagit en incarcérant 10 chefs de tribus. La pression devient alors très forte sur les mélanésiens pour agir vite. L'objectif Nouméa est abandonné. Il est remplacé par une série d'attaques visant l'ensemble du front pionnier de Poya à la Baie Saint Vincent. La Foa région de colonisation importante et abritant de nombreux clans mélanésiens est la première cible.

    • L'origine

    Avec la prise de possession en 1853 les mélanésiens ne sont plus propriétaires de leurs terres. Initialement ils n'entrevirent pas cette mainmise et comptaient profiter des richesses du monde qui les colonisaient. Jusqu'à 1858 les attributions de terres aux colons se font selon un régime d'occupation restreinte aux environs des places fortes garantissant la sécurité. Ces aliénations ont donc un impact limité sur les terres des mélanésiens et portent surtout sur la région de Nouméa.

    En renonçant en 1858 à ce système, l'Administration coloniale lance une colonisation disséminée qui va ouvrir un front pionnier allant de Nouméa à Poya. C'est l'origine d'un conflit foncier, ferment de la révolte et qui empoisonnera les relations avec les mélanésiens jusqu'à nos jours. De 1862 à 1870, sous le gouverneur Guillain, l'emprise foncière européenne passe de 27.000 à 78.000 ha. En 1877, sous son successeur, le gouverneur La Richerie qui facilite encore plus l'accaparement, le patrimoine européen atteint 150.000 ha. En assimilant les jachères à des terres vacantes qu'elle accapare l'Administration déstabilise l'économie vivrière des mélanésiens. Leur espace est désormais éclaté. Ils sont repoussés dans les hautes vallées de la chaîne sur des terrains de moindre qualité. Le bétail des colons, élevé sans clôtures, divague et détruit les tarodières, champs d'ignames et autres espaces cultivés des mélanésiens.

    Alors que jusqu'à 1869 les conflits étaient ponctuels, organisés par des chefs rebelles au colonisateur ou mécontents de leurs relations avec l'Administration coloniale, en 1878 avec la progression importante du front pionnier, le malaise atteint profondément l'ensemble de la population mélanésienne de la Grande Terre.

    • La révolte

    Le 25 juin les 4 gendarmes de La Foa sont assassinés et les canaques massacrent la plupart des colons, propriétaires et gérants, de la région depuis le Dogny jusqu'à Fonwhary en passant par Farino. Au total 40 civils sont tués. C'est ensuite au tour de Bouloupari au sud. Le 26 juin le poste de gendarmerie est détruit. La plupart des habitants sont tués. Au nord Moindou est attaquée le 21 août puis Poya les 10 et 11 septembre. Un canot de ravitaillement avec 10 hommes est surpris à l'estuaire de la rivière Poya. Les victimes sont toutes tuées et consommées. A Bourail les colons arabes sont également attaqués, erreur stratégique car ceux-ci sont de véritables guerriers et se mettent à la disposition des forces militaires de la colonie. Ils participeront à la répression avec férocité.

    • La réaction des militaires

    Au départ la résistance s'organise dans le fort Téremba où il y a une petite garnison. Il est assiégé mais les insurgés ne peuvent pas le prendre et n'insistent pas. A Nouméa c'est la panique, on croît que l'avance des insurgés va se poursuivre vers le sud. Une vingtaine de mélanésiens sont exécutés à Dumbéa (les derniers Ouamous) suite au pillage d'un magasin. Les 130 mélanésiens vivant à Nouméa sont internés à l'île Nou.

    Le commandant Gally Passeboc prend la tête de la contre offensive mais ne mesure pas l'importance des forces adverses et ne réagit pas de façon appropriée face à une guérilla où toutes les actions se font par surprise. Il est tué dans une embuscade le 3 juillet. Il est remplacé par son second Rivière qui a comprit qu'il faut employer des méthodes analogues à celles des Canaques. Toutefois, en juillet et en août les colonnes tendent à s'enliser dans une guérillas peut productive, brûlant les villages et détruisant les récoltes mais n'arrivant pas à cerner les insurgés. La construction d'un fort à La Foa, terminé le 24 août, est décisive car elle rapproche les bases des militaires français et favorise les effets de surprise. La garnison est de 80 hommes. Comprenant le danger qu'il représente le fort est attaqué par 500 guerriers, mais ils échouent.

    Parallèlement le Lieutenant de vaisseau Servan basé à Canala réussit seul avec une audace extraordinaire à retourner et rallier le grand Chef des Canala, Gélina et surtout son chef de guerre Nondo. Avec les Canala il marche ensuite sur La Foa. C'est un retournement important, les canaques sont gravement divisés.

    • La défaite des insurgés

    Le 1er septembre à Fonimoulou, les troupes françaises assistées par les canaques de Canala et par les arabes attaquent par surprise en progressant hors des sentiers canaques. Elles forment trois colonnes qui cernent le périmètre des insurgés. Ataï est surpris dans son campement par un détachement commandé par le breton Le Golleur accompagné des guerriers de Canala. Le Canala Segou, après un instant d'hésitation, ose lancer sa sagaï sur Ataï et le tue. Témoignage de la férocité de la répression sa tête fut coupée et envoyée en trophée à Paris.

    Malgré la mort d'Ataï l'insurrection continue mais les insurgés sont déstabilisés. Des renforts d'infanterie de marine arrivent d'Indochine depuis le 18 août 1978. A partir de septembre 1878 la région de La Foa-Moindou est pacifiée. Le foyer de l'insurrection est dès lors plus au nord à Poya et Bourail, mais les insurgés sont maintenant harcelés. L'insurrection est définitivement matée avec la chute de la forteresse canaque d'Adio en décembre 1878.

    • Conséquences

    Cette révolte a un coût très lourd pour les mélanésiens. Les nombreux hommes tués sont une véritable saignée représentant près de 5% de leur population. Les chefs furent exécutés sans jugement sauf un, car la répression fut féroce. L'espace des autochtones fut encore plus restreint car l'Administration confisqua les terres des rebelles. Des clans entiers furent déplacés loin de leur tertre, dans le Sud et à l'île des Pins.

    Ces confiscations, spoliations, accaparement par des moyens douteux se poursuivront et conduiront, vers la fin du XIX siècle, au cantonnement des mélanésiens dans des réserves de plus en plus étriquées. Officiellement instituées pour leur garantir un espace préservé de la boulimie foncière, elles étaient, par ignorance de leur système agraire, gravement insuffisant en espace fertile. Déstabilisée par cet épisode dramatique, le cantonnement, la destruction de ses structures coutumières, la population déjà affectée par les épidémies du début de la colonisation, va décroître dramatiquement jusqu'en 1921 où elle atteindra 16.000 individus soit la moitié de la population de 1860.

    La colonisation libre est assommée après 1878 et mettra 20 ans à s'en relever. L'impulsion colonisatrice viendra alors du bagne. Elle se traduira par une extension sans précédant de la mainmise foncière et un rétrécissement accru de l'espace des mélanésiens. Le conflit foncier résultant de tous ces accaparements entraînera d'autres rébellions, notamment en 1917 où la révolte à toutefois plusieurs autres mobiles dont la peur de l'incorporation forcée sur le front de la première guerre mondiale.
    Les spoliations, ajoutées à l'incapacité de la France, même après la décolonisation de 1956, de reconnaître l'identité et la dignité kanak seront finalement à l'origine de la revendication indépendantiste qui débouchera sur les affrontements de 1984 à 1988 et sur le statut actuel de la Nouvelle-Calédonie.

    • Chiffres

    Environ un millier de mélanésiens et 200 européens sont tués lors de ces évènements tragiques. C'est considérable pour un territoire alors peuplé d'environ 24.000 autochtones et de 16.000 européens.

     


  •  

    En janvier 2012, la Commission européenne a émis un projet de règlement visant à harmoniser les législations nationales sur les données personnelles.

    Or, depuis quelques semaines, l’Association des archivistes français (AAF) a mis en ligne une pétition dénonçant ce texte et appelant les citoyens à s’opposer à ce projet de règlement.

    Selon l’AAF, en effet, l’Union européenne s’apprêterait, au nom du droit à l’oubli, à interdire la conservation des données personnelles dans un but historique. Une telle disposition serait bien entendu une catastrophe pour le patrimoine culturel européen. Sa principale conséquence serait de mettre en place une amnésie collective, rendant impossible la quasi totalité des recherches historiques.

    Un tel constat ne pouvait qu’inquiéter les archivistes, les usagers des services d’archives et, au-delà, les citoyens dans leur ensemble. La pétition a ainsi rencontré un succès considérable, recueillant, à l’heure où nous rédigeons ces lignes, plus de 37.000 signatures.

    SavoirCom1 ne peut cependant soutenir cette pétition car l’AAF se trompe. Contrairement à ce que l’association indique dans le titre même de sa campagne, le projet de règlement européen ne suggère aucunement la destruction des données personnelles. Au contraire.

    Ainsi, dès le considérant 53 (pages 28-29), le texte du projet prévoit bien les possibilités de conservation.

    En réalité, l’AAF s’est tout simplement trompée de texte. Ni plus, ni moins.
    (Lire l'article en entier sur
    Savoircom1.info)

     


  • Si le mercredi, c'est raviolis, mes dimanches du Challenge AZ sont consacrés au chiffre du jour


    Quel jeu plus Généalogique que le Jeu des 7 familles ?

     

    Les 7 familles ou jeu des 7 familles est un jeu de cartes aux règles simples, faisant intervenir la mémoire et l'observation. Il se joue avec un jeu de quarante-deux cartes spéciales, réparties en sept familles de six cartes chacune, à l'origine le grand-père (l'aïeul dans les jeux les plus anciens), la grand-mère (aïeule), le père, la mère, le fils et la fille. On situe sa création à la seconde moitié du XIXe siècle.

    La règle du jeu

    Le but du jeu est de regrouper le plus grand nombre de familles possible.

    Un joueur, désigné par le sort, bat les cartes, les fait couper et en distribue selon les variantes, 6 ou 8 à chaque joueur, une à une, en commençant par la droite. Le reste constitue la pioche. Le voisin, placé à la gauche du donneur, parle le premier. Après avoir constaté qu’il possède au moins une carte d’une famille, il cherche à la compléter en demandant à n’importe quel joueur et de façon précise la carte qui lui manque et qu’il souhaite obtenir. Pour cela il dit "Dans la famille... je demande...", par exemple "Dans la famille Martin, je demande la fille". Si cet autre joueur possède la carte il doit lui donner. Si le demandeur obtient la carte qu'il voulait il peut rejouer une autre fois. S'il n'obtient pas la carte demandée, il prend une carte dans la pioche. Si la carte piochée est la carte demandée, le joueur peut rejouer, sinon c'est au tour du joueur à gauche du demandeur de jouer.

    Dès qu’un joueur réunit une famille, il la pose devant lui et c'est au tour d'un autre joueur. Le gagnant est le joueur qui pose devant lui le plus de familles complètes.

    •  Quelques jeux:


    Jeu de cartes 7 Familles Histoire de France

    7 famlles

    Familles :

    - Celtes Gaulois
    - Roman
    - Gothique
    - Renaissance
    - Ancien Régime
    - Révolution
    - Premier Empire.

     

    7 familles 2

     

     

    • Dans la littérature

    Comme le bus prévu par l’école pour l’excursion est trop petit, cinq élèves, Claudia, Colin, Pixie, Ralph et Robbo, se retrouvent à part dans une camionnette pour le trajet. Arrivant à destination avant leurs camarades, ils sont regroupés dans la même chambre, alors qu’ils n’ont apparemment rien en commun.

    Ils y découvrent un vieux journal intime écrit, cent ans plus tôt, par un jeune garçon qui n’a pas supporté, à la mort de son père, le remariage de sa mère avec le révérend. En le lisant, les cinq camarades se rendent compte que, contre toute attente, ils ont un point commun : ils font tous partie d’une famille recomposée avec belle-mère, beau-père, demi-frère, etc.

    Chacun va alors tout à tour raconter son histoire aux autres, avec ses périodes difficiles et ses moments de joie, ses coups de rage et ses espoirs.

     

     

     

     

    La longévité de ceux qui nous entourent et des manières de vivre différentes créent des cercles de famille de plus en plus larges.
    De la famille basique papa, maman, frères et sœurs, on arrive à la coexistence de quatre générations qui elles-même s'élargissent vers les familles des différents partenaires. Ce qui entraîne une infinie variété de personnages et de relations auxquels nous pouvons être confrontés. Or on constate très souvent une vraie difficulté d'adaptation entre les habitudes traditionnelles et celles des plus jeunes, et ces problèmes concernent presque tout le temps des gens qui s'aiment beaucoup mais ne savent pas cohabiter.
    Pourtant 87 % des Français attribuent à la famille un rôle très important dans leur vie. Comment se comporter afin que l'harmonie règne chez nous ? Une fois de plus, le don d'observation, l'empathie et le bon sens de Christiane Collange font merveille. Que faut-il admettre sans rien dire en famille ? Les horaires différents, les habitudes alimentaires, les looks... Quels sont les points de friction les plus sensibles ? Les choix amoureux, les familles recomposées, les flux d'argent entre les générations.
    Ce qui agace le plus les jeunes ? L'indiscrétion, l'interventionnisme, le favoritisme. Ce qu'ils préfèrent ? Le courage, le dévouement, le sentiment de sécurité, les repas de fêtes de temps en temps. Ainsi le film de nos existences se déroule-t-il sans rien omettre sous la plume sagace et joyeuse de l'auteur.

    Dans une de ses nombreuses vies l'auteur a dû être chat car il semble bien connaître la gente féline : Voici un nouveau livre-jeu des 7 familles très cha... musant par Delambre, dessinateur-journaliste au Canard enchaîné.

     

     

     

     

     

     

     


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    Super Salon, superbes rencontres